"On a longtemps dit que 'les Poilus' de la Première Guerre mondiale étaient surnommés ainsi parce qu'ils étaient démunis de rasoir, et de tout ce qui participait à l'hygiène de façon générale. Mais sachez qu'entre 1914 et 1918, personne n'appelait ces soldats 'les Poilus'. Eux-mêmes se surnommaient 'les hommes'.
Mais depuis 1914, dit Albert Dauzat qui étudiait l'étymologie et l'histoire des mots, le terme « poilu » désigne pour le civil « le soldat combattant » qui défend notre sol, par opposition à « l'embusqué ».
On pense souvent que ce surnom Poilus est dû au peu de commodité de se raser dans les tranchées, et que leur moustache et leur barbe finissaient par pousser, de sorte qu'ils paraissaient tout poilus.
En France, les soldats qui combattent sur le front sont appelés les « poilus », en référence à l'expression « avoir du poil », qui signifie « être vaillant, courageux ».
La Première Guerre mondiale est connue sous différentes appellations. Ces dénominations varient selon les lieux, les époques et les énonciateurs, mais les plus courantes restent « Grande Guerre » et « Guerre mondiale », ce dernier nom devenant « Première Guerre mondiale » lors du second conflit mondial.
Le terme "poilu" signifie littéralement "velu" ou "chevelu" en français, et il était utilisé pour décrire les soldats qui avaient la barbe et les cheveux longs en raison des conditions difficiles des tranchées et du manque d'accès au rasage durant la guerre.
Boche n.m., adj. Un Allemand pour les Français. L'origine du terme serait la contraction du terme argotique «Alboche» pour Allemand ou un dérivé de l'expression «tête de boche» pour «tête de bois». L'Allemagne se dit «Bochie».
Car, quand il s'agit de discuter comment reconnaître les vieux soldats et les invalides en nombre considérable du fait de la Première guerre mondiale, le terme « vétéran » est écarté, aux termes qu'il est d'abord le statut des anciens soldats chez l'ennemi. Le pouvoir lui préfère le terme « anciens combattants ».
1. Personne qui, en temps de guerre, d'hostilités, abandonne son armée, son pays pour passer à l'ennemi. Synon. déserteur, traître.
Albert Fernand Séverin Roche (Réauville, 5 mars 1895 – Avignon, 14 avril 1939 ), est un soldat français ayant combattu pendant la Première Guerre mondiale. Il est connu pour être le soldat français le plus décoré de cette guerre, avoir été blessé neuf fois et avoir capturé un total de quelque 1 180 soldats allemands.
L'expression « volontaires nationaux pendant la Révolution » désigne les personnes qui, à partir de 1791, s'engagent dans l'armée française pour des raisons idéologiques (patriotisme et soutien au nouveau régime), dans le cadre de bataillons formés au niveau d'un département ou d'une ville.
Afin de répondre à la menace (combattants imprévisibles et imbriqués dans la population), et dans la continuité du besoin du FAMAS FELIN, le HK 416 (version standard) est doté d'une baïonnette qui offre les mêmes performances que la baïonnette FELIN (coupe fil, tranchant) qui n'entrave pas le service de l'arme.
Étymologie. (1950) Variante graphique de l'expression « der des ders » apparue en 1920. La Première Guerre mondiale avait laissé un tel traumatisme que plus personne ne voulait plus entendre parler de guerre. La Der des Ders était donc censée être la « dernière des dernières » guerres que l'on ferait.
Mais pourquoi les appelle-t-on ainsi ? Le terme "poilu" est un sobriquet donné aux soldats français de la Première guerre mondiale. Dans l'imaginaire collectif, ce surnom a été donné pour désigner les soldats du front, ces hommes mal rasés vivant dans des conditions d'hygiène compliquées.
Étymologie. (Milieu-fin du XIX e siècle) Composé de grande et de muette . Périphrase utilisée en France pour désigner l'armée et ses membres qui, sous la Troisième République, n'avaient pas le droit de vote.
Terme injurieux pour désigner un Allemand.
DES INDIGÈNES DANS L'ARMÉE AVANT 1914
Les troupes de Marine sont les premières à recruter des « indigènes » (Laptots) dans leurs rangs, du fait de leur pénétration très ancienne dans les territoires d'outre-mer. Marsouins et Bigors (artilleurs de Marine) forment un corps encore peu nombreux.
Au cours de la guerre
Dans l'armée allemande, le nombre de déserteurs aurait été d'environ 100 000 hommes, essentiellement en 1917 et 1918, ce qui est peu sur un effectif de 13 200 000.
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
À la suite du décès du Canadien John Babcock le 18 février 2010 et de l'Américain Frank Buckles le 27 février 2011 , le Britanno-Australien Claude Choules, né le 3 mars 1901 , est devenu le dernier combattant survivant toutes nations confondues de la Première Guerre mondiale. Il est mort le 5 mai 2011 à 110 ans.
Soldate, subst. fém. a) Femme soldat.
L'âge moyen de l'ensemble de nos poilus est de 25 ans.
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Si le terme « boche » remonte au 19e siècle, son équivalent néerlandais « moffen » est, lui, beaucoup plus ancien. Il est attesté dès le 16e siècle et serait tiré de l'allemand « Muff », terme désignant quelqu'un d'impoli ou de grossier.
Alboche, boche et caboche…
On ne connaît pas avec certitude l'origine du mot « boche » qui a désigné les soldats allemands pendant la Grande Guerre ; mais on est sûr que le terme existait avant le conflit, dès le XIXe siècle, et d'abord sous la forme « alboche ».