Toutes nomment Simon, dit Pierre, en tête et Judas, dit (l')Iscariote, en dernier. Toutes classent les Apôtres selon un ordre décroissant de préséance, qui traduit leur autorité respective dans l'Église primitive. Simon est dit « le Cananéen » par Matthieu et Marc ; et le Zélote par Luc et les Actes.
L'apôtre Jean, fils de Zébédée.
Pour Luc, vi, 12-16, et Actes, i, 13, les Douze sont Pierre et André, son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques, fils d'Alphée, Simon, appelé le zélote, Jude « de Jacques », et Judas l'Iscariote.
Paul de Tarse est néanmoins considéré comme le 13e apôtre puisqu'il a été institué par le Christ lui-même sur le chemin de Damas.
Selon Simon Claude Mimouni, « la tradition chrétienne la plus ancienne affirme que Pierre a été tué en 68 et que Paul l'a été en 64 », mais pour lui « il est tout à fait envisageable de penser que c'est Pierre qui a disparu le premier en 64, et Paul le second en 68 ».
Le « disciple bien-aimé » a souvent lui-même été identifié à Jean, fils de Zébédée, l'un des Douze apôtres. Mais des historiens comme Oscar Cullmann ont distingué deux Jean, l'apôtre et l'évangéliste, ce dernier étant identifié dans ce cas au « disciple bien-aimé ».
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
L'histoire du christianisme commence au I er siècle au sein de la diaspora juive après la crucifixion de Jésus de Nazareth, dont la date probable se situe vers l'année 30.
Judas Iscariote (ou Iscariot, ou Iscarioth) est, selon la tradition chrétienne, l'un des douze apôtres de Jésus de Nazareth. Selon les évangiles canoniques, Judas a facilité l'arrestation de Jésus par les grands prêtres de Jérusalem, qui le menèrent ensuite devant Ponce Pilate.
«Je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois» Le lecteur aura sans doute reconnu le récit de l'apparition aux disciples et l'incrédulité de l'apôtre Thomas, relaté dans l'Évangile de Jean, chapitre 20, versets 19 à 25.
Personne qui se met au service d'une cause, d'une idée, d'une doctrine : Une apôtre du pacifisme.
Pour la recherche actuelle, le premier évangile est celui de Marc, écrit vers 70 à l'exception de la finale (Marc 16), largement ultérieure ; l'évangile selon Matthieu le suit, vers 80-90.
Matthias ou Mathias (en hébreu : mattithyahû), de l'hébreu mattaï, « présent, don », et yâh, pour YHWH, Dieu, est un personnage du Nouveau Testament qui succède à Judas parmi les Douze apôtres.
Psaume 119 (118)
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Le Puissant dont parle Marie est El-Shaddaï, qui s'était justement manifesté sous ce nom à Abraham, Isaac et Jacob, avant même que ne fût révélé à Moïse le nom de YHWH (cf. Exode 6,3). Et l'Islam ne contredira pas, lui pour qui Dieu est aussi le Tout-Puissant et le Miséricordieux.
Le bon Larron (du latin latro, « brigand ») est, selon les Évangiles synoptiques, un bandit crucifié avec son comparse, le Mauvais Larron, de part et d'autre de Jésus-Christ sur la croix. Pour la chrétienté, il représente le premier saint pénitent.
Matthieu est un publicain (percepteur des impôts) à Capharnaüm, responsable peut-être du péage d'Hérode. Il a obligatoirement une instruction plus élevée que les pêcheurs du lac, Pierre et André ou encore Jacques et Jean, les fils de Zébédée. Mais, du fait de son métier, il est mal vu des autres Juifs.
Dans la foi chrétienne
Selon la tradition chrétienne, la mort de Pierre est rattachée aux persécutions de Néron contre les chrétiens. Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ».