Tromper. Dérivé de tromper , avec le suffixe -erie .
Dérivé de tromper , avec le suffixe -erie .
1) Un suffixe s'ajoute après le radical pour former un nouveau mot et lui donner un sens particulier. Exemple : -able, ible = employable, capable, possible (adjectif); -abilité = capacité à (nom).
Dérivé de forta (« fort »), avec le suffixe -e .
De pauvre, avec le suffixe -té.
Étymologie. Joli dérive probablement du scandinave : jól, nom d'une grande fête païenne du milieu de l'hiver, avec le suffixe -if (sur le modèle d'aisif « agréable », dérivé d'aise).
Berner, abuser, induire en erreur.
Contraire : détromper. – Littéraire : désabuser. 2.
1. Abuser de la confiance de quelqu'un, se jouer de lui en usant de mensonges, de dissimulation : On veut vous tromper, ne les croyez pas. 2. Être infidèle à quelqu'un, avoir une aventure amoureuse, sexuelle avec un(e) autre : Elle le trompait avec son meilleur ami.
Manger. (Siècle à préciser) De manger avec le suffixe -able.
Étymologie. Dérivé de peace (« paix »), avec le suffixe -ful .
Étymologie. De vieil , vieille et du suffixe -ard.
(Années 1960) Dérivé de fiable , avec le suffixe -ité , néologisme qui reprend l'ancien français fiableté (« fidélité, confiance »).
Dérivé de vulgaire avec le suffixe -ment.
Dérivé de normal, par son féminin normale, avec le suffixe -ment.
L'infidélité se porte bien
Dans un premier temps, l'étude révèle que 37 % des Français en couple ont été ou pourraient être infidèles. Chez les femmes, 30 % avouent avoir trompé ou pouvoir tromper leur conjoint lorsque chez les hommes ils sont 44 %.
Synonyme : bavure, bêtise, bévue, confusion, faute, irrégularité, malentendu, méprise, quiproquo. – Familier : blague, boulette, bourde, gaffe, loupé, maldonne, perle.
Le verbe tromper, contrairement à erreur et errer, est assez riche en dérivés : trompeur, tromperie, détromper, trompe-l'œil, trompe-la-mort.
Chez les hommes, les infidèles s'appelleraient Patrick, Stéphane, Pierre ou Matthieu. Du côté de la gent féminine, celles qui se prénomment Hélène, Julie, Alice ou encore Vanessa seraient les plus volages.
De amour, avec le suffixe -eux.
-eux : un suffixe complexe
Ce suffixe a plus tard servi à créer des adjectifs sur un radical nominal emprunté au latin (fameux, généreux, glorieux…) ou sur une forme française (heureux, joyeux, malheureux…). Tous ces dérivés en -eux expriment l'idée de plénitude ('qui est plein d'herbe, de joie…').
Le suffixe 'phile'= aimer beaucoup. Le suffixe 'phobe' = la peur de.../ intolérance pathologique à ...