Tête-à-tête (= situation, entretien de deux personnes seule à seule) s'écrit avec deux traits d'union : les deux chefs d'État ont eu un tête-à-tête d'environ une heure. → tête. - Plur. : des tête-à-tête (invariable).
Plur. : des pied-à-terre.
- Plur. : des en-têtes (avec s).
En orthographe traditionnelle (non réformée), plur. : des avant-midi. (invariable). Rare en France (où l'on dit plutôt matin, matinée) ; assez fréquent en Belgique et au Québec.
sous-sol, sous-sols.
Au plur. Des cache-nez.
En orthographe traditionnelle (non réformée), plur. : des ronds-points, avec un s à chaque élément.
Le mot s'emploie au féminin et au masculin : une belle après-midi ou un bel après-midi.
La graphie des après-midi , sans marque de pluriel, est l'orthographe traditionnelle, qui existe depuis plusieurs siècles. La graphie des après-midis avec un s est issue des rectifications de l'orthographe de 1990.
On emploie le féminin pour indiquer une action dans la durée comme "une matinée", une "soirée,"... L'usage veut donc qu'on utilise aussi le féminin pour "une après-midi". Il est à noter qu'on rencontre surtout le féminin dans la littérature. Mais l'Académie française préfère la forme masculine pour "un après-midi".
On écrit bains, au pluriel, dans salle de bains, établissement de bains, garçon de bains. Les compléments sont au singulier dans bain de boue, bain de mousse, bain de soleil, bain de vapeur et dans bain de bouche, bain de siège. Ils sont au pluriel dans bain de sels et bain de pieds.
S'entêter est un verbe pronominal du premier groupe qui se rapporte à un trait de caractère, qui veut dire persévérer ou s'acharner. Exemple : Marion s'entêtait à vouloir devenir actrice, elle courait les castings en permanence.
Pieds de page. Élément écrit ou graphique qui se situe en bas d'un document (nom, prénom, numéro de page, etc.). Exemple : Afin de conclure ce contrat et mettre fin à cet entretien, je vais vous demander de bien vouloir indiquer vos coordonnées en pied de page.
Bateau-Mouche, Bateaux-Mouches.
Se dit d'une personne qui plaisante, ironise ou raille avec le plus grand sérieux apparent.
Règle : « à pied » est une locution adverbiale qui est toujours invariable. Elle s'écrit donc sans -s. Elle signifie « en marchant ». Un moyen mnémotechnique de se rappeler que « à pied » est toujours au singulier est de se dire qu'on utilise qu'un seul pied à la fois pour marcher ou courir.
Plur. : des arcs-en-ciel.
- En orthographe traditionnelle (non réformée), pluriel : des abat-jour (invariable).
Les mois de l'année ne sont pas non plus invariables : tout comme les jours de la semaine, les mois de l'année prennent la marque du pluriel, comme les autres noms communs. Toutefois, l'usage de la forme plurielle est plus rare. On préférera généralement la formule « les mois de janvier ».
Difficultés. Avec deux p et un seul t. Féminin : une échappatoire.
Un mot épicène est un mot désignant un être animé et qui n'est pas marqué du point de vue du sexe. Il peut être employé au masculin et au féminin sans variation de forme.
Quand le mot pétale est apparu en français, vers le début du XVIIIe siècle, son genre n'était pas fixé et on en retrouve des traces au masculin comme au féminin. Cette hésitation a duré un siècle environ. Quand ce mot est entré dans le dictionnaire de l'Académie française en 1762, il a été noté masculin.
gagne-pain, gagne-pains)
garde-fou, garde-fous
2.
Le Petit Robert est très clair, le mot fait son pluriel avec deux «s». On écrit ainsi «grands-mères», «grands-pères», «grands oncles» et «grands-tantes». Soit, l'exact opposé du Trésor de la langue française. Selon ce dernier, il n'existe en effet qu'une seule règle: «grand-mères», «grand-mamans».