La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
C'est ce qu'on appelle communément le « karma », sachant que notre futur prend racine dans le présent, lui-même étant le résultat de nos actes passés. Tout ceci est symbolisé par le nœud infini tibétain, dont la forme géométrique parfaite se rejoint en son centre.
Ces nobles vérités concernent la vérité de souffrance, de sa cause, de sa fin et du chemin ; La roue du dharma avec 8 rayons. Ces rayons représentent un Noble chemin octuple ou encore le chemin de vie lié au bouddhisme. Cette route permet d'accéder à l'illumination.
La quatrième noble vérité est celle du chemin (magga) menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est le « noble sentier octuple »: la vision juste, la pensée juste, la parole juste, l'action juste, les moyens d'existence justes, l'effort juste, l'attention juste et la concentration juste.
Dans le bouddhisme, les symboles sont la conque, le parasol, les poissons, l'urne, la roue, la bannière, le lotus, le nœud. Ils furent offerts par les devas au Bouddha lors de sa naissance en reconnaissance de sa « royauté ».
Textes du theravâda
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Intimement liée à Aphrodite, la rose représente l'amour éternel. Elle est un fort symbole de passion et de beauté. Offrir cette fleur à quelqu'un signifie tout simplement un fort attachement. C'est une façon de dire à quel point on aime une personne et qu'elle compte plus que tout à nos yeux.
Les lions et tigres sont les rois de la doctrine bouddhique car ils ont réussi à soumettre les êtres avec leur amour, leur compassion et leur sagesse. Les lions et tigres, comme les gardiens des temples, sont représentés par deux à l'entrées des enceintes de temple ou de lieux sacrés.
Dans les religions orientales telles que le bouddhisme et le brahmanisme, le lotus a toujours été un symbole divin, associé aux dieux Vishnu "celui à l'œil de lotus" et Brahma mais également aux déesses Lakshmi et Sarasvati.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Les bouddhistes voient le Bouddha* historique, Siddhartha Gautama, comme le successeur d'une lignée de sages ascètes qui auraient eux aussi atteint « l'éveil » (« Bouddha » signifie « l'éveillé ») et auraient préparé sa pensée.
Ses adeptes respectent à la lettre le message de Bouddha. Ils cherchent à se détacher du monde des passions pour travailler à leur salut. La finalité du Theravada est, pour ses adeptes, la cessation de la souffrance par la réalisation des quatre nobles vérités.
Le principe bouddhique le plus profondément enraciné dans le peuple est celui du karma (las, rétribution des actes) qui conditionne l'existence présente et les renaissances à venir ; cette croyance entraîne une sorte de fatalisme tout à fait frappant devant les vicissitudes de la vie.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
Les bouddhistes tibétains voient au travers du Lotus la véritable nature des Etres, la tige étant le samsara (cycles des vies et morts), la fleur symbolisant la paix et la sérénité.
Dans la tradition religieuse tibétaine, le dalaï-lama est l'incarnation physique du Bodhisattva de la compassion, le Bouddha en devenir. Le titre de dalaï-lama existe depuis le 14e siècle et celui qui le détient est le chef spirituel et temporel des Tibétains.
Le Bouddha nous enseigne que les émotions qui entravent la suppression de la souffrance doivent être transformées et éliminées de l'esprit. On peut y parvenir en régulant ses désirs, en changeant son comportement de façon à ce qu'il s'adapte aux lois naturelles et en acceptant l'état du monde tel qu'il est.
Le site de Lumbini, dans la plaine du Teraï, au sud du Népal, a vu naître le Bouddha en 623 av. J.
Comme pour l'hindouisme, le terme nirvana est utilisé généralement dans le jaïnisme en synonyme du mot moksha qui peut se traduire par : illumination, éveil, libération. Ce stade, cet état est atteint lorsque l'individu a détruit tout son karma, tout son attachement au monde terrestre et ses conséquences.