En raison de sa caractéristique courant tension symétrique le diac est idéal pour la commande en courant alternatif. Il est essentiellement utilisé pour la commande en quatre quadrants des
2) Comment tester un diac
Il suffit alors de monter la tension de l'alimentation continue progressivement. Lorsque l'on franchit la tension de seuil de conduction, la led s'allume. Sur mon exemple, j'ai utilisé un diac DB3 avec un seuil à 32V.
Le triac est déclenché à chaque demi-alternance du secteur par le diac, qui fournit une impulsion positive pour cette demi-alternance et une impulsion négative pour la suivante. la tension fournie en sens convenable, au diac par R2C2.
Du fait de cette structure, le triac peut être utilisé pour contrôler le passage des deux alternances d'un courant alternatif (contrairement au thyristor qui ne peut conduire que pendant une seule alternance).
Le triac est identifié par la référence inscrite sur son corps, qui permet également de trouver parmi ses trois bornes la gâchette G (à relier au circuit de commande) et ses deux anodes A1 et A2 (chacune à relier à l'alimentation ou à la charge à alimenter).
TRIAC vient de l'anglais Triode Alternating Current qui signifie Triode pour courant alternatif. Un triac est, contrairement au thyristor, un composant bidirectionnel, qui peut laisser passer le courant dans les deux sens. Le TRIAC est un dispositif semi–conducteur à trois électrodes (anode 1, anode 2, gâchette).
Le thyristor se comporte comme une diode dont on commande la mise en conduction. Le symbole du thyristor ressemble d'ailleurs beaucoup à celui d'une diode. On y retrouve l'anode (A) et la cathode (K), mais une troisième borne apparaît : la gâchette (G). C'est elle qui permet la commande du composant.
Le thyristor est passant : il conduit, le courant Iak traverse le thyristor de l'anode vers la cathode. Lorsque celui-ci dépasse initialement la valeur du courant de verrouillage, le thyristor reste conducteur tant que le courant ne descend pas en dessous d'une certaine valeur, appelée courant de maintien.
On peut dire que le triac est l'équivalent de deux thyristors montés tête-bêche. Mais comme le triac peut conduire dans les deux sens, son utilisation en alternatif est évidente, puisqu'elle permet d'exploiter les deux alternances.
Malgré l'utilité des relais électromécaniques (EMR), les relais statiques (SSR) sont souvent privilégiés en raison de leur taille compacte, de leur faible coût, de leur haute vitesse, de leur faible bruit sonore et électrique et de leur fiabilité.
La meilleure façon de tester une diode consiste à mesurer la chute de tension dans la diode lorsqu'elle est polarisée en sens direct. Une diode polarisée en sens direct agit comme un interrupteur fermé, laissant le courant circuler.
Pour la tester précisément, on la dessoude du circuit électrique, on relie son anode A et sa cathode K respectivement aux bornes A et K d'un LCR-mètre et on appui sur le bouton Bt. On vérifie que le LCR-mètre présente à l'écran une architecture de diode zener (le LCR-mètre indique également la tension de claquage).
Ce courant de 21 mA traverse la résistance qui est alors soumise à une tension de Ve min - Vs = 25 V - 15 V = 10 V. On choisit immédiatement inférieure : R = 470 Ohms.
Le transistor est effectivement utilisé comme un composant de commutation ou d'amplification, alors que le thyristor est considéré comme une sorte de diode controlée, c'est un élément de commutation uniquement.
Le thyristor peut être identifié à partir des inscriptions sur son corps. Ce qui permet de situer ses 3 bornes dont l'anode A (reliée à l'alimentation), la cathode K (reliée à la charge à alimenter) et la gâchette G (reliée au circuit de commande).
On peut vérifier qu'un thyristor est fonctionnel avec un multimètre: Circuit ouvert entre Anode et Cathode, si thyristor grillé: résistance nulle(mais pas toujours!!!) Résistance pouvant varier de 20 ohms à 500 ohms entre gate et Cathode, si thyristor grillé: résistance infinie ou court circuit.
Une diode est un composant de circuit électrique qui permet à un courant de la traverser dans un sens mais pas dans le sens opposée. Le symbole d'une diode sur un schéma de circuit est un triangle pointant vers un trait perpendiculaire au fil conducteur.
Le triac est amorcé avec des impulsions de 5µs, et on vérifie 25µs qu'il est effectivement amorcé en mesurant la tension à la broche "Gate" (voir fiche sur l'amorçage des triacs, principe Philips/NXP note d'application AN467).
Lorsqu'une diode permet au courant de circuler, elle est polarisée dans le sens direct. Lorsqu'une diode est en polarisation inverse, elle agit comme isolant et empêche le courant de circuler. Étrange mais vrai : la flèche du symbole de la diode pointe dans le sens inverse de celui du flux d'électrons.
Pour le test avec un multimètre simple, on peut comparer un transistor ordinaire à deux diodes reliées ensemble. Il suffit de positionner un des fils du multimètre sur la base du transistor, et ensuite de mesurer avec les deux autres électrodes (émetteur et collecteur).
En appliquant une tension inverse entre l'anode et la cathode, on bloque le thyristor. Sous tension inverse, le thyristor ne peut pas jamais être passant, de même qu'une diode bloquée. - Blocage par annulation du courant (extinction naturelle). Si le courant s'annule, le thyristor bloque.
Avec un courant de gâchette nul, le SCR peut bloquer une tension aussi élevée que le UBo. Passé ce point, l'amorçage par tension se produit et le SCR passe à l'état de conduction. Son courant devient élevé et sa tension devient faible car il sature. Si IA devient inférieur à IH, le SCR retourne à l'état bloqué.
L'UJT est principalement utilisé pour la réalisation d'oscillateurs à relaxation, car il possède la particularité d'offrir une résistance négative dans une partie de sa courbe de caractéristiques. Un transistor unijonction peut être assimilé à une diode associée à un diviseur de tension.
Zone EF :l'intensité croit brusquement, c'est la zone de claquage. La diode est un composant non linéaire. On veut déterminer V et I. D'après la loi des mailles : E = R.I + V Connaissant E et R, il faut une deuxième relation pour déterminer V et I : la caractéristique de la diode.