Abraham est alors considéré comme le gardien de la foi et de la vérité. Personnalité/Caractère : De par l'origine de son prénom, Abraham est caractérisé par un sens exacerbé de la justice et de la vérité. À la fois rigoureux et clément, il est le symbole même du patriarcat.
Cette alliance a donné à Abraham le droit de recevoir la prêtrise avec les bénédictions et les responsabilités qui l'accompagnent. Abraham a reçu la promesse d'une nombreuse descendance qui hériterait des mêmes bénédictions de la prêtrise si elle vivait dignement.
Dans le Livre de la Genèse, son nom est initialement Abram (« le Père est exalté ») puis devient Abraham, ce qui signifie « père d'une multitude de nations ».
Abraham aimait Isaac mais a choisi d'obéir à Dieu. Juste avant qu'Abraham ne sacrifie son fils, un ange l'a arrêté. La disposition d'Abraham et Isaac à obéir à Dieu est un symbole de l'expiation du Fils unique de Dieu. Isaac s'est vu promettre les mêmes bénédictions qu'Abraham.
En français, on trouve la variante Abram et le diminutif Avi. En anglais, le diminutif est Abe, ou Bram comme Bram Stoker, écrivain irlandais connu notamment pour son roman Dracula.
D'autres suggèrent que l'apparent engagement d'Abraham à sacrifier Isaac était sa propre manière de tester Dieu. Abraham s'était auparavant disputé avec Dieu pour sauver des vies à Sodome et Gomorrhe.
Cette femme est Agar. La servante de Sara, femme d'Abraham. Sara, stérile, envoya son époux vers Agar pour que celle-ci lui donne l'enfant qu'elle n'a pas.
Selon la Genèse, Abram (nom sous lequel il est connu avant que Dieu ne le nomme Abraham) est l'un des trois fils de Térah, un nomade araméen originaire d'Our en Chaldée (basse Mésopotamie), descendant lui-même de Sem et de Noé.
Abraham est considéré comme le fondateur de la nation hébraïque. Les trois grandes religions monothéistes (judaïsme, christianisme et islam) se réclament de lui. Mais tandis que les Hébreux se considèrent comme de la descendance d'Isaac, les Arabes revendiquent Ismaël pour ancêtre.
« Les promesses divines faites à Abraham comprenaient ce qui suit : (1) Le Christ viendrait par son lignage et (2) La postérité d'Abraham recevrait certaines terres comme héritage éternel (Genèse 17 ; 22:15-18 ; Galates 3 ; Abraham 2).
Et c'est ce qu'on peut entendre dans l'appel de Dieu à Abram : « Pars pour toi-même de ton pays, de ta famille de la maison de ton père… va vers le pays que je te ferai voir. » Ce « pars vers ou pour toi-même » a été beaucoup commenté par la psychanalyse, entendue comme une sorte de promesse d'accomplissement du sujet.
Les bénédictions qu'il recherchait étaient celles de la prêtrise détenue par les dirigeants des dispensations qui l'avaient précédé : Adam, Hénoc et Noé et leur postérité juste. Abraham a reçu la prêtrise du prophète Melchisédek (voir Traduction de Joseph Smith, Genèse 14:25, dans le Guide des Écritures ; D&A 84:14).
Les textes parlent des âges extraordinaires atteints par les grands personnages bibliques. Abraham, l'ancêtre d'Israël, mourut à 175 ans. C'est moins que les patriarches d'avant le déluge, notamment un des plus célèbres, Mathusalem qui a vécu 969 ans. Plus proche de nous, Moïse atteignit les 120 ans.
L'institution de la circoncision est d'origine biblique et remonte à Abraham. Ainsi, le juif est lié par une alliance inscrite en lui, dans sa chair même, bien avant qu'il puisse être conscient de lui-même.
Dans ces alliances, Dieu a promis de grandes bénédictions à Abraham et à sa famille. Ces bénédictions, qui s'étendent à toute la postérité d'Abraham, sont appelées l'alliance abrahamique.
L'offrande du premier-né à Dieu (homme et bétail) se faisant le 8e jour selon Ex 22,28-2920 (cf. Lv 22,27), la circoncision peut aussi être comprise comme le substitut symbolique de l'offrande de l'enfant à Dieu (cf. la « ligature d'Isaac » en Gn 22), une sorte de sacrifice pars pro toto21.
Avec Abraham, c'est l'histoire de Dieu avec le peuple hébreu qui commence. Pour ce peuple dont la descendance est immense, Abraham est un modèle de foi car il est le premier à chercher le Dieu vivant et à placer sa confiance en Lui. Encore aujourd'hui, il est appelé le père des croyants.
Si donc Abraham a aussi reçu son identité de père, c'est parce qu'il a eu foi en la promesse. Cet acte est unique, il ne se renouvelle pas. Il est fondateur car il marque la radicalité absolue de l'acte divin.
Définition de hébreu nom et adjectif masculin
nom Membre du peuple sémitique dont la Bible retrace l'histoire. ➙ juif. nom masculin Langue sémitique parlée autrefois par les Hébreux, et aujourd'hui par les Israéliens.
Le signe de cette alliance est donné, non seulement par la naissance extraordinaire, mais aussi, et surtout, par le sacrifice de son fils unique, Isaac, que Dieu demande à Abraham. Le sacrifié est sauvé en dernier lieu en le remplaçant par un bélier céleste.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
À Ur Kasdim, Abraham parlait l'araméen, idiome de Chaldée ; mais pour lui c'était une langue profane, tandis que l'hébreu était une langue noble, la langue sainte.
Abraham a une double descendance : Isaac qu'il a eu avec sa femme légitime Sarah et Ismaël, deuxième fils que lui donna Agar, servante de Sarah : il fut prédit à tous deux une grande descendance : "C'est par le nom d'Isaac que sera appelée ta race.
L'origine de Yahvé et sa véritable identité. Etudes comparatives et traduction des textes Phéniciens, Ougaritiques et Hébraïques. La vrai nom propre du DIEU le PÈRE c'est YHWH - YAHUAH - YAH.
Ismaël (en hébreu : ישׁמעאל, Išma`e'l : « Dieu a entendu [ma demande] » ; en arabe : إسماعيل, Ismāʿīl) est un personnage de la Genèse et du Coran. Il est le premier fils d'Abraham et il est le demi-frère d'Isaac.