Transgression de la loi divine. Synonyme : faute, offense. – Littéraire : coulpe.
faute, coulpe (vx), crime, mal, manquement, offense (à Dieu), transgression.
« Le péché est une faute contre la raison, la vérité, la conscience droite; il est un manquement à l'amour véritable, envers Dieu et envers le prochain, à cause d'un attachement pervers à certains biens. Il blesse la nature de l'homme et porte atteinte à la solidarité humaine.
Définition "péché mignon"
n.m. Petite faute habituelle, et agréable; défaut véniel : par exemple la gourmandise.
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu.
A. − RELIG. [Dans les relig. monothéistes, en partic., dans la tradition judéochrétienne] Personne qui commet ou a commis un ou plusieurs péchés, qui est en état de péché.
La Bible appelle pécheurs ceux qui demeurent dans le péché. Ce n'est pas le cas d'un chrétien, même s'il pèche encore, et parfois gravement. En d'autres termes, le péché dans la vie d'un chrétien est une chose sérieuse car il attriste le Saint-Esprit et trouble son témoignage.
Difficultés. Attention au féminin enchanteresse : « Circé était une grande enchanteresse » (Furetière).
Cette expression renvoie à un concept de la doctrine chrétienne commune à trois évangiles synoptiques. Ce péché contre le Saint Esprit consiste à refuser la miséricorde de Dieu, à ne vouloir avoir rien à faire avec Dieu. Le péché contre l'Esprit Saint est le même que celui attribué à Satan.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
L'orgueil est la racine de tous les péchés.
Pêches, nectarines et brugnons sont en réalité de simples mutations naturelles du Prunus persica, ou "pomme de Perse".
Au sein de l'Église catholique, on distingue trois types de péchés : le péché originel, le péché mortel et le péché véniel. Le péché originel fait spécifiquement référence à l'acte où l'être humain a rompu avec Dieu par lequel le péché est entré dans le monde.
Lorsqu'on parle du péché originel, la tradition chrétienne fait remonter la faute à Adam et Ève qui ont mangé le fruit défendu et qui sont, de ce fait, sortis de la communion avec Dieu. Cette rupture affecte tous leurs descendants et depuis les hommes sont « souillés » et ne peuvent, par eux-mêmes, être relevés.
Au IVe siècle, saint Augustin invente le péché originel et fait pleuvoir sur l'humanité une honte héritée d'Adam et Eve.
Le péché est dans la violation de normes qui s'appliquent au monde concret de la création et de l'Alliance, et non pas la violation de lois inscrites simplement sur des tables de pierre ou imposées de l'extérieur de quelque autre manière. Le péché n'est pas contraire à la volonté de Dieu concernant notre nature.
v. v. mener une vie de débauche ; anciennement, vivre da [...]
Il a créé toutes choses et pourtant il n'est pas le créateur du péché. Il nous est présenté comme lumière et perfection. Pourquoi Dieu a-t-il donc permis ce qu'Il haïssait et détestait ? « Permis » est en fait un mot trop faible, parce que Dieu est absolument souverain.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Puis nous lisons : (v. 31) «C'est pourquoi je vous dis : Tout péché et (tout) blasphème seront pardonnés aux hommes , mais le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »