La L-phénylalanine est un précurseur important de la L-tyrosine qui va permettre la synthèse des catécholamines, la dopamine (dans un premier temps) et l'adrénaline et la noradrénaline (dans un second temps). Ces trois neurotransmetteurs contribuent au bon fonctionnement du système nerveux et hormonal.
Les effets dopaminergiques et adrénergiques de la phénylalanine amélioreraient l'humeur et le tonus en plus de limiter l'évolution d'une dépression. Complément alimentaire à base d'acide aminé. Pour 1 gélule : L-Phénylalanine 500 mg. Prendre 1 gélule, 1 à 3 fois par jour, de préférence entre les repas.
La phénylalanine est un acide aminé que l'on retrouve dans les protéines qui forment notre corps (tissus, hormones, os, etc.). Ces protéines se trouvent également dans plusieurs aliments que nous mangeons.
Sous l'action de la phénylalanine hydroxylase, elle est convertie, par exemple, en tyrosine, un aminoacide qui intervient dans la biosynthèse de certains neurotransmetteurs comme la dopamine et la noradrénaline.
La L-phénylalanine est un précurseur important de la L-tyrosine qui va permettre la synthèse des catécholamines, la dopamine (dans un premier temps) et l'adrénaline et la noradrénaline (dans un second temps). Ces trois neurotransmetteurs contribuent au bon fonctionnement du système nerveux et hormonal.
Le tryptophane, ou L-Tryptophane, est l'un des 9 acides aminés essentiels que l'on trouve dans les aliments riches en protéines. Il participe à l'équilibre azoté, mais il est aussi impliqué dans la production de sérotonine, l'hormone du bonheur.
La phénylcétonurie est causée par un déficit de l'enzyme nécessaire à la transformation de la phénylalanine en tyrosine. Les symptômes comprennent un retard mental, des convulsions, des nausées, des vomissements, une éruption cutanée semblable à de l'eczéma et une odeur corporelle « de souris » ou de moisi.
En fonction du taux de phénylalanine mesurée, on distingue trois types de phénylcétonurie : Typique lorsque le taux sanguin est supérieur à 20mg/dl ; Atypique quand le taux sanguin est compris entre 10 et 20 mg/dl ; L'hyperphénylalaninémie modérée permanente (HMP) lorsque le taux sanguin est inférieur à 10 mg/dl.
A haute dose, la phénylalanine est toxique pour le cerveau, tout particulièrement chez le fœtus, le bébé et le jeune enfant dont le cerveau est encore en pleine croissance. L'accumulation de phénylalanine peut ainsi entraîner un retard mental irréversible, une épilepsie ou d'autres problèmes neurologiques.
La phényléthylamine est naturellement retrouvée dans de nombreuses algues, champignons et bactéries ainsi que dans une variété de différentes espèces de plantes.
L-Tyrosine : son rôle dans notre organisme
Une carence en dopamine se traduit généralement par une sensation de fatigue dès le réveil, un manque de concentration, une perte de désir et de motivation.
Le diagnostic est établi grâce au dépistage néonatal systématique de la PCU basé sur le dosage de la Phé à partir d'un prélèvement sanguin réalisé sur un carton buvard entre 48 et 72h de vie. Lorsque le taux de Phé est compris entre 180 et 360 µmol/L [3 – 6mg/dL], un prélèvement de contrôle est réalisé.
Les protéines d'origine animale (c'est-à-dire les œufs, le lait, la viande, le poisson, et la volaille) fournissent le score de qualité le plus élevé des sources de protéines alimentaires. En effet, ces aliments sont bien absorbés par l'organisme pendant la digestion, et contiennent tous les acides aminés essentiels.
On trouve les 8 (ou plutôt 9) acides aminés essentiels dans toutes les sources de protéines animales. Les protéines végétales comme le pois, le soja ou les légumineuses sont souvent déficientes en lysine, méthionine ou tryptophane.
La phénylcétonurie (PCU) est une maladie qui provoque une accumulation de phénylalanine, qui est un acide aminé essentiel (acide aminé qui ne peut pas être produit par l'organisme, et qui doit être apporté par l'alimentation).
Pour éviter un tel scénario, le patient doit suivre un régime alimentaire contraignant extrêmement pauvre en protéines. « Sont interdits des aliments tels que les viandes, poissons, produits laitiers, charcuteries et œufs.
Cette maladie est traitée par un régime pauvre en protéines permettant de réduire le taux de phenylalanine dans l'organisme du patient et de limiter les dommages cérébraux. Un traitement précoce de la maladie permet, généralement, d'éviter le développement des symptômes.
Rare et héréditaire, elle se manifeste par des troubles moteurs, cognitifs et psychiatriques qui évoluent en dents de scie et s'aggravent progressivement jusqu'à la grabatisation et la détérioration intellectuelle des malades. Le décès survient en moyenne vingt à trente ans après le début des symptômes.
La phénylcétonurie est donc une maladie héréditaire récessive autosomique. Le phénotype phénylcétonurique dépend de plusieurs gènes : le gène qui code pour l'enzyme PAH, mais aussi le gène qui code pour l'enzyme DHPR, indispensable à la biosynthèse du BH4, cofacteur de la PAH.
Céréales et légumineuses : pois cassés, fèves de soja, son d'avoine, haricots blancs, haricots rouges, lentilles, riz complet, pâtes au blé complet… Le chocolat, la banane et la levure de bière contribuent également à nos apports en Tryptophane.
Un déséquilibre de son métabolisme va en effet se traduire par de l'anxiété voire de la dépression, de l'irritabilité, de l'impatience, des problèmes de concentrations, des fringales de sucres et des troubles du sommeil !