“La cité corsaire” – Saint-Malo.
Saint-Malo doit son nom au moine gallois Mac Low qui, vers le 6ème siècle, devint évêque d'Alet, berceau antique de la ville actuelle fondée au milieu du 12ème siècle.
Surnommée « le port de la lune », la ville de Bordeaux a longtemps été appelée aussi « la belle endormie » mais ce sobriquet n'est plus d'actualité aujourd'hui.
Périphrases désignant des villes
La Ville blanche est le surnom donné depuis le Moyen Âge à la ville française de La Rochelle par les étrangers, notamment les Anglais. La Ville blanche est également le surnom de la capitale portugaise Lisbonne, en raison de la luminosité qui empreint ses façades ocre.
La ville de Saint-Malo est désignée par le roi en personne comme cité Corsaire. Va alors commencer une véritable chasse aux navires Anglais et Espagnoles afin de les piller et de les couler. La cité va devenir le bastion de tous ces marins corsaires payés par le roi pour harceler les navires ennemis.
Actuellement, la devise officielle de la ville est Semper Fidelis, ce qui signifie Toujours fidèle, veut exprimer la fidélité sans faille des malouins à leur ville, à son histoire et à son caractère. cette devise est officielle depuis 1615.
En août 1944 pendant la libération de la France, les bombes et les obus américains et anglais ont bombardés la ville pendant 10 jours. Les bombardements ont détruit 80% des bâtiments d'Intra-Muros et ont mis la ville en pièces.
Big Apple, Ville Lumière, la Venise du Nord ou encore la Sérénissime.
Bordeaux partage de nombreux points communs avec la capitale française : architecture haussmannienne, ruelles pavées, bistrots et cafés atypiques… Ce n'est pas pour rien que la ville est surnommée le petit Paris.
Capitale des Gaules, Ville des lumières, Cité des gones... les périphrases sont nombreuses.
Strasbourg mérite son surnom de carrefour européen : reliée efficacement par son réseau autoroutier aussi bien à la France qu'à l'Allemagne, la ville joue sur les deux tableaux et est un paradis pour les frontaliers.
Ville portuaire développée le long du lit de la Garonne, dans une zone où le fleuve arbore une forme en croissant de lune, Bordeaux a gagné le surnom poétique de : Port de la Lune.
Ses habitants sont appelés les Montpelliérains et leur surnom est Clapassièrs ou Clapassencs.
La côte d'Émeraude est le choronyme inventé par le Malouin Eugène Herpin en 1894 de la côte de la baie de Saint-Malo en raison de la couleur — vert émeraude — de la mer à certains moments.
La côte d'Émeraude, qui doit son nom à la couleur de son eau, est ornée des plus belles plages d'Ille-et-Vilaine. Du haut des remparts de Saint-Malo, qui lui confèrent son statut de ville close, vous pourrez vous perdre dans la contemplation de l'horizon et du va-et-vient des vagues.
Plus de 26 siècles plus tard, Marseille a gardé de cette période le surnom éternel de "cité phocéenne".
Nantes tient son surnom de cité des Ducs du fait qu'on y trouve les châteaux des Ducs de Bretagne. On l'appelle également cité des Ducs de Bretagne pour ne pas la confondre avec Dijon qui, elle aussi est surnommée cité des Ducs, mais cette fois ci, de Bourgogne.
Tourisme : Pau, la ville des rois.
Direction le sud de l'Europe, Lisbonne au Portugal, la cité blanche au pays bleu. Savez-vous pourquoi le Portugal a comme surnom le « pays bleu » ?
La construction des remparts de Saint-Malo commence au 12ème siècle grâce à l'évêque Jean de Châtillon. Une partie est reconstruite au 17ème siècle suite à un incendie mais la majorité des remparts est ensuite remplacée dans la première moitié du 18ème siècle par l'architecte Siméon Garangeau, un disciple de Vauban.
L'histoire de Saint-Malo remonte à l'antiquité celtique, où cette région correspond à l'ancien centre maritime du peuple gaulois des Ambibarii : « Ambibares », appelés « Abrincatuii » (Abrincates) par Ptolémée, peuple de l'Avranchin, fraction des Unelles du Cotentin, dont le domaine s'étendait jusqu'à la cité d'Aleth ( ...
La reconstruction s'est faite sous l'impulsion de son maire et ancien ministre d'État Guy La Chambre, de ses habitants, du ministère de la Reconstruction et grâce à des dons venus du Québec, sur une période de douze ans (1948-1960). Le projet a été confié aux architectes Louis Arretche, Jean Monge et Raymond Cornon.