La rémunération d'un généalogiste est libre, constituée d'une part fixe et d'une part variable (en fonction des résultats obtenus). Le généalogiste ne se rémunère que s'il retrouve des héritiers en percevant un pourcentage de l'héritage (environ entre 15 et 45 % de la part nette revenant aux héritiers).
Dans les faits, un bac+5 en droit ou en Histoire (Master Histoire) à l'université fait partie des cursus les plus prisés par les futurs généalogistes. L'université de Nîmes propose par exemple un parcours "Généalogie et histoire des familles" entièrement à distance.
Qui paie le généalogiste successoral ? Lorsqu'un héritier sera retrouvé, le généalogiste proposera un contrat de révélation. Ce sont les héritiers ayant bénéficié de ses recherches qui seront chargés de payer le coût de la prestation du généalogiste. En cas d'échec, les héritiers n'auront pas d'honoraires à débourser.
Le pourcentage revenant au généalogiste se situe entre 20% et 40% HORS TAXE de l'actif net successoral : cela ne signifie pas que le généalogiste reçoit entre 20 et 40% de la succession. Ces taux s'appliquent sur l'ACTIF NET SUCCESSORAL, soit après que les droits de successions et frais de Notaire aient été payés.
Un généalogiste vous annonce que vous êtes héritier d'une personne décédée et vous propose de signer un contrat de révélation de succession. Premier conseil, ne vous précipitez pas, il n'y a aucune urgence.
Description métier
Le généalogiste familial / la généalogiste familiale effectue des recherches généalogiques ou historiques pour une clientèle privée. Il ou elle intervient pour un conseil ponctuel ou une recherche complexe, pour débloquer des recherches déjà commencées.
Le notaire peut dès lors faire appel à un généalogiste, notamment pour identifier, localiser et contacter tous les héritiers ou certains d'entre eux ou encore établir la dévolution successorale, c'est-à-dire les héritiers de la succession.
Première société européenne de recherche d'héritiers
Avec sa dimension internationale, Coutot-Roehrig est la seule société à pouvoir appréhender des problèmes de succession et de recherche d'héritiers sur les cinq continents, en s'appuyant sur des compétences pluridisciplinaires.
Grâce à ses investigations, le généalogiste dresse un tableau généalogique afin d'établir la dévolution successorale et ainsi d'identifier et de localiser les héritiers du défunt. Famille recomposée, divorce, enfant adultérin, mobilité internationale, etc. Les causes de déshérence sont de plus en plus nombreuses.
Le chasseur d'héritiers est mobile et travaille très souvent à l'extérieur, dans des mairies, des salles d'archives, et peut même être amené à quitter la France dans le cadre de dossiers à l'international, de plus en plus répandus. Le salaire du généalogiste est conditionné à son activité.
Pour devenir généalogique, il est demandé un cursus universitaire généraliste (en droit de préférence, avec spécialisation en droit des successions), suivi d'une formation pratique de 3 ans en entreprise. Bon à savoir : un bon généalogiste doit être doué en recherches, mais également en droit et en négociation !
Il vient en aide aux personnes qui se retrouvent bloquées dans leurs recherches. Il peut ainsi effectuer des recherches pour retrouver un ascendant ou un descendant. Le généalogiste successoral est souvent mandaté par les notaires pour la recherche d'héritiers.
Un généalogiste est une personne qui pratique la généalogie, c'est-à-dire la recherche de la parenté et de la filiation, au titre de loisir ou de profession.
Le contrat de révélation de succession est celui par lequel un généalogiste propose à une personne qu'il a identifié comme étant potentiellement héritière, de lui révéler cette succession, moyennant le paiement d'une somme d'argent. Souvent indexée sur le montant de la part qui revient à l'héritier.
Comment plusieurs centaines d'héritiers se retrouvent... sans héritage. ENQUÊTE - Deux études généalogiques ont abusivement utilisé les héritages de près de 1900 clients. Plusieurs millions d'euros ont été dilapidés. Inquiète, la profession tente de contenir ces «sinistres».
Les notaires font appel aux services de généalogistes successoraux pour rechercher les héritiers inconnus ou disparus d'un défunt dont ils doivent régler la succession.
En d'autres termes, le notaire va établir l'ordre des héritiers. Par conséquent, il va les contacter afin de les informer de la succession. Généralement, le notaire est celui du lieu du dernier domicile du défunt. Il débute sa mission sur la présentation de l'acte de décès.
I - La négociation des clauses du contrat de révélation de succession. En premier lieu, l'héritier reçoit le contrat qui est en réalité une proposition. Il est donc possible pour l'héritier et même recommandé de négocier les clauses dudit contrat dont celle relative au prix.
Etape indispensable avant de procéder au partage du patrimoine du défunt (lorsqu'il n'y a pas de testament ni de donation), la recherche des héritiers réserve parfois des surprises et permet d'éviter tout conflit futur.
On parle de dévolution légale. Les héritiers sont classés dans l'ordre suivant : Les enfants et leurs descendants : Enfant, petit-enfant, arrière petit-enfant (aucune distinction ne doit être faite entre eux quel que soit le lien qui unit les parents)
Il est possible de demander à un commissaire-priseur judiciaire, un huissier ou un notaire d'établir un inventaire de la succession pour estimer les biens et les dettes du défunt.
Vos frères et sœurs héritent de toute la succession. La répartition entre frères et sœurs s'effectue à parts égales. Exemple : Si vous avez 1 frère et 1 sœur, ils auront droit chacun à la moitié de la succession.
“Le notaire mandate un généalogiste successoral lorsqu'il est dans l'impossibilité d'identifier avec certitude qui sont les héritiers d'un défunt : soit parce qu'il n'en connaît aucun, soit parce qu'il n'en connait qu'une partie, ou encore parce qu'il a un doute quant à la qualité effective de ceux qui se sont ...