Philosophie qui place l'homme et les valeurs humaines au-dessus de toutes les autres valeurs. 2. Mouvement intellectuel qui s'épanouit surtout dans l'Europe du xvie s. et qui tire ses méthodes et sa philosophie de l'étude des textes antiques.
Humaniste = qui a trait aux humanités, à la connaissance des langues et des littératures anciennes ; qui privilégie l'homme et les valeurs humaines. Humanitaire = qui vise à améliorer la condition des hommes.
Buts des humanistes
Les humanistes de la Renaissance souhaitaient éduquer l'homme pour le grandir et bâtir une société meilleure, plus morale, fondée sur le respect de l'être humain.
Au sens commun, le terme social renvoie généralement à l'idée de solidarité, de sociabilité, et aux politiques sociales. Pour les sciences sociales, ce terme désigne la nature des phénomènes qu'elles étudient.
L'humanisme met alors en valeur la pensée, la culture et l'art. Pour se développer, il faut donc en apprendre le plus possible sur ces 3 sphères. Toute cette étude doit aussi se faire en se basant sur les textes antiques.
La devise des humanistes ? Un esprit sain dans un corps sain. Pour retourner aux textes, encore faut-il les comprendre. Les humanistes sont des linguistes : latin, grec, français…
Érasme (Desiderius Erasmus) était un humaniste, philosophe et théologien de la Renaissance. Né en 1466, 1467 ou 1469 à Rotterdam, il étudie à Gouda puis Bois-le-Duc et est ordonné prêtre en 1492. Maîtrisant le latin et le grec ancien, il devient secrétaire de l'évêque de Cambrai.
Le constructivisme est donc le contraire de l'humanisme : alors que l'humanisme considère les êtres humains comme des êtres humains, libres et responsables, le constructivisme consiste à considérer les êtres humains (ou plutôt tous les êtres humains à l'exception du constructiviste), comme des poupées, des jouets, bref ...
Elles comprennent notamment le respect, l'acceptation, la considération, l'appréciation, l'écoute attentive, l'ouverture, l'accueil, la bienveillance, l'empathie, l'affection, l'amour et la fraternité.
Être humaniste ou féministe.
En effet, l'humanisme fait plutôt référence à la liberté des êtres humains et à leur émancipation envers tout autorité. Le féminisme, quant à lui, promeut l'égalité de ces derniers, et pour ce faire, défend le droit des femmes.
Principaux thèmes
ʠ L'homme mis au centre des connaissances. ʠ Les voyages & la découverte de nouveaux mondes. ʠ L'éducation & la soif de savoir. ʠ La formation d'un esprit critique.
Comment est né l'humanisme ? L'humanisme est un mouvement littéraire et artistique né en Italie au XVIe siècle avec le poète Pétrarque. Il se propage ensuite à l'ensemble de l'Europe, notamment grâce à l'invention de l'imprimerie par Gutenberg en 1448.
L'Humanisme n'est pas un simple retour vers l'Antiquité, il redéfinit la conception de l'homme et sa place dans l'univers. Les humanistes mettent l'homme au centre du monde et de la création.
“Un humanisme bien ordonné ne commence pas par soi-même, mais place le monde avant la vie, la vie avant l'homme, le respect des autres êtres avant l'amour-propre.” De Claude Lévi-Strauss / L'Origine des manières de table. “Un humaniste, c'est quelqu'un qui n'aime pas vraiment les animaux.”
L'humanisme donne en effet une place centrale à l'homme, ce qui remet en cause totalement la pensée de l'Eglise. Selon les humanistes, l'homme n'est plus un pécheur humilié devant Dieu et déchu par le péché originel.
La pensée humaniste est un courant intellectuel qui s'est développé en Europe à la Renaissance (XIVe-XVIe siècles) et qui promeut des valeurs telles que la rationalité, la tolérance, l'éducation et le respect de l'individu.
Non seulement peintre virtuose, auteur des plus grands chefs-d'œuvre de l'Histoire, il fut aussi un inventeur visionnaire, un architecte et un théoricien. Il incarne incontestablement le génie universel et humaniste de la Renaissance.
Ce qui est social, est relatif aux rapports entre un individu et les autres membres de la collectivité. Au cœur du social se trouvent les relations humaines. Le mot sociétal fait quant à lui référence aux différents aspects de la vie sociale des individus, en ce qu'ils constituent une société (Larousse).
Une vie sociale est faite d'interactions : plus on côtoie de personnes différentes, plus on reçoit d'attention, plus on a envie d'en donner. Familles, amis, collègues de travail : les gens heureux sont entourés ! La qualité de la vie sociale passe par l'empathie, aller vers les autres et savoir les écouter.
Contraire : acariâtre, bourru, farouche, insociable, ours, sauvage, solitaire. – Familier : impossible, invivable. – Littéraire : misanthrope.