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Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Outre l'anxiété et les problèmes de sommeil, d'autres symptômes de sevrage sont possibles: agitation, sensibilité accrue à la lumière et au bruit, troubles sensoriels des nerfs (p. ex. picotements), crampes et contractions musculaires, troubles du sommeil, vertiges, états de confusion, etc.
Les deux raisons de mourir lors d'un sevrage alcoolique sans traitement sont le delirium tremens et la crise d'épilepsie.» La crise d'épilepsie peut causer une chute et un traumatisme crânien. Elle peut aussi se répéter et se prolonger jusqu'à déboucher sur un état de mal épileptique qui peut être fatal.
Les symptômes de sevrage peuvent se manifester dans les 6 à 12 heures suivant la prise du dernier verre. Les symptômes atteignent leur paroxysme au 2e ou 3e jour et peuvent durer jusqu'à 7 jours.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Comme son nom l'indique, il s'agit d'un délire tremblant. C'est une complication grave typique du sevrage d'alcool, qui est potentiellement mortelle, notamment en raison du risque de déshydratation et d'étouffement (conséquence de l'agitation). Il existe des médicaments pour calmer ces symptômes.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
C'est le fameux phénomène d'engorgement. Vous l'avez en général déjà vécu au moment de la montée de lait notamment. Il est causé notamment par le ralentissement de la circulation du lait, l'augmentation du flot sanguin et au développement d'un œdème.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend. Mais le cannabis est beaucoup plus dosé qu'autrefois. Selon son pays d'origine, sa concentration peut être conséquente", alerte-t-elle.
Pratiquer ce genre de méditation "pleine conscience" peut permettre à un cerveau très agité de ralentir, laissant place à un sentiment de paix et de calme. Quand le stress monte, l'urgence de retrouver notre calme peut nous pousser vers des moyens contre-productifs - comme la drogue, l'alcool ou la gloutonnerie.
L'alcoolisme se lit sur le visage d'une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
La personne qui est dépendante à une drogue a de la difficulté à s'en passer. La dépendance provoque aussi des réactions physiques plus ou moins fortes chez la personne lorsqu'elle est en état de manque. Ces symptômes sont communément appelés « symptômes de sevrage ».
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Une bouteille de 25 cl de bière blonde apporte 140 kcal. Le record est détenu par le whisky, un verre compte 380 kcal.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.