L'écoute active consiste à se concentrer volontairement sur la personne que l'on écoute, que ce soit dans un groupe ou en tête à tête, afin de comprendre de que l'interlocuteur veut exprimer. Si vous êtes suffisamment attentif, vous serez en mesure de reformuler, avec vos propres mots, ce que vous avez entendu.
Les outils de l'écoute active :
de précision, qui vont permettre de préciser le sens d'un propos (Exemple : qu'entendez-vous par « conflit » ?) miroirs répétition des propos de l'interlocuteur sous forme de question), qui permettent d'approfondir une réponse tout en montrant qu'on a écouté.
L'écoute active est une technique de communication visant à privilégier les contenus émotionnels d'une conversation par rapport à ses contenus intellectuels. Elle fait appel à des leviers concrets tels que le questionnement ouvert ou encore la reformulation du discours de l'interlocuteur.
Pour cela, il va élaborer un questionnaire dont l'objectif va être de distinguer six types d'attitudes : évaluation-jugement, interprétation, soutien-encouragement, investigation-enquête, suggestion-conseil-ordre, compréhension.
Dans un dialogue plus dynamique, l'écoute active consiste à montrer à l'interlocuteur qu'on l'écoute - par son attitude, son regard, son silence lorsque l'autre parle, puis par des reformulations sous forme de questions.
L'écoute active, aussi nommée écoute bienveillante, est une technique d'accompagnement développée par le psychologue américain Carl Rogers.
1. Être attentif à un bruit, à un son, à de la musique, etc., les entendre volontairement : Écouter de la musique. 2. Prêter attention à ce que quelqu'un dit pour l'entendre et le comprendre : Écoute-moi quand je te parle.
Lors d'un entretien de vente ou de négociation, l'usage de l'écoute active dans la communication du commercial va lui permettre d'offrir à son client une plus-value distinctive: il sait comprendre de manière objective ses besoins et peut ainsi mieux répondre à ses attentes.
prêter attention au verbal et au non verbal, utiliser ensuite : le questionnement afin de s'assurer d'avoir compris le message ou l'expression du besoin ; la reformulation pour témoigner de cette bonne compréhension et synthétiser l'échange.
Écouter est beaucoup plus difficile que parler. Pourquoi ? Parce que cela demande à la fois de la concentration (comprendre ce que l'autre nous dit) et de l'attention (interpréter le non-verbal). Mais en plus, il faut dégager les idées principales, éliminer le superflu, évaluer les arguments et démontrer de l'empathie.
Dans la mesure du possible, éliminer toute distraction et minimiser le bruit ambiant. Proposer une intention à l'élève afin de le motiver à participer avec attention à l'activité d'écoute. Activer les connaissances antérieures de l'élève. Vérifier que l'accent et le débit de la langue parlée sont familiers à l'élève.
L'écoute est le point de départ de la communication. Avant d'émettre, il faut être capable de recevoir. Bien écouter fait partie des soft skills, et permet de désamorcer des situations de crise, de se concentrer sur le factuel, d'activer l'intelligence collective, en multipliant les points de vue sur le réel.
Ces attitudes facilitatrices au cœur de l'approche centrée sur la personne reposent sur trois conditions essentielles que sont l'empathie, la congruence, le regard positif inconditionnel.
Attitude de compréhension-empathie consiste à comprendre et accepter la vision de l'autre. Pour cela, il faut opérer en questionnant et en reformulant ses propos, sans émettre de jugement.
Être centré(e) sur le ressenti de l'autre en allant au-delà des faits ; Voir le problème du point de vue de l'autre ; Se montrer respectueux de ce que l'autre vit ; Et enfin être le miroir de ce qu'il ressent.
Fausser l'écoute, c'est utiliser des mot-clés, utiliser une bonne gestuelle, reformuler les fins de phrases ou en posant une question.