La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Un moment important dans l'histoire du blasphème est celui où fut inventé le huitième péché capital, le « péché de langue » (peccatum linguae), au milieu du xiii e siècle.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée. Pour S. Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu.
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Expressions. Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être.
La paresse, en revanche, consiste à ne pas avoir envie de faire ce qu'il serait en principe nécessaire que l'on fasse, pour soi ou pour les autres, afin en général de mieux vivre. Le terme prend alors une connotation négative jusqu'à désigner un péché.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie. Ils sont « capitaux » au sens où ils sont la cause, donc à la tête, d'autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes.
L'Église catholique romaine indique sept péchés capitaux, desquels découlent tous les autres : l'acédie (la paresse), l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère, et l'envie.
On pourrait définir la chair de façon neutre comme la condition humaine. D'un autre côté, la chair est la puissance « d'inclination spontanée au mal »21. C'est en elle que Paul situe la source la plus profonde de la révolte contre Dieu — de ce que l'anthropologie biblique identifie comme le péché.
Péché mortel/péché véniel
- Le péché véniel est une désobéissance légère à la loi divine par laquelle on ne manque que légèrement à quelque devoir envers Dieu, envers le prochain, et envers soi-même.
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.
Suivant le catéchisme de l'Église catholique, un péché est mortel s'il a pour objet une « matière grave » et s'il est commis en pleine conscience et avec un entier consentement, à la différence du péché véniel qui affaiblit la grâce divine sans la supprimer.
Par exemple, un moyen mnémotechnique de se rappeler des sept péchés capitaux : il faut retenir le groupe nominal « Ce galop », pour « Colère, Envie, Gourmandise, Avarice, Luxure, Orgueil, Paresse ».
C'est le pape Grégoire le Grand mort en 604, dans un passage de ses Morales sur Job , qui fit de l'orgueil la « racine de tous les maux ». En dériveraient les sept vices principaux : vaine gloire, envie, colère, tristesse, avarice, gourmandise et luxure.
Définition "péché mignon"
Petite faute habituelle, et agréable; défaut véniel : par exemple la gourmandise.
C'est Augustin d'Hippone, à la fin du IV e siècle, qui invente le terme. Cette doctrine est extrêmement débattue depuis ses origines.
Contre toi, et toi seul, j'ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l'ai fait. Détourne ta face de mes fautes, enlève tous mes péchés. Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit. Rends-moi la joie d'être sauvé ; que l'esprit généreux me soutienne.
Les catholiques demandent pardon à Dieu d'avoir mal agi par la confession. La confession est un sacrement. Dieu, à travers le prêtre, pardonne à la personne qui reconnait ses péchés. La parabole du fils prodigue illustre le pardon que Dieu accorde dans la confession.
Selon la définition du dictionnaire Larousse, le blasphème se définit comme une parole ou un discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est considéré comme respectable ou sacré. « Le terme blasphème, lui-même, est un terme religieux, c'est le ressenti de croyants.