Tout navire doit obligatoirement posséder un pavillon. C'est l'État dans lequel il est immatriculé qui le contrôle et lui impose ses règles fiscales, sociales, environnementales, pénales à appliquer hors de la mer territoriale (« droit du pavillon »).
En conclusion, la différence entre un drapeau ou un pavillon est très minime, la principale différence est que le drapeau dispose d'une hampe la plupart du temps en bois alors que le pavillon n'en a pas et est hissé à laide d'une corde et d'anneaux.
L'État du pavillon est l'entité qui attribue au navire le droit de battre son pavillon. Il lui octroie une nationalité indispensable à toute navigation. Ce qui exprime une souveraineté de l'État du pavillon sur ses navires.
En langage maritime, le pavillon est un drapeau hissé au mât le plus haut du bateau. En général, c'est le drapeau du pays du bateau. Battre pavillon, c'est donc hisser les couleurs du pays pour lequel on navigue.
Le pavillon national est obligatoire et doit se fixer sur le haut du mât d'artimon (pour les voilier ayant plusieurs mâts), ou à l'arrière du bateau, sur une hampe ou un mâtereau spécifique, légèrement incliné vers l'arrière. Idéalement, il doit être fixé sur une drisse pour être levé en cas de salut.
En droit maritime, le terme de pavillon est la nationalité de rattachement du navire, le pays dans lequel il est immatriculé et dont il relève juridiquement en haute mer. Le pavillon tire son nom de la pièce d'étoffe représentant le drapeau de ce pays, arboré à la poupe (à l'arrière) des navires.
Le pavillon ou drapeau horizontal est noué à ses 2 extrémités sur une drisse accessible à l'extérieur du mât. Le drapeau personnalisé est tendu par la drisse que l'on enroule et noue sur un taquet. Il suffit de libérer la drisse pour descendre ou hisser le drapeau sur son mât.
Le pavillon national est la marque de nationalité du navire (et non de son équipage qui pour autant peut être la même) et permet son identification en mer. Il doit être arboré en mer comme au port. Il est le plus grand en taille des pavillons du bord, mais doit cependant être proportionnel à la taille du navire.
La poupe est la partie arrière du bateau.
Baisser pavillon devant qqn. Reconnaître sa supériorité, s'avouer vaincu, lui céder : 3.
Le contrôle par l'État du port consiste en l'inspection des navires étrangers dans les ports nationaux pour vérifier que l'état du navire et de son armement est conforme aux prescriptions des règles internationales et que le navire est doté d'effectifs et est exploité conformément à ces règles.
Le droit maritime est, au sens large, l'ensemble des règles juridiques relatives à la navigation en mer, aux abords des côtes et dans les ports, ainsi que celles qui établissent un fonctionnement de base et règlent les litiges à bord du navire.
La matière des drapeaux et pavillons
La maille légère est favorisée pour les drapeaux d'intérieur, car elle peut être ignifugée et s'imprime bien. La maille ajourée est quant à elle préférée pour les pavillons et drapeau d'extérieur, car elle est adaptée aux régions ventées.
La différence entre un maison et pavillon résulte donc de la « saisonnalité » de la demeure. Un pavillon est une extension externe d'une maison qui se caractérise par un toit souple, généralement en matériau étanche, qu'il convient de démonter pour l'Hiver.
"Un drapeau" est le terme générique pour désigner le bout de tissu pouvant être fixé à une hampe. Ce tissu peut également être accroché en haut d'un mât à l'aide d'une corde, dans ce cas on l'appelle aussi pavillon.
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
Ce n'est qu'au début du XXe siècle qu'elle est devenue un local fermé et vitré (un abri de navigation) intégré aux superstructures du navire, mais le nom de passerelle est resté. On utilise aussi le terme timonerie pour désigner la passerelle d'aujourd'hui.
Les termes "bâbord et tribord" sont une référence par rapport au bâteau, quel que soit l'endroit du bâteau où l'on se trouve, que l'on regarde la proue ou la poupe et si l'ordre est "repérage naufragé par bâbord arrière" tout le monde sait où regarder, si l'on disait à gauche, il y aurait un moment de flottement, voire ...
Pont, Deck – Le pont, supporté par les barrots, est un plancher formé par les bordés recouvrant le dessus de la coque. Il peut être continu et percé de quelques ouvertures, ou bien ne fermer qu'une partie de la coque, lorsque le bateau est à demi-ponté.
voileux n. Personne qui pratique la voile de plaisance.
catamaran : Bateau à deux coques séparées reliées par une structure.
La levée des couleurs (drapeau) a lieu tous les matins dans toutes les casernes et brigades de gendarmerie en France. La descente des couleurs se fait le soir. Ce moment fort permet de rappeler à chaque militaire son engagement et son attachement à la republique, en ayant toujours une pensée pour nos anciens.
1. Il n'est pas obligatoire (mais cela serait tout de même préférable) d'exposer le drapeau français sur la façade ou le toit d'un édifice public. 2. Il est interdit d'arborer un seul drapeau dès lors que ce drapeau n'est pas le drapeau français.
Monter, porter, transporter quelque chose, quelqu'un dans un lieu plus élevé (avec effort) : Hisser un blessé dans l'ambulance.
Le pavillon de courtoisie doit être hissé (envoyé) du côté tribord du mât le plus en avant et sous le premier étage de barre de flèche. Le pavillon se fixe sur la drisse de pavillon, on dit qu'il est frappé à une drisse.