Selon Rensis Likert, psychologue américain, on peut distinguer quatre grands types de management : le management directif, le management persuasif, le management participatif, et le management délégatif.
Styles de management : directif, participatif, persuasif, délégatif.
Les différents styles de management. Le psychologue américain Rensis Likert a défini 4 grands styles de management au début des années 60. Nos comportements, nos pensées et nos actions correspondent à des catégories de management : le style directif, persuasif, participatif et délégatif.
En France, la posture du manager participatif est devenue la plus populaire, considérée comme la plus pertinente. 45 % des managers pensent avoir un style de management « participatif », centré justement sur la confiance, les signes de reconnaissance et l'autonomie laissée aux collaborateurs.
Ses principaux avantages : Il développe le bien-être au travail des salariés en leur donnant l'impression d'être écoutés, valorisés et reconnus. Il améliore donc leur implication, leur loyauté envers l'employeur, et réduit le turn-over.
Le style « participatif » correspond à un management plutôt « collaboratif » : le manager participatif est focalisé sur les relations humaines conviviales et veut développer une bonne ambiance de communication. Sa « croyance » : une équipe qui s'entend bien est une équipe qui réussit.
Le management persuasif est définit par une importante implication du manager au niveau relationnel et organisationnel. Le manager persuasif est à l'écoute de son équipe. Leader, il fait adhérer ses collaborateurs aux processus, en les convaincant des décisions et en les soutenant durant les différents projets.
Le management persuasif est idéal pour motiver et fédérer une équipe autour d'un projet, susciter de l'intérêt et de la motivation. Un manager persuasif inspire la confiance de ses collaborateurs et se positionne en exemple pour les pousser à se dépasser et à faire toujours plus que ce dont ils s'estiment capable.
Le style autoritaire exploiteur
Il prend des décisions et les annonce ensuite aux collaborateurs de l'entreprise. Il ne laisse aucune initiative à ses subordonnés. Le dirigeant utilise également les menaces et les sanctions à l'encontre des salariés pour affirmer son autorité et prendre des mesures décisionnelles.
En 2022, le management sera responsable ou ne sera pas. En effet, comment ne pas tenir compte des enjeux écologiques et sociétaux dans la politique générale de l'entreprise. Celle-ci doit effet montrer l'exemple en valorisant un comportement éthique, écologique et responsable au sein de l'entreprise.
Il existe huit rôles de management différents : le pilotage, l'organisation, le développement des collaborateurs, l'animation d'équipe, la négociation avec les parties prenantes, le reporting, le réseautage et la représentation de l'unité à l'extérieur.
Le manager fonctionnel participe à la définition de la stratégie et au processus de décision au sein de sa direction. Il dirige les services de son périmètre de compétence, et conçoit, met en œuvre, contrôle et évalue les plans d'actions en fonction des objectifs assignés.
Pour décrire le rôle d'un manager, il suffit de faire appel à la définition du mot : le manager s'occupe de la gestion, de l'administration, de l'organisation et du fonctionnement d'un service ou d'un projet. Ses compétences sont vastes et correspondent à différents niveaux de la structure hiérarchique de l'entreprise.
Le leader participatif encourage ses employés et valorise leur travail et leurs accomplissements. Il fournit des directives et des recommandations pour atteindre les objectifs fixés de concert, mais laisse un certain pouvoir de décision aux employés.
Le management participatif (participative management en anglais) vise à améliorer le rendement des employés d'une entreprise, en les invitant à s'investir dans la vie entrepreneuriale ainsi que dans les prises de décisions. Ce type de management fonde sa doctrine sur un mode délégatif.
Définition du management délégatif
En pratique, le style de management délégatif indique les missions et résultats à obtenir tout en laissant la liberté aux collaborateurs quant à la mise en oeuvre de leur plans d'actions et méthodes d'exécution.
Le management transversal consiste à faire travailler temporairement plusieurs équipes ensemble, ou des salariés ayant des compétences différentes, vers un objectif commun. Sans qu'aucun lien hiérarchique n'existe entre eux. Bien que chacun d'entre eux puisse avoir une hiérarchie propre.
Apparu dans les années 90 en Amérique du Nord, le management horizontal, aussi appelé management collaboratif ou encore « holacratie », est une approche selon laquelle chaque collaborateur, manager et dirigeant est placé sur le même pied d'égalité.
Selon Rensis Likert, psychologue américain, on peut distinguer quatre grands types de management : le management directif, le management persuasif, le management participatif, et le management délégatif.
Le bon Manager est celui qui nous donne envie de venir au travail parce qu'on sait qu'on sera compris, apprécié, encouragé et reconnu dans un contexte bien structuré. Pourtant, le but d'un bon Management ne consiste pas seulement à devenir populaire au sein de son équipe de travail.
Limites du management directif
Il ne permet pas aux salariés de mieux s'épanouir dans leur environnement de travail. Lorsque l'équipe n'est pas assez motivée, elle peut s'ennuyer facilement et lâcher prise au moment inattendu. Le management directif diminue l'estime de soi des employés.
Le management collaboratif est une pratique de gestion qui vise à supprimer les cloisonnements entre les responsables, les cadres et le personnel pour leur permettre de travailler ensemble.