Les ARN messagers (ou ARNm) sont comme ces copies, des molécules chargées de transmettre l'information codée dans notre précieux génome, pour permettre la synthèse des protéines nécessaires au fonctionnement de nos cellules.
Les « vaccins à ARN messager », comme ceux de Pfizer-BioNTech et Moderna, consistent à injecter dans l’organisme non pas le virus mais des molécules d’« ARN messager », fabriquées en laboratoire. Cet ARN, encapsulé dans des particules de lipides, sans adjuvant chimique, ordonne aux cellules au niveau du site d’injection (principalement les cellules musculaires et les cellules du système immunitaire) de fabriquer une protéine spécifique du virus responsable de la Covid-19, ce qui activera une réponse immunitaire. Il est ensuite rapidement éliminé. L’ARN messager ne pénètre jamais dans le noyau de la cellule. Il n’a aucune action sur le génome, autrement dit, il ne modifie pas l’ADN.
La campagne de vaccination contre le Covid-19 est ouverte à l'ensemble des enfants de 5 à 11 ans depuis le 22 décembre 2021. Et, depuis le 25 janvier 2022, l'accord d'un seul parent est suffisant pour vacciner les enfants de cette tranche d'âge contre le virus.
La campagne de vaccination contre le Covid-19 est ouverte à l'ensemble des enfants de 5 à 11 ans depuis le 22 décembre 2021. Et, depuis le 25 janvier 2022, l'accord d'un seul parent est suffisant pour vacciner les enfants de cette tranche d'âge contre le virus.
La vaccination générale des enfants de 5 à 11 ans n'est pas obligatoire. Elle doit se faire de façon volontaire et ne pas conditionner l'obtention d'un « pass sanitaire ».
Le délai d’incubation (période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes, s'ils apparaissent) de la Covid-19 est de 3 à 5 jours en général, mais peut s’étendre jusqu’à 14 jours.
De manière générale, l'auto-médication par anti-inflammatoires doit être proscrite : il semblerait que les anti-inflammatoires non stéroïdiens puissent être un facteur d'aggravation de l'infection.
Dans le cas d'une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé.
On considère qu'une personne a de la fièvre lorsque sa température est supérieure à 38°C le matin ou 38,3°C le soir (pour les enfants, cliquez ici).
Prendre sa température corporelle permet de déceler l'apparition de la fièvre. On considère qu'une personne a de la fièvre lorsque sa température est supérieure à 38°C le matin ou 38,3°C le soir (pour les enfants, cliquez ici). En général la fièvre n'est pas en elle-même dangereuse.
Dans le cas d’une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou consultez le site https://www.covid19-medicaments.com.
Les symptômes d’une grippe pandémique sont similaires à ceux de la grippe saisonnière : fièvre élevée (> à 38°C), courbatures, fatigue, toux et gêne respiratoire. La durée d’incubation peut aller jusqu’à sept jours et une personne grippée est contagieuse dès les premiers symptômes et pendant environ sept jours.
➜ Dans le cas d'une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou consultez le site https://www.covid19-medicaments.com.
Si vous présentez des symptômes post-Covid persistants, il vous faut :
On les regroupe habituellement en plusieurs « rubriques » : neurologiques, fatigue, troubles cardiaques respiratoires, douleurs musculaires ou articulaires, atteinte du gout de l'odorat, du système digestif, troubles cutanés…
Les personnes contacts à risque, quel que soit leur statut vaccinal, ne doivent plus s'isoler. Elles doivent réaliser un test (TAG, RT-PCR ou autotest) à J+2 de la notification du statut de contact, et appliquer de manière stricte les mesures barrière dont le port du masque.
Par contact indirect, via des objets ou surfaces contaminées par une personne porteuse. Le virus est ensuite transmis à une personne saine qui manipule ces objets, quand elle porte ses mains à la bouche.
Si le test est positif ou si la personne ne réalise pas de test, son isolement est maintenu à 10 jours. Le respect des gestes barrières (port du masque et mesures d'hygiène) est à respecter les 7 jours suivant la sortie d'isolement du cas positif.
Le certificat de rétablissement est l'une des preuves qui permet d'avoir un « pass vaccinal » valide. Il prouve que vous avez été testé positif au Covid-19 : c'est le résultat positif de ce test RT-PCR ou antigénique.
Ainsi, les personnes qui ont été testées positives au Covid-19 plus de trois mois après leur schéma vaccinal initial complet peuvent utiliser leur certificat de rétablissement dans le cadre du « pass vaccinal ».
En l’état actuel des connaissances, selon le Haut Conseil de la Santé Publique, les malades guéris peuvent à nouveau rentrer en contact avec d’autres personnes après la levée de l’isolement strict.
À noter que le test de référence pour détecter le virus du Covid-19 est le test PCR sur prélèvement nasopharyngé. > La liste des tests autorisés en France est disponible sur le site du ministère des solidarités et de la santé : https://covid-19.sante.gouv.fr/tests.
Les crises d'asthme sont le plus souvent de courte durée, variables et réversibles, contrairement à l'insuffisance respiratoire liée au COVID-19 qui est de plus longue durée. Si vous êtes allergique aux pollens, vous pouvez continuer à prendre vos traitements habituels (inhalateurs, comprimés).
Le virus touche toutes les classes d'âges, y compris les plus jeunes, chez qui on constate aussi des complications ou des formes graves.
L’infection n’a pas les mêmes conséquences chez tous les individus.
Covid-19 et allergies Les symptômes secondaires à des allergies respiratoires peuvent selon les situations ressembler à la Covid-19, notamment la toux et les difficultés respiratoires lors des crises d'asthme. Cependant, on ne trouve ni fièvre, ni courbatures dans les allergies.
Le stade 3 correspond à l'épidémie proprement dite, lorsque le virus circule largement dans la population.