Le front symbolise l'esprit, la poitrine le cœur, l'épaule droite la justice, et l'épaule gauche la miséricorde qui tempère la justice. Ces trois doigts symbolisent la Trinité (Père, Fils et Esprit) et se réunissent à leur sommet pour marquer que Dieu est Un.
Cette barre symbolise le lien entre les pécheurs et le Christ sauveur. Elle est penchée vers la gauche (côté du mauvais larron qui n'est pas sauvé), son côté droit étant plus haut (côté du bon larron sauvé par le Christ).
À l'origine, la croix latine inversée est un emblème chrétien avec une forte valeur pour l'Église. Elle est issue de la tradition catholique. C'est l'apôtre Pierre qui lui a donné son importance en demandant d'être crucifié la tête en bas pour démontrer sa soumission au Seigneur.
L'origine du symbole vient de la tradition catholique selon laquelle Pierre l'apôtre aurait été crucifié à l'envers, d'après Origène d'Alexandrie. La tradition du martyre de saint Pierre, s'appuie sur un texte apocryphe, fragmenté, les Actes de Pierre, écrit vers la fin du II e ou le début du III e siècle.
Le martyre de saint Pierre (ou crucifixion de saint Pierre) est un épisode de la vie de l'apôtre Pierre, celui de sa mort par crucifiement, et qu'il a demandé à subir la tête en bas, par humilité.
ORIGINE DU SIGNE DE CROIX
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Sa mission est d'alléger les souffrances humaines, de protéger la vie et la santé et de faire respecter la dignité humaine, particulièrement dans les conflits armés et d'autres situations d'urgence.
La croix est le symbole du Christianisme. Les gens aiment le porter en pendentif car c'est un rappel de la mort de Jésus-Christ, un événement qui a sauvé tous les hommes selon la religion chrétienne.
Selon une tradition chrétienne qui remonte à la fin du IV e siècle, c'est la mère de l'empereur Constantin Ier , l'impératrice Hélène, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d'un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.
38. Après cela, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate d'enlever le corps de Jésus, et Pilate le permit. Il vint donc et enleva son corps.
Dans certaines des illustrations qui les accompagnent, en effet, la croix ou le crucifié se dressent contre le lit du mourant pour l'inviter à se préparer à quitter ce monde et à remettre son âme à Dieu.
Ce symbole est utilisé pour mettre en garde contre les substances létales (pouvant entraîner la mort).
La croix latine, du christ, symbole de le l'église et de la religion chrétienne. Sous sa forme la plus connue, cette croix catholique possède deux barres droites, l'une verticale et l'autre horizontale.
Les catholiques et les orthodoxes prient les Saints. Ils croient au Purgatoire et vénèrent la Vierge Marie comme figure sainte. Cela constitue une autre différence importante avec l'Eglise protestante qui refuse les Saints et ne voue aucun culte à Marie.
La croix est le premier symbole du Christianisme. Adoptée à partir du IVe siècle par l'empereur Constantin le Grand, elle est constituée de barres coupées à angle droit, la croix chrétienne représente l'événement fondateur du Christianisme qu'est : la crucifixion de Jésus-Christ.
Cette formule est associée au baptême et est présentée comme l'une des dernières paroles de Jésus après sa résurrection dans l'Évangile selon Matthieu (Mt 28,19).
C'est sans doute Pierre Le Mangeur (de livres, bien sûr !) qui utilise le premier, dans le courant de la décennie 1170-1180, le mot purgatoire comme substantif.
Les calaveras (« têtes de mort », en espagnol) sont emblématiques du Jour des morts et de la culture mexicaine, depuis la promotion dans les années 1920 de certains symboles culturels d'origine plus ou moins indigène par les gouvernements nationalistes dans le but d'unifier le pays après la révolution de 1910, par l' ...
Dans le folklore occidental moderne, la Mort est généralement représentée comme un squelette portant une robe, une toge noire avec capuche, et éventuellement avec une grande faux. La Mort est alors connue sous le nom de « la Grande Faucheuse » ou tout simplement « la Faucheuse ».
Une étude de l'Université de Kingston a révélé que le fait de faire votre lit le matin emprisonne les acariens qui se sont accumulés durant la nuit et constitue un terrain fertile pour les allergènes qui peuvent empirer l'asthme et les allergies.
La croix est un symbole en forme d'intersection, formée de deux lignes ou plus. La « région » est une zone définie par l'intersection (il y a ainsi en général quatre régions). Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau », « gibet », voire « potence ».
Un christogramme est un monogramme ou une combinaison de lettres qui forme une abréviation pour le nom de Jésus-Christ, traditionnellement utilisé comme un symbole chrétien. Différents types de christogrammes sont associés aux différentes traditions du christianisme.
Dans le récit de la Crucifixion, la scène intervient après que la mort du Christ a été constatée, et que Pilate a autorisé Joseph d'Arimathie à descendre le corps du Christ de la croix pour le déposer dans un sépulcre où il doit être enseveli avant le sabbat.