La France est le 1er pays producteur de blé tendre de l'Union euro- péenne. À l'échelle mondiale sur la campagne 2018/19, il s'agit du 5e producteur derrière la Chine, l'Inde, la Russie et les États-Unis.
Les principaux États d'Europe producteurs de blé sont la Russie, la France, l'Ukraine, l'Allemagne et la Turquie. Les pays du continent européen ayant les plus faibles productions de blé sont le Monténégro, Malte, Chypre, le Luxembourg et le Portugal.
La Russie était le plus gros exportateur de blé au monde en 2021/2022. Elle en exportait 33 millions de tonnes. L'Union Européenne, avec 30 millions de tonnes, était le second exportateur mondial, juste devant l'Australie. En quatrième position se trouvaient les États-Unis.
La Chine représente 17,9 % des exportations de blé provenant du Canada, 13,2 % de celui exporté depuis les États-Unis et 12,2 % des exportations françaises. La Chine reste ainsi plutôt épargnée par l'actuel conflit en Europe. En effet, ce pays ne se fournit ni en Russie ni en Ukraine.
Il y a d'abord celui des aléas climatiques tels que les inondations, les sécheresses ou le gel, qui, depuis plusieurs années, touchent les récoltes, entraînant une baisse importante de la production céréalière.
Pétrole, gaz, mais aussi blé… La France dépend partiellement de la Russie, mais elle est aussi le premier employeur étranger dans ce pays. Les sanctions infligées à la Russie, après l'invasion de l'Ukraine, pourraient également peser sur les échanges commerciaux.
Aujourd'hui, toutefois, l'Hexagone est loin d'être autonome. Grandement exportateur, mais aussi fortement importateur, le pays ne fournit aujourd'hui que 60% des aliments nécessaires pour satisfaire la consommation de ses habitants, explique une étude du think tank Utopies.
A noter que la France a importé 10 650 tonnes de blé et 3 697 tonnes de maïs. Pour les autres céréales comme l'orge, le malt, le seigle, l'avoine ou encore le sorgho, les volumes d'importation sont bien moins importants.
Si la majorité des pays sont tournés vers la Russie, qui fournit le continent à hauteur de 32 % (contre 12 % pour l'Ukraine), la Tunisie, la Libye et la Mauritanie dépendent eux en grande partie du blé ukrainien (30 à 50 % de leurs importations).
La France ne manquera jamais de rien parce que nous avons des productions qui sont très abondantes en tout et que nous restons le premier pays producteur de blé, en Europe, la moitié de notre production étant exportée.
Le rendement moyen varie de 0,31 t/ha au Venezuela à 9,86 t/ha en Irlande. Depuis mars 2010, la Nouvelle-Zélande détient le record mondial actuel de 15,64 t/ha.
Les blés russes exportés proviennent très majoritaire- ment (de l'ordre de 80-90 %) de la zone « sud » de la Russie (figure 2), entre l'Ukraine, la mer d'Azov et la mer Noire à l'ouest, la chaîne du Caucase au sud, les côtes quasi-déser- tiques de la mer Caspienne à l'est.
Les principaux pays importateurs se trouvent en Afrique du Nord (Égypte, Algérie…), au Moyen-Orient (Irak…) ainsi qu'en Asie orientale (Japon, Corée du Sud…) et sud-orientale (Indonésie…). Principaux exportateurs et importateurs de blé (moyenne des années de 2009 à 2012).
La France est le premier pays agricole de l'Union européenne (UE) avec 18 % de la production agricole européenne en valeur (hors services agricoles et activités secondaires) en 2015. Viennent ensuite l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne, le RoyaumeUni, les Pays-Bas et la Pologne.
La Chine occupait la première place de ce classement avec un volume de production supérieur à 148 millions de tonnes. Elle était suivie par l'Inde, l'Indonésie et le Bangladesh. Ce sujet vous intéresse ? Découvrez également les principaux pays consommateurs de riz.
Quelles sont les zones importatrices de céréales françaises ? La filière céréalière française exporte près d'une tonne sur deux de céréales chez nos voisins de l'Union européenne et vers les pays tiers (pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne de l'Ouest, du Proche et Moyen-Orient et Chine).
Pour la Russie et l'Ukraine, qui figurent parmi les plus grands exportateurs de blé, le premier pays acheteur est, de loin, l'Égypte. La Chine, elle, se fournit surtout auprès du Canada, des États-Unis et de la France. Publié le 09 avril 2022 à 14h03 Lecture 1 min.
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).
Parmi les pays dotés d'un taux élevé d'autosuffisance alimentaire, les premiers pays sont : Singapour (87,4%) l'Irlande (84%) les États-Unis (83,7%)
Parce que la France est liée à la politique agricole européenne. Alors que l'Europe est le 1° exportateur mondial de produits agricoles devant les USA, c'est la seule région au monde à avoir diminué ses soutiens publics à l'agriculture entre 2008 et 2016.
Des importations des marchandises françaises en Ukraine en 9 mois de 2021 se composaient principalement de produits chimiques divers (15,0%), moyens de transports terrestres autres que les chemins de fer (11,9%), produits pharmaceutiques (10,7%), réacteurs nucléaires, chaudières et machines (8,6%), huiles essentielles ...
La Chine est, de loin, le premier producteur mondial de blé avec une récolte de 117 millions de tonnes en 2011, supérieure de 35,15 % à celle de l'Inde (86-87 millions de tonnes) et le double de celle des États-Unis (54,4 millions de tonnes).
L'UE a acheté 57 milliards d'euros de pétrole, de gaz et de charbon à la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine.