CERNITOL 47 mg comprimé pelliculé est une nouvelle spécialité de phytothérapie indiquée dans le traitement des symptômes liés à l'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), par exemple les besoins fréquents d'uriner le jour (pollakiurie) et la nuit (nycturie).
Le traitement médicamenteux de l'adénome de la prostate
les alpha-bloquants (alfuzosine, doxazosine, tamsulosine, térazosine...) qui luttent contre la contraction des voies urinaires et permettent d'uriner plus facilement.
Traitements naturels
Ils ont démontré leur efficacité dans la prostate sont le Serenoa repens ou palmier de Floride le Pygeum africanum ou prunier d'Afrique ou encore pépins de courge. Leur tolérance est également excellente.
Ce traitement, nommé « Lutétium 177-PSMA-617 », se compose d'une molécule vectrice permettant de cibler les cellules cancéreuses et d'un élément radioactif émettant un rayonnement ayant vocation à détruire l'ensemble des cellules cancéreuses, avec l'avantage d'irradier aussi les cellules tumorales voisines.
Les graines de courge (sous forme de gélules) permettent de réduire l'augmentation de volume de la prostate. Elle stimule aussi le flux urinaire. Le saw palmetto permet de prévenir et traiter le risque d'hypertrophie de la prostate. Il permet de rétrécir la prostate.
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
Faites le plein de lycopène en mangeant des tomates et autres fruits et légumes très colorés, car ce pigment de la famille des caroténoïdes est un puissant antioxydant qui pourrait contribuer à maintenir stable la taille de la prostate et à freiner le développement tumoral. Et surtout, prenez du zinc !
CERNITOL est indiqué dans le traitement des symptômes liés à l'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), par exemple les besoins fréquents d'uriner et la nycturie (cf. VIDAL Reco "Hypertrophie bénigne de la prostate"). Le médicament CERNITOL peut être délivré sans prescription médicale, en pharmacie.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Choisissez bien votre apport en protéine
Les protéines maigres contenues dans le poulet, le poisson et le soja sont, dans un premier temps, bénéfiques pour le système cardiovasculaire car elles protègent contre les maladies cardiaques, mais aussi pour la santé de la prostate en diminuant le taux de PSA.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Un taux moyen de PSA normal dans le sang sera de 2,5 ng /ml (nanogramme /millilitre) pour les hommes de moins de 50 ans. Dans le cas d'un taux de PSA supérieur à 10 dans le sang, le risque de cancer de la prostate est très élevé et demandera des examens complémentaires.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
Il contient de la catéchine, substance antioxydante qui permet de baisser le taux de l'Antigène Spécifique de la Prostate (PSA) et le niveau de la testostérone.
Elle est de l'ordre de 4 ng/mL de sang. Le taux normal de PSA varie en fonction de l'âge du patient: il est de 2,5 ng/mL pour les hommes de moins de 50 ans, de 3, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 50 à 60 ans et de 4, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 60 à 70 ans.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
La maladie peut également engendrer des troubles sexuels (dysfonctions de l'érection, éjaculations douloureuses). Si la tumeur s'étend, des douleurs au niveau des os (dos, bassin, jambes) peuvent survenir, ainsi qu'une fatigue et une perte de poids.
Ne pas paniquer : Un taux élevé de PSA ne veut pas nécessairement indiquer un risque de cancer. Un prostate normale de grande taille produit plus de PSA qu'une petite prostate normale. Lors d'une infection urinaire, le PSA peut augmenter parfois au delà de 30 ng/ml.
L'évolution du cancer de la prostate
Le cancer est une maladie qui évolue souvent sur plusieurs années. Contrairement à d'autres types de cancer, celui de la prostate a une croissance relativement lente. Son évolution peut se faire sur 10 ans et plus.
Cette intervention est indiquée après qu'un traitement médicamenteux bien conduit a trouvé ses limites pour réduire les symptômes de l'adénome de la prostate (difficultés à uriner, envies fréquentes d'uriner…). Elle consiste à enlever ou vaporiser la partie de l'adénome qui entoure l'urètre.