Le pain aux raisins, également appelé escargot, brioche aux raisins dans le sud de la France, couque aux raisins, couque escargot ou couque suisse en Belgique, pain russe à Lyon, escargot aux raisins dans le sud-ouest et l'est de la France, schneck en Alsace-Moselle ainsi qu'au Maroc et en Tunisie, et pain suisse en ...
Les curieux apprennent qu'on qualifie le pain aux raisins de "pain russe" à Lyon ou à Saint-Etienne, d'"escargot" dans le nord-est de la France, de "schneck" en Alsace, de "suisse" à Dunkerque, ou encore d'"alsacienne" dans quelques villes bretonnes.
A Nancy, dans les Vosges, dans la Meuse, en Champagne, quand on va dans une boulangerie, le pain au raisin se dit déjà « escargot ».
La viennoiserie a apparu en France pour la première fois entre 1837 et 1839, quand un officier autrichien a ouvert une boulangerie viennoise à Paris (située dans rue de Richelieu). Le savoir-faire de la viennoiserie a été transmis des ouvriers viennois à leurs élèves français.
Le pain au chocolat, aussi appelé chocolatine, couque au chocolat, croissant au chocolat ou encore petit pain et petit pain au chocolat, est une viennoiserie constituée d'une pâte levée feuilletée, identique à celle du croissant, rectangulaire et enroulée sur une ou plusieurs barres de chocolat.
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.
En France, en Amérique du Nord et en Europe du Nord, on appelle pain aux raisins un petit pain sucré qui contient des raisins secs, plus proche du pain traditionnel, qui n'est donc pas une viennoiserie.
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
C'est le 1er août 1959 que l'association suisse des maîtres boulangers-confiseurs a lancé cette viennoiserie au beurre surmontée d'un petit fanion. D'après l'association, le petit pain du 1er août doit sa naissance à la semaine suisse.
Le mot schneck a plusieurs sens en français. Une schneck, c'est d'abord une viennoiserie de forme enroulée, garnie de raisins secs. Dans ce sens, le mot schneck est principalement employé en Alsace, en Moselle, et un peu au Maghreb : c'est un régionalisme. Ailleurs, on parle le plus souvent de pain aux raisins .
(Argot) Organes génitaux féminins, vulve.
D'autres théories situent l'origine du pain au chocolat en France au XIXe. Ce serait le boulanger autrichien August Zang, qui aurait importé les viennoiseries dans la capitale française.
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
Dans le Nord aussi, on y apporte une petite spécificité : on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat », aussi répandu en Belgique. A l'Est, une petite zone frontalière évoque ainsi le « croissant au chocolat ».
Il est tout à fait possible de congeler les pains au chocolat déjà cuits ou encore crus (dès la fin du façonnage). Pour la décongélation, si vos viennoiseries sont cuites, laissez-les simplement à température ambiante pendant quelques heures puis passez-les un peu au four à 150 °C.
De « viennois » (relatif à la ville de Vienne, en Autriche) avec le suffixe -erie, en hommage aux boulangers viennois qui ont célébré, à la fin du Siège de Vienne (1683), la victoire autrichienne et catholique sur les Turcs musulmans.
La Lune est tout d'abord légèrement éclairée, et laisse apparaître le soir un croissant de Lune : on parle du croissant du soir. Puis la Lune est éclairée par moitié le soir ; c'est le premier quartier de Lune juste avant la Lune gibbeuse ( qui veut dire " bosse " en latin).
Le mot dérivé « viennoiserie » est issu de l'adjonction du suffixe « -erie » à l'onomastisme « viennois », lui-même dérivé du nom de Vienne. En français, une viennoiserie, de même qu'une chinoiserie, peut faire référence à une activité ou un « objet dans le goût viennois ».
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Le croissant désigne un petit pain en pâte levée ou feuilletée, abaissée en triangle, roulée et incurvée en forme de croissant de lune. L'origine de cet article de viennoiserie remonte à l'époque où les Turcs assiégeaient la capitale de l'Autriche Vienne en 1683.
Région du Proche-Orient, qui s'étend de la mer Morte au golfe Persique en passant par le sud de la Turquie, le nord de l'Iraq et l'Iran occidental. (Les pays qu'elle regroupe, riches en plaines et en vallées bien arrosées, ont vu naître l'agriculture au néolithique.)
"Chocolatine" l'emporte ainsi à Toulouse et plus généralement dans l'ex Midi-Pyrénées. La fameuse chocolatine se fait aussi une place dans l'Aude et l'Aveyron. Elle déborde même un peu sur l'Hérault. Un peu, car dans l'ex Languedoc-Roussillon, c'est bien "pain au chocolat" qui reste l'expression plébiscitée.
Autrement dit : à Paris, faites comme les Parisiens et dites « pain au chocolat » ; et à Toulouse faites comme les Toulousains en disant « chocolatine » !