un indice inférieur à 20 % révèle plutôt une infection récente ; un pourcentage supérieur à 35 % indique que la toxoplasmose est ancienne ; entre 20 et 35 %, il faut renouveler le test quatre semaines plus tard, pour pouvoir dater la contamination.
Un IgG positif indique que la personne est immunisée et ne risque pas de transmettre l'infection au fœtus. Si les IgM sont également positifs, l'infection est récente. Des IgG négatifs accompagnés d'IgM positifs confirmés indiquent une infection récente.
IgM : ce sont les anticorps qui apparaissent le plus précocement après la contamination. Ils disparaissent ensuite en 3 à 6 mois. Rarement, ils peuvent persister à taux faible. IgG : ce sont les anticorps qui persistent toute la vie et nous confèrent une immunité vis-à-vis du parasite.
Des analyses sanguines (sérologie avec recherche des anticorps dirigés contre le parasite) sont recommandées lors de la consultation préconceptionnelle pour définir si vous avez déjà été contaminée et si vous êtes immunisée. En effet, durant la grossesse, la toxoplasmose peut donner lieu à des complications.
Éléments de base pour l'interprétation de la sérologie toxoplasmose. Lors d'une primo-infection, les IgM apparaissent les premières, à la fin de la première semaine de l'infection.
L'immunoglobuline G est un anticorps qui participe à la défense de l'organisme. Son taux dans le corps est un indicateur de l'état de fonctionnement du système immunitaire et/ou de la présence d'une éventuelle infection.
Interprétation des résultats
Les IgM sont fabriquées par l'organisme lors de son premier contact avec le pathogène : elles marquent une infection en cours ou récente. Les IgG sont fabriquées dans un second temps et elles permettent la protection à plus long terme de l'organisme.
La présence d'anticorps de type IgG signifie que le sujet a rencontré le virus ou le vaccin et a développé une réaction immunitaire dont témoignent ces anticorps. Il n'existe pas de faux positif pour ce test, il n'y a pas d'autres virus que SARS-CoV-2 qui donne un test sérologique positif.
Les "tests sérologiques" détectent les anticorps contre le virus et mesurent la quantité d'anticorps produite à la suite d'une infection, ce qui permet de déterminer si une personne a été préalablement infectée par le SARS-CoV-2. Ces tests sont réalisables idéalement environ 14 jours après le début des symptômes.
Aucune préparation n'est nécessaire. Cette sérologie toxoplasmique consiste à rechercher dans le sang la présence d'anticorps anti-toxoplasme (immunoglobulines G et M), signes qu'une infection récente a eu lieu.
Quand et pourquoi faire un dosage ? "Le dosage des IgG totales est utile afin d'évaluer le statut immunitaire d'une personne, le dosage d'IgG spécifiques (toxoplasmose, rubéole …) permet de savoir si un patient est immunisé (protégé) contre un micro-organisme", explique le Dr Jean-Philippe Collet.
Les valeurs de référence chez l'adulte et l'adolescent de race caucasienne, établies sur la base de l'utilisation du CRM 470, sont de 0,4 à 2,3 g/l. Le taux d'IgM est bas à la naissance (0,05 à 0,30 g/l) puis augmente progressivement (à 3 mois : 0,15 à 1 g/l) pour atteindre les valeurs "adultes" à 9 mois environ.
Lors de toxoplasmose chez une femme enceinte, un traitement antibiotique et anti-inflammatoire adapté est mis en place. Dans certains cas, en particulier si la contamination a eu lieu en début de grossesse, une interruption de grossesse peut être recommandée par le médecin face à des lésions graves du fœtus.
La toxoplasmose peut engendrer des malformations chez le fœtus, principalement au niveau des yeux et, moins fréquemment, du cerveau. Dans des cas exceptionnels, elle peut provoquer une fausse couche.
La solution de faire tremper vos fruits et légumes dans de l'eau vinaigrée permet d'optimiser cette étape. Sinon, la cuisson permet de détruire le parasite. Veillez à bien cuire vos viandes, afin de tuer le parasite éventuellement présent. Toxoplasma gondii meurt à partir de 67°C.
La plupart des personnes infectées par le parasite de la toxoplasmose n'ont pas besoin de traitement et guérissent d'eux-mêmes.
Les concentrations d'anticorps nécessaires à la protection contre Omicron ainsi 2,4 fois plus élevées que contre Delta. Dans une étude précédente [3], la concentration d'anticorps protégeait à partir de 141 unités/ml et était totalement efficace à partir de 1700 unités/ml.
Les tests sérologiques permettent de détecter dans le sang d'une personne la présence d'anticorps contre un agent infectieux comme le SARS-CoV-2.
Les tests de dépistage sérologique (détection des anticorps) utilisent un échantillon de votre sang pour y rechercher la présence d'anticorps. Votre organisme produit des anticorps après avoir été infecté par un virus ou d'autres agents infectieux, ou après avoir reçu un vaccin.
L'augmentation polyclonale des IgG peut s'accompagner ou non d'un syndrome inflammatoire ; elle s'observe au cours des infections bactériennes, virales, parasitaires, des maladies auto-immunes, de certaines manifestations allergiques...
Le traitement de première intention est l'association pyriméthamine et sulfadiazine, couplée à la prise d'acide folique. L'alternative est l'association pyriméthamine et clindamycine.
Avec ce test, le seuil pour un résultat positif est le 38e cycle. Cela signifie que si l'ADN est détecté avant la fin du 38e cycle, on considère que le virus était présent dans l'échantillon. Quant au seuil pour un résultat négatif, il est établi au 40e cycle.
Les IgM (immunoglobulines M) constituent la première réponse de l'organisme en présence d'un antigène « étranger ». Elles sont produites pendant l'exposition initiale à l'antigène (bactérie, virus, etc.), augmentent en quelques semaines avant d'être remplacées par les IgG.
L'interprétation d'un résultat de test positif ou négatif dépend du type de test utilisé, la méthode d'échantillonnage et du moment où il a été effectué. Gardez à l'esprit que l'excrétion virale semble être maximale autour de l'apparition des symptômes et ce pendant quelques jours seulement.