Le rythme du récit Pour rendre son récit plus dynamique, et donc plus intéressant, le narrateur varie le rythme de sa narration, en passant plus ou moins de temps sur un épisode. Dénominations Caractéristiques Exemples La scène Le rythme de la narration correspond à peu près au rythme de l'histoire.
La vitesse narrative se définit par le rapport entre la durée de l'histoire et la longueur du récit. Dans les récits narratifs, il y a quatre rapports fondamentaux, selon G. Genette, qui définissent la vitesse narrative, ou qui constituent le tempo romanesque : de la lenteur absolue à la vitesse infinie.
Le rythme d'un livre, c'est exactement comme le rythme d'une symphonie. Les notes, ce sont vos mots. Les agréger forme la musique de votre livre. Mais point de musique sans rythmique.
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
Sur la question du rythme, retenez tout d'abord que la fiction se mesure en temps (minutes, heures, mois, années, etc.) ; la narration, elle, se mesure en nombre de lignes, de pages, de chapitres, etc.
Le rythme, c'est une question de temps. Or, il faut bien prendre en compte que dans tout texte, il y a deux temps : celui de la chose racontée (l'histoire) et celui mis à la raconter (le récit). Construire le rythme d'un texte, c'est donc créer un jeu entre ces deux temps pour intéresser le lecteur.
LE RYTHME. Le rythme contribue avec les sonorités à la musique du poème. Ce sont les accents, les pauses, les coupes et les mesures qui le créent. L'accent tonique ou rythmique porte sur la dernière syllabe (ou l'avant-dernière quand la dernière comporte un e muet) d'un mot ou d'un groupe de mots.
Tu vas faire le choix important de raconter ton histoire soit majoritairement au présent, soit au passé. Puis, si tu choisis d'utiliser le passé, tu vas affiner en te tournant vers un temps en particulier. Une majorité d'auteurs qui écrivent au passé choisissent l'imparfait.
Le temps dominant dans la plupart des textes explicatifs est le présent de l'indicatif, appelé présent de vérité générale.
Point de vue omniscient
Le narrateur omniscient connaît tout des personnages et peut voir tous leurs faits et gestes. C'est le point de vue d'un dieu, d'un narrateur démiurge, qui sait tout sur les personnages. C'est donc une focalisation totale, subjective et exhaustive.
Un récit est construit en suivant une structure déterminée par l'auteur. Traditionnellement, une séquence narrative suit cinq mouvements : la situation initiale, l'élément perturbateur ou déclencheur, les péripéties ou les actions, l'élément de résolution et la situation finale.
Un récit peut prendre différentes formes : un conte, une fable, un roman ou encore une épopée. Un conte est donc une sorte de récit parmi d'autres. C'est un texte généralement court, qui fait la part belle à l'imaginaire.
Définition de rythme nom masculin
Mouvement du discours poétique réglé par la métrique, qui le distingue de la prose (➙ poésie). Mouvement général (de la phrase, etc.) qui résulte de son agencement, de la répartition des accents.
Le rythme du texte est donc déterminé par la place des accents, qui mettent en relief une syllabe d'un mot ou d'un groupe de mots. Quand on parle d'accentuation en poésie, on évoque les accents fixes et les accents mobiles. Les accents fixes concernent la fin d'un groupe de mots.
De manière générale, le rythme poétique (ou métrique) est associé au schéma métrique abstrait d'un vers (modèle) et non à l'énoncé linguistique qui le constitue. Il est donc, conceptuellement, distinct de ce qu'on pourrait appeler le rythme prosaïque de l'énoncé (ou rythme prosodique).
Le discours est un dialogue, une explication, un commentaire que l'auteur de l'énoncé adresse à quelqu'un. Le discours ne raconte rien, mais parle à propos de quelque chose. Les genres où l'on utilise surtout le récit sont les essais, le théâtre, les ouvrages critiques, les modes d'emploi, etc.
Le temps de base du discours est le présent, accompagné surtout du passé composé et du futur simple ou périphrastique (Je vais vous raconter comment...) ; on peut y trouver tous les autres temps sauf le passé simple. Le discours ne perd jamais le contact avec le temps de référence que constitue l'énonciation.
Le récit est le texte, la forme orale ou écrite qui présente une histoire. L'histoire est ce que le récit raconte : l'intrigue, les évènements, etc. La narration est l'acte de mettre l'histoire en récit, c'est l'action de raconter l'histoire.
Dans certaines parties du texte, quelques passages plutôt longs de l'histoire sont résumés en quelques lignes. Ceci va alors créer un effet d'accélération de la narration. Le temps de l'histoire est alors plus grand que le temps de la narration.