Le traducteur travaille avec un texte ou un document audio-vidéo et en fait une traduction écrite. Sa mission : Effectuer d'abord une étude approfondie du texte à traduire : étude du vocabulaire utilisé, de la syntaxe, des tournures de phrases, etc. Réaliser une première traduction.
Le traducteur transpose un texte écrit dans une langue étrangère vers sa langue natale en respectant le fond et la forme de l'original. Les traducteurs littéraires sont peu nombreux et assimilés à des auteurs, alors que la traduction de documents techniques est plus importante.
Elle dépend de son expérience, de sa spécialisation, de son statut (libéral, salarié ou militaire). Pour un traducteur débutant : entre 2 000 € et 3 000 € brut (source APEC). Armée de terre : 1 384 € net mensuel dès l'affectation (hors primes pour un célibataire sans charge de famille).
Traducteurs et interprètes exercent parfois leur profession en tant que salariés (organismes internationaux, agences de traduction, grandes entreprises) au sein d'un pool de traducteurs. Plus souvent, ils travaillent comme traducteurs indépendants (freelance).
Maîtriser une ou plusieurs langues étrangères demande du temps. L'essentiel des formations en traduction et interprétation débouche sur des diplômes de niveau bac + 5.
Est-il facile de devenir traducteur ? Même à Bac+5, il n'est cependant pas aisé de débuter dans ce domaine. Qu'elles recrutent pour étoffer leur pool de traducteurs ou qu'elles fassent appel à des indépendants, les agences de traduction exigent généralement 2 ans d'expérience.
Mais pour devenir un traducteur-interprète diplômé, il est généralement recommandé d'obtenir d'abord une licence par exemple en Langue, Littérature et Civilisation Étrangère (LLCE) ou en Langues Étrangères Appliquées (LEA). Ensuite, il faut poursuivre les études jusqu'à être titulaire d'un Bac + 5.
Pourquoi choisir le métier de traducteur ? Être traducteur, c'est avant tout jongler entre plusieurs langues ! Mais être traducteur, c'est également aimer découvrir de nouvelles choses et construire des ponts entre différentes cultures dans un monde de plus en plus globalisé.
Pour devenir traducteur ou interprète, mieux vaut miser sur un diplôme de niveau Bac+5. Les masters Industrie de la langue et traduction spécialisée, Traduction professionnelle et spécialisée ou encore le master Métiers de la traduction et de la communication multilingue et multimédia sont des formations envisageables.
La plus grande différence entre l'interprétation et la traduction réside dans le support de chaque service : les interprètes traduisent oralement la langue parlée, tandis que les traducteurs traduisent la langue écrite.
À haut niveau de qualification, la traduction et l'interprétation exigent presque toujours un niveau bac + 5. La licence de langue préparée à l'université (3 ans après le bac) est généralement requise pour accéder aux masters ou diplômes d'écoles.
D'abord il faut vous créer un compte sur HERMES, la plateforme de recrutement mise en place par Netflix en mars. Vous devrez d'abord effectuer des tests pour que votre niveau soit évalué. Si vous êtes retenu, vous pourrez participer à la traduction des centaines d'épisodes de la base de données.
Les écoles de traduction les plus réputées sont l'Esit (École supérieure d'interprètes et de traducteurs) et l'Isit (Institut de management et de communication interculturels), en Ile-de-France. Leurs masters en interprétariat de conférence ou en traduction sont accrédités par les réseaux européens EMCI et EMT.
L'interprète traduit de manière orale un discours d'une langue à une autre. Si la langue est importante, ce professionnel est avant tout une personne de communication : il doit savoir retranscrire avec justesse les nuances, les sous-entendus, les traits d'humour. Tout cela en restant neutre et détaché de son sujet.
La licence langues, littérature et civilisations étrangères (LLCE) permet d'approfondir sa connaissance de la langue, de la culture et de la civilisation. Alors qu'en licence de langues étrangères appliquées (LEA) la langue est abordée comme un outil de communication au service d'autres applications.
Pour réussir dans cette branche, et surtout en tant que traducteur indépendant, la meilleure solution est de se spécialiser dans un domaine particulier. L'aéronautique, le médical, la musique ou encore le sport sont de parfaits exemples de ces domaines de spécialisation.
Un traducteur agréé est un expert judiciaire inscrit sur une liste par chaque cour d'appel. Nous vous indiquons comment consulter la liste des traducteurs agréés selon que vous êtes en France ou à l'étranger.
Bien que ce titre soit protégé par la loi, aucune formation particulière n'est nécessaire pour devenir traducteur assermenté. Pour candidater, la procédure consiste à déposer un dossier au Tribunal de Grande Instance de votre circonscription.
Master professionnel traduction éditoriale, économique et technique en 2 ans ou master recherche en traductologie en 1 an ou DU traducteur – interprète judiciaire sont proposés par l'ESIT, l'une des 2 écoles de référence en la matière.
Traducteur freelance : quel statut juridique ? Pour un traducteur freelance débutant ou journaliste freelance, le statut juridique de l'auto-entrepreneur ou micro-entrepreneur est recommandé. Non seulement il implique peu de démarches administratives, mais il nécessite également peu de fonds.
Pour devenir traducteur audiovisuel, il faut être passionné par les métiers de langue. Il faut en maîtriser plusieurs. Ensuite, il faut suivre une formation adaptée. En principe, il est idéal d'avoir un bac + 5 pour exercer ce métier.