Dérivé de poire , avec le suffixe -ette .
La poire est le fruit à pépins comestible au goût doux et sucré, produit par le poirier commun (Pyrus communis L.), arbre de la famille des Rosaceae.
Étymologie. Verbe dérivé de content , avec le suffixe -er .
Le radical, c'est le mot « connu ». Le préfixe, c'est la particule « in ». Le mot dérivé c'est le mot « inconnu ».
un dessin → Le suffixe -er permet de transformer ce nom en verbe : dessiner.
Étymologie. (Date à préciser) Du mot barre et le suffixe -er.
Réfection de fleuraison, dérivé de fleur , avec le suffixe -aison , sur le radical latin de fleur → voir flore.
Le suffixe -âtre ayant plus tard pris une signification péjorative, la périphrase construite avec « beau- » a été adoptée en remplacement.
Étymologie. ( XVI e siècle) De coiffer avec le suffixe -ure.
Un peu d'histoire
La poire est apparue en Asie centrale. En Chine, sa culture aurait commencé plus de 4 millénaires avant notre ère. Elle traverse ensuite le continent asiatique pour atteindre l'Europe où les Grecs et les Romains furent les premiers à l'adopter.
La récolte s'effectue généralement d'octobre à novembre après la chute naturelle des fruits dans les vergers. La première étape de la fabrication du poiré est le pilage des poires qui consiste à broyer les fruits pour faciliter l'extraction du jus. Vient ensuite le pressurage effectué à l'aide d'une presse hydraulique.
nom féminin et adjectif. Fruit du poirier, charnu, à pépins, allongé et ventru.
De dent et du suffixe -iste.
Le suffixe modifie le sens du radical. Exemple : grand (adjectif qualificatif) grandeur (nom commun) grandir (verbe) Ici, on a ajouté -eur et -ir pour trouver d'autres mots de nature différente.
De clafir , avec le suffixe -otís (→ voir -ot et -ís).
-aire.> I. Pour former des noms (adjectifs substantivés).
À partir de l'adjectif « lent » et du suffixe « ement », on peut former l'adverbe «lentement». Avec le nom commun « rêve » et le suffixe « erie », on peut former un autre nom : «rêverie».
Dérivé de bricoler , avec le suffixe -age .
Étymologie. De grandir, avec le préfixe re-.
Étymologie. ( XIII e siècle) Dérivé de douce , avec le suffixe -eur, en ancien français doulceur , douçor réfection du latin dulcor (« saveur douce »).
Rayer, annuler en tirant un trait de plume.
Le barreur devra tenir la barre avec la main la plus en arrière sans la serrer ( sauf quand cela devient nécessaire lorsque le vent monte). Le but est d'anticiper les mouvements du bateau et de ressentir l'attitude du voilier (ardent, mou,…) et de ne jamais donner des grands coups. De petits mouvements sont suffisants.
Travail et son suffixe « ail », auquel on associe vitalité et productivité... même le dimanche?