Le terme "iel" est un pronom personnel neutre qui fait référence à la troisième personne du singulier. Il s'agit d'un néologisme issu de l'écriture inclusive, né d'un mélange de "il" et "elle". On peut également le trouver orthographié "yel" ou "ielle" et il se décline en "iels" dans sa forme plurielle.
Les pronoms neutres sont les plus connus parmi ces néologismes, tout particulièrement le néopronom inclusif « iel » (ou « ielle » ou « yel »), combinaison de « il » et « elle ». Cette forme est introduite dans le dictionnaire Le Robert en 2021.
Le pronom "iel", contraction de "il" et "elle" a été ajouté en octobre dernier à la version en ligne du dictionnaire Le Robert. Un mot utilisé notamment par les personnes non-binaires qui ne se reconnaissent dans aucun genre, ni masculin ni féminin.
💡 Depuis décembre 2021, le pronom iel figure dans le dictionnaire français Le Petit Robert, suite à son usage constant et grandissant les années précédentes. Toutes les personnes non binaires n'utilisent pas forcément le pronom iel. Il existe d'autres néo-pronoms tels que ol, ul, ælle, al, ille, ael…
Cisgenre, transgenre ou non-binaire
«Iel» (contraction de «il» et «elle») ne se sent ni l'un ni l'autre, mais peut aussi se sentir les deux (être «genderfluid», «genre fluide» -se sentir femme un jour et homme un autre- est une forme de non-binarité).
Les personnes non-binaires peuvent ne se sentir ni homme ni femme, les deux, ou toute autre combinaison des deux. Le terme « non-binaire » désigne donc toutes les possibilités en dehors d'une identité strictement féminine ou masculine.
« il/lui », « they/them », « elle/elle », « she/her/hers », « il/they », « il/elle » : toute une flopée de pronoms personnels sujets et compléments (et d'adjectifs possessifs) s'affichent.
Christine Jorgensen (née le 30 mai 1926 dans le Bronx à New York (État de New York) et morte le 3 mai 1989 à San Clemente (Californie)) est devenue célèbre pour avoir été la première personne mondialement connue à avoir fait une opération chirurgicale de réassignation sexuelle — dans les années 1950.
Au début des années 2010, le mot "iel" a été pensé pour pallier un manque dans la langue française. Les pays anglo-saxons, eux, avaient recours au pronom "they" pour évoquer les personnes non-binaires. Pratique, car en anglais they est un mot épicène, c'est-à-dire qui neutralise le genre.
"Iel", pronom personnel à mi-chemin du masculin "il" et du féminin "elle", est défini dans Le Robert en ligne depuis novembre. L'éditeur a annoncé l'avoir fait entrer dans son édition 2023 du Petit Robert. Au départ, Le Robert précisait sur son site internet "on écrit aussi ielle, ielles".
Si les mots ont une forme masculine et féminine qui se prononce différemment, on peut distinguer le neutre en prononçant la terminaison neutre (ex. heureut = « heureutte »). La terminaison -x se prononce souvent comme /k/ ou /ks/.
Les pronoms neutres sont des pronoms qui ne font pas spécifiquement référence à un genre particulier. Ils peuvent être utilisés pour désigner des personnes de tout sexe, qu'il s'agisse d'un homme, d'une femme, d'une personne non binaire ou de toute autre identité de genre.
Mais il est tout aussi idéologique de refuser de donner à « iel » une entrée, comme le fait le Larousse ! Le Robert a toujours cherché à être proche des mots qui font l'actualité, alors que le Larousse se montre plus conservateur. Ce sont des choix éditoriaux et commerciaux.
« Le pronom "iel" a été créé par des personnes non-binaires au sein de la communauté LGBTQ+ . Mais cette intégration au Robert est bien la confirmation d'un usage qui va au-delà du cercle des personnes concernées », estime Aline Laurent-Mayard, journaliste qui se définit comme non binaire*.
Les signes qu'un enfant pourrait être transgenre
Exprime sa tristesse d'être un garçon ou une fille. Insiste pour porter les vêtements de l'autre sexe. Cherche à camoufler certaines parties de son corps. Exprime vouloir avoir les organes génitaux du sexe opposé.
Les prix varient selon le type d'opérations choisies. De 2000 euros par exemple pour une mastectomie à 35 000 euros pour une phalloplastie. Mais les chirurgies de réassignation sexuelle peuvent être prises en charge par l'Assurance Maladie au titre de l'ALD 31.
chez les hommes transgenres2. L'accouchement vaginal est possible; cela dit, le professionnel doit présenter toutes les options au patient pour optimiser son expérience du libre choix et de l'accouchement2,3,5. L'allaitement peut être envisagé après la naissance, si le patient le désire2,3.
Qu'est ce que signifie « LGBTQIA+ » ? Par L, on entend « Lesbiennes », par G « Gays », par B « Bisexuel·le·s », par T « Trans », par Q « Queers », par I « Intersexué·e·s », par A « Asexuel·le·s » ou « Aromantique·s » et le + inclut les nombreux autres termes désignant les genres et les sexualités.
La non-binarité représente les identités de genre autres que la binarité exclusive homme/femme. Les personnes non-binaires peuvent se sentir comme ni homme ni femme, comme les deux, ou comme toutes autres combinaisons des deux.
Le lexique canadien sur la diversité propose une définition simple : queer se dit d'« une personne dont l'orientation sexuelle ou l'identité de genre diffère de la vision binaire normative des genres et des sexualités ».
L'anorgasmie existe également chez l'homme, mais elle est plus rare 2, On distingue tout d'abord : l'anorgasmie primaire : la femme n'a jamais eu d'orgasme ;l'anorgasmie secondaire ou acquise : la femme a déjà eu des orgasmes, mais n'en a plus.
➙ don juan ; familier tombeur ; femme fatale, sirène, vamp. adjectif Sourire séducteur. ➙ enjôleur. nom masculin vieilli Homme qui séduisait (2) une femme, une jeune fille.
La polygamie désigne un régime matrimonial où un individu est lié, au même moment, à plusieurs conjoints. Pour une personne ayant plusieurs hommes, on parle également de polyandrie ; pour une personne ayant plusieurs femmes, de polygynie.