Traditionnellement, le mercure est utilisé dans les thermomètres en raison de sa capacité à se dilater et à se contracter constamment en fonction de la température.
Deux liquides ont surtout été utilisés pour réaliser les thermomètres par dilatation, le mercure, qui est actuellement interdit car ses vapeurs que l'on pourrait respirer en cas de rupture du réservoir sont toxiques, et l'alcool.
Le galinstan est commercialement utilisé pour remplacer le mercure des thermomètres.
c'est à dire d'augmentation du volume quand la température augmente (et réciproquement de la diminution du volume quand la température baisse). Le liquide a besoin de plus de place donc il s'étend vers le haut.
Traditionnellement, le mercure est utilisé dans les thermomètres en raison de sa capacité à se dilater et à se contracter constamment en fonction de la température.
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Bien que banalisé, le thermomètre à mercure n'est pas sans inconvénient ni danger. Outre les risques infectieux liés au nettoyage insuffisant de l'appareil, mais non spécifique au thermomètre à mercure, les principaux risques sont liés au bris. Le risque est évidemment lié à l'usage.
Il est employé dans les lampes à vapeur de mercure, les lampes à ultraviolet ainsi que dans les lampes fluorescentes, qui en contiennent quelques milligrammes. Les amalgames dentaires sont constitués pour environ la moitié de leur masse par du mercure, l'autre moitié étant de l'argent, de l'étain, du cuivre et du zinc.
Tu tiens le thermomètre bien vertical, tu le plonges déjà dans une solution vers -20°C - 30°C. Tu laisses remonter à l'ambiante. Si la colonne est toujours discontinue, tu chauffes derrière un écran de protection au pistolet thermique de façon à faire atteindre le mercure au niveau de la bulle de sécurité.
Le mercure peut avoir des effets toxiques sur les systèmes nerveux, digestif et immunitaire, et sur les poumons, les reins, la peau et les yeux.
Le mercure inorganique peut provoquer de l'insuffisance rénale et des lésions gastro-intestinales. Les sels de mercure sont irritants et peuvent provoquer des cloques et des ulcères sur les lèvres et la langue.
Comment fonctionne-t-il? Lorsque la température s'élève, le mercure ou l'alcool se réchauffe et son volume augmente. Le niveau de la colonne de liquide monte donc et on peut ainsi déterminer la température en lisant sa valeur sur l'échelle graduée.
Le Parlement européen a définitivement adopté, mardi 10 juillet, une directive interdisant la commercialisation d'instruments de mesure au mercure.
Le principe du thermomètre est un des plus simple. Un tube fin en verre est remplie par du mercure d'un côté, et de l'azote de l'autre. Le mercure se dilate en fonction de la température : plus il fait chaud, plus il prend de la place.
L'odeur du mercure est-elle fiable comme mesure de détection? MAUVAISE FIABILITÉ : le mercure est inodore et non irritant.
Sous forme liquide, le mercure est peu toxique en raison de sa faible absorption par l'intestin. À l' état gazeux, les vapeurs de mercure sont particulièrement dangereuses, car facilement absorbées par les poumons. Enfin, sous forme organique, le mercure est très toxique, puisqu'il atteint aisément le cerveau.
Un signe classique d'une intoxication par le mercure est un léger tremblement, habituellement des doigts, des mains ou des bras et, à l'occasion, des paupières, des lèvres, de la langue et de tout le corps.
Les établissements de santé sont responsables de la bonne élimination de leurs thermomètres médicaux à mercure. Ils doivent donc procéder à la collecte de l'ensemble de ces thermomètres afin de les transmettre à des sociétés spécialisées dans le recyclage des déchets toxiques liquides, avant le 31 décembre 1999.
Or le mercure est un poison dangereux pour la santé et pour l'environnement. Les usagers souhaitant se débarrasser de ce type de déchets, sont invités à se présenter au gardien à leur arrivée en déchèterie, qui leur expliquera comment procéder pour déposer le thermomètre en respectant les consignes de sécurité.
Le mercure est communément obtenu par grillage du cinabre ou sulfure de mercure et autres minerais sulfurés, soit directement soit indirectement comme produits de récupération secondaire avec la blende ou autrefois la pyrite.
Très simple, l'extraction à partir du cinabre s'effectue par grillage du minerai à l'air : Le mercure distillé est entraîné par l'anhydride sulfureux et l'air en excès ; les vapeurs sont recueillies dans de l'eau acidulée froide dans laquelle le mercure se condense.