Dans cette catégorie de médicament, le prednisone, le prednisolone et le méthylprednisolone figurent parmi les plus puissants. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) regroupent les médicaments qui réduisent ou suppriment les symptômes associés à une réaction inflammatoire.
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
L'hydromorphone a une durée d'action de douze heures et est indiquée pour soulager les douleurs intenses lorsque la morphine ne suffit pas ou est mal tolérée. L'oxycodone est aussi puissante que la morphine.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que l'ibuprofène et le kétoprofène font l'objet de signalements de pharmacovigilance portant sur des complications infectieuses graves.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation. La famille des AINS comprend l'ibuprofène (par exemple, Advil® et Motrin®), le kétoprofène (par exemple, Actron® et Orudis®) et le naproxène (par exemple, Anaprox® et Naproxen®).
Afin d'aider la blessure à guérir, vous pouvez appliquer un patch chauffant sur la zone courbaturée. En effet, la chaleur permet d'augmenter le flux sanguin dans les tissus ayant subi l'inflammation et accélère la cicatrisation du muscle.
A la dose utilisée dans les maladies inflammatoires, le risque le plus faible est observé avec l'ibuprofène puis le diclofénac, l'indométacine, le naproxène et le piroxicam.
La non-infériorité en termes d'efficacité antalgique de LAMALINE 500 mg/25 mg par rapport à DAFALGAN CODEINE a été démontrée.
Sur une analyse groupée de 1200 patients, suivis 8h après une extraction dentaire , l'association paracétamol + tramadol a démontré un surcroit d'efficacité par rapport au paracétamol seul et au tramadol seul, mais un effet antalgique similaire à celui d'ibuprofène 400.
Ibuprofène (Advil®, Nurofen®). Diclofénac (Voltarène®, Flexor®). Kétoprofène (Kétum®). Acide acétylsalicylique (Aspirine®, Aspegic®).
Anti-inflammatoires : modalités pratiques
Ils peuvent se prendre ponctuellement, au moment de la douleur (une migraine ou des douleurs de règles par exemple). Lorsqu'une cure courte s'impose, les prises sont réparties dans la journée en deux fois (s'il s'agit d'une libération prolongée) trois fois.
les signes d'une atteinte des muscles : faiblesse, douleur musculaire, augmentation de la créatine phosphokinase (CK) dans le sang. des signes que cette myopathie est d'origine immunitaire : inflammation des fibres musculaires, production d'anticorps dirigés contre des constituants du corps (ou autoanticorps)
En conclusion, vitamine B12 et douleurs musculaires sont étroitement liés.
Le surpoids est l'ennemi des articulations
Le surpoids et l'obésité multiplient par quatre ou cinq le risque d'arthrose.
Dans ce cas, il faut se tourner vers des médicaments à base d'opium et de caféine (Lamaline®), moins forts mais sans ce type d'effets secondaires.
Les contraintes mécaniques comme les mouvements répétitifs, le sport intensif, le port de charges lourdes, l'exposition répétée à des chocs ou vibrations dans le cadre du travail, créent des lésions microscopiques qui fragilisent le cartilage. Ces microtraumatismes répétés sont une cause possible de l'arthrose.
Conclusions : L'efficacité du kétoprofène administré par voie orale pour soulager la douleur modérée à sévère et améliorer l'état fonctionnel et l'état général était significativement meilleure que celle de l'ibuprofène et/ou du diclofénac.
Les AINS en pratique
La condition est de les utiliser à la dose minimale efficace, pendant la durée la plus courte possible. En résumé : pas plus de 3 jours en cas de fièvre et 5 jours en cas de douleur, avec un délai minimum de quatre à six heures entre chaque prise de 400 mg d'ibuprofène (1 200 mg/jour au maximum).
Une prise trop régulière ou trop importante d'anti-inflammatoire met en danger la santé pour le sportif, mais également celle des personnes sédentaires. Les effets secondaires peuvent engendrer à leur tour des maladies bien plus grâce que l'inflammation que l'on cherche à réduire.