L'économie japonaise est principalement une économie de services avec toutefois une industrie toujours bien présente : le secteur tertiaire occupe plus des deux tiers (70,9 %) de la population active et assure environ les trois quarts (69,3 %) de son PIB, tandis que le secteur primaire (agriculture, pêche) ne ...
Au sortir de la crise, le Japon demeure la 3ème économie mondiale derrière les Etats-Unis et la Chine (avec un PIB de 4 400 Mds €, un PIB/habitant en PPA de 37.700€, un niveau comparable à la France).
La croissance économique du Japon dans les années 1960 et 1970 est basée sur l'expansion rapide de l'industrie lourde dans des domaines tels que l'automobile, l'acier, la construction navale, les produits chimiques et l'électronique.
Sur huit matériaux chimiques de base, quatre sont au Japon en quantité suffisante : charbon, soufre, magnésium, chaux. Il est déficitaire pour quatre autres : sel, potasse, phosphate, nitrate.
Porté par une solide consommation des ménages, le PIB japonais a progressé de 0,5 % au deuxième trimestre. Mais la hausse des prix à la consommation et une remontée des infections au coronavirus font craindre un essoufflement au second semestre. L'économie japonaise retrouve son niveau d'avant crise.
L'économie japonaise est principalement une économie de services avec toutefois une industrie toujours bien présente : le secteur tertiaire occupe plus des deux tiers (70,9 %) de la population active et assure environ les trois quarts (69,3 %) de son PIB, tandis que le secteur primaire (agriculture, pêche) ne ...
Le Japon est la troisième puissance économique mondiale.
Le Japon se situe aux premiers rangs mondiaux pour de nombreuses productions (acier, navires, automobiles et motos, plastiques, téléviseurs, appareils photographiques, etc.), dont une part notable est exportée.
Le Japon commerce surtout avec l'Australie, l'Union Européenne, les Etats-Unis et les pays d'Asie. Il exporte des automobiles et des produits industriels de haute technologie, mais il est totalement dépendant du commerce international avec ses importations massives de produits agro-alimentaires et énergétiques.
Le Japon après sa défaite lors de la seconde guerre mondiale a su actuellement être un leader mondial. Mais cette puissance lié à son industrie de pointe et aux investissements au travers du monde . Leur puissance apparaît particulière car c'est un territoire étroit et insulaire.
Bien que les chiffres varient d'année en année, la Russie a fourni entre 7 % et 8 % environ des importations de GNL du Japon.
Tokyo est la ville mondiale qui produit le plus de richesses : Elle est à l'origine du premier PUB (Produit urbain brut) devant Londres, Paris et New York. Elle représente 30 % de la richesse du Japon. Elle est la première concentration au monde de sièges sociaux d'entreprises.
Premier point de faiblesse: la dette publique représente un peu plus de 170 % du PIB, comme le rappelle une étude de la mission économique de l'ambassade de France au Japon, et le gouvernement ne semble pas s'inquiéter outre mesure de la situation. "L'augmentation des prélèvements reste un tabou", indique l'étude.
Le Produit Intérieur Brut (PIB) est l'un des principaux indicateurs de la richesse créée dans un pays sur une période donnée. En 2021, le Fond Monétaire International (FMI) prévoyait un PIB américain de plus de 22.675 milliards de dollars en 2021, les États-Unis occupant alors toujours la première place.
La faible inflation japonaise trouve son origine dans le maintien d'une forte rigueur salariale. Depuis 1998, le salaire réel par tête a diminué de 2 % quand la productivité par tête s'est accrue de 10 %. Le partage des revenus s'est déformé au détriment des salariés.
« Les ménages japonais détiennent l'essentiel de leurs économies sur des comptes bancaires (48 %) et ces sommes sont utilisées par les banques commerciales pour acheter des obligations de l'Etat japonais. Ces obligations sont ainsi détenues à hauteur de 85,7 % par des investisseurs japonais », détaille Kohei Iwahara.
61% des exportations totales (380 Mds€) concerne les équipements de transports (23%), les appareils électriques (18% et les machines (20%). 85% [4] des appareils électriques et 50% des véhicules [5] fabriqués au Japon sont destinés à l'export.
A) Les aspects de la puissance
Trois secteurs font la réputation de l'industrie japonaise : Les industries de base (sidérurgie, pétrochimie, construction navale). Ce secteur fut à l'origine du décollage industriel japonais dans les années 50, mais connaît de nos jours une forte concurrence internationale.
Cependant, il présente un taux de pauvreté (proportion de personnes dont le revenu est inférieur à la moitié du revenu médian de la population totale) très élevé par rapport à sa richesse, et nettement supérieur à celui de la France (16,1% contre 8,5%, tous âges confondus), soit 1 Japonais sur 6.
Plus de 10 millions de personnes au Japon vivent avec l'équivalent de moins de 16.000 euros par an, et une personne sur six vit dans une "relative pauvreté", avec un revenu inférieur à la moitié du salaire médian, selon des chiffres officiels.
Plusieurs facteurs y font part, comme le monde du jeu vidéo qui est dominé par Sony et Nintendo, ou encore la mise en avant de la culture traditionnelle comme les jardins japonais, les festivals, l'image du samouraï ou encore l'attrait pour sa gastronomie (sushis, saké) dans le monde entier.
Langue officielle
Le japonais (de facto).
Les Japonais et Japonaises sont un peuple poli, courtois et respectueux des règles de vie en communauté. Ils restent toutefois très abordables et extrêmement serviables. En petit comité ou en allant plus dans la campagne, ils savent également se montrer très joviaux.