Le développement économique s'attarde à la création de nouvelles entreprises, le maintien et la survie des entreprises existantes, la croissance optimale des entreprises, le développement de secteurs innovants ainsi que l'attraction d'investissements. La stagnation économique représente également un enjeu important.
Le concept de développement désigne l'ensemble des transformations techniques, sociales, territoriales, démographiques et culturelles accompagnant la croissance de la production. Il traduit l'aspect structurel et qualitatif de la croissance et peut être associé à l'idée de progrès économique et social.
Le rôle du développement consiste à élargir les possibilités, pour chacun, de choisir la vie qui lui convient : vivre longtemps et en bonne santé, acquérir un savoir et des connaissances, avoir accès aux ressources nécessaires pour une existence décente et d'être en mesure de participer à la vie de la collectivité.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Définition et objectifs. L'économie du développement est un ensemble de pratiques publiques et privées encourageant le développement économique d'un pays ou d'une région, en favorisant par exemple la propension à investir, innover, entreprendre, se former, travailler.
➢ L'économie cherche à fournir aux individus des solutions qui leur permettront d'obtenir le maximum de satisfaction à partir des ressources rares dont ils disposent. ➢ L'économie, c'est la vie des hommes au travail afin de produire des biens et des services nécessaires à la satisfaction de ses besoins.
Le développement économique et ses indicateurs. Alors que la croissance est d'abord un phénomène quantitatif de nature économique, le développement est mouvement continu sur le long terme, de nature qualitative et quantitative, qui modifie durablement les structures économiques, sociales et démographiques de la société ...
Trois facteurs principaux sont responsables du développement : les facteurs biologiques, les facteurs sociaux et enfin les facteurs cognitifs.
La croissance économique est souvent présentée comme ayant toutes les vertus. Elle permet de diminuer le chômage dans les pays industrialisés et de réduire la pauvreté dans les pays en développement. Elle correspond à l'augmentation, pendant une longue période, du volume de la production et des richesses d'un pays.
Le développement est lié à la croissance économique, c'est-à-dire un changement de dimension caractérisé par l'augmentation soutenue pendant une longue période d'un indicateur. La croissance se réduit à la mise en œuvre de facteurs physiques tels que le travail, le capital ou encore le progrès technique.
Néanmoins, l'insécurité alimentaire, la santé, et la pauvreté figurent parmi les cinq premiers problèmes quel que soit le milieu. Ces problèmes sont au premier, deuxième, et troisième rang en milieu rural contre deuxième, troisième, et quatrième en milieu urbain.
La croissance est la quête perpétuelle des politiques économiques. Elle est indispensable pour faire face à bon nombre de problèmes économiques et sociaux, celui du chômage en premier. Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend.
Définition. La définition retenue est souvent celle de F. Perroux : « Le développement est la combinaison des changements mentaux et sociaux d'une population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel global ».
La croissance économique entraîne des externalités négatives. Les ressources naturelles s'épuisent, la forêt perd du terrain, la biodiversité est attaquée, la pollution augmente, ce qui contribue à entraîner des changements climatiques importants.
Le développement peut à son tour favoriser la croissance. Cependant on constate que la croissance peut dissimuler l'existence d'inégalités importantes, ainsi que les conséquences à long terme de son impact sur l'environnement qui se feront ressentir dans l'avenir.
La croissance physique correspond à l'augmentation des dimensions corporelles. Le développement correspond à la croissance et à la maturation, des différentes fonctions et capacités fonctionnelles. Ces deux processus dépendent de facteurs génétiques, nutritionnels et environnementaux.
La croissance économique s'explique d'abord par la quantité de facteurs de production mobilisés. Ainsi, la quantité de facteur travail, c'est-à-dire l'augmentation de la population active, contribue directement à l'évolution de la quantité de biens et services produits.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
La croissance économique se manifeste par une augmentation significative et durable de la production de biens et de services. Cette variation positive se mesure grâce à l'évolution annuelle de l'indicateur du produit intérieur brut (PIB), évalué en monnaie constante afin de prendre en compte l'inflation.
Un développement sans croissance en volume permettra de concilier ce qui est apparemment inconciliable : la satisfaction des besoins fondamentaux et la protection de la nature. Il suppose de renoncer à la production comme à la consommation de masse, de tourner la page du fordisme.
L'investissement représente un des moteurs essentiels de l'activité économique par ses effets sur le rouage de la production : il permet de produire plus et de produire mieux. Il détermine et conditionne ainsi le niveau de la croissance économique.
– Le développement sera source de progrès s'il permet à chacun d'accéder à l'eau, à un toit, à l'éducation, aux libertés individuelles et collectives, en enfin à la démocratie. .. La dialectique du savoir, du pouvoir et du vouloir est la seule en mesure pour apprécier l'évolution et le progrès dans l'histoire.
Au sens économique du terme, désigne tout sentiment de manque ou d'envie susceptible de déboucher sur un achat. Mais seuls les besoins solvables débouchent effectivement sur un achat. Les autres besoins demeurent insatisfaits, faute de pouvoir d'achat.