Elle favorise la production d'ocytocine, hormone de l'attachement social, et diminue celle du cortisol, hormone associée au stress. «Des recherches ont démontré que chanter dans une chorale réduisait les hormones du stress d'environ 20 %. Chanter seul les abaissait de 15 %.
Elle permet notamment : d'apaiser l'organisme, d'améliorer l'humeur et de stimuler la mémoire ; d'aider à combattre l'insomnie, d'améliorer la fonction immunitaire, en simulant notamment la production d'immunoglobuline A ; d'améliorer l'activité physique, en augmentant la tolérance à l'effort.
Les musiques anti-stress sont avant tout celles qui font plaisir à écouter, selon les musicothérapeutes. Rock, jazz, rap ou chants polyphoniques… Il n'y a pas de genre particulier à privilégier, même si celles aux tempos lents ou la musique classique et lyrique sont particulièrement propices à la détente.
Agréable à écouter, la musique procure de nombreux bienfaits sur l'humeur, la santé et la créativité. À vos playlists ! Source de plaisir, la musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui, à son tour, active la sécrétion d'endorphines procurant une sensation de bien-être.
– Améliorer notre humeur : L'écoute de la musique libère de la dopamine dans notre cerveau, surtout lorsqu'il s'agit d'une musique que nous aimons. Une étude a montré que les niveaux de dopamine étaient jusqu'à 9 % plus élevés lorsque les gens écoutaient de la musique qu'ils appréciaient.
La musicothérapie est d'ailleurs prescrite par des médecins psychiatres. Une étude espagnole a même indiqué que cette médecine douce pouvait réduire la douleur en cas de fibromyalgie. On peut donc dire sans risque que la musique soulage à la fois les troubles physiques et mentaux tout autant qu'elle adoucit les mœurs.
L'écoute de la musique bilatérale amène le cerveau à une "stimulation de l'attention double" qui, selon le sentiment, aide le cerveau à traiter les souvenirs difficiles qui, autrement, déclenchent l'anxiété et les traumatismes.
Un tel effet est qualifié d'amorçage affectif et suggère que la musique modifie l'état affectif du sujet, ce qui le conduit à projeter l'émotion musicale ressentie sur le stimulus neutre. Dans ce type d'études, l'émotion musicale influe sur le comportement du sujet sans qu'il n'ait à exprimer ce qu'il a ressenti.
De manière générale, il semblerait que les musicien·ne·s semblent mieux équipé·e·s pour affronter les défis professionnels. Résolution de problèmes complexes, pensée critique, prise de décision, flexibilité cognitive… En apprenant la musique, on acquiert aussi des compétences pour la vie professionnelle.
Un puissant remède antistress
Si plusieurs théories tentent toujours d'expliquer ce lien, on sait que la musique agit sur deux hormones: l'ocytocine et le cortisol. Elle favorise la production d'ocytocine, hormone de l'attachement social, et diminue celle du cortisol, hormone associée au stress.
Respirer de façon régulière, lentement et profondément, permet de ralentir les battements du coeur... et d'apaiser son cerveau, son système nerveux, donc son stress. C'est ce qu'on appelle la cohérence cardiaque. Une méthode efficace, selon les cardiologues, pour réduire les douleurs et détendre l'organisme.
Lorsqu'on écoute un morceau, le circuit cérébral responsable du plaisir, appelé le circuit de la récompense, s'active et libère des substances chimiques à l'origine d'une sensation de bien-être et d'apaisement. L'endorphine agit comme un antidépresseur et soulage les douleurs. Et la dopamine nous met de bonne humeur.
La musique a des effets sur le cerveau, par exemple, elle réduit les hormones du stress, en particulier la musique jazz avec un tempo lent. Elle stimule également la sécrétion de dopamine, une hormone qui est bonne pour le bien-être en général.
Certaines études font un lien entre déficience auditive, retrait social, isolement et dépression. La gêne ressentie peut provoquer des difficultés à s'endormir. D'autres effets domino sont possibles. Le stress par exemple est un facteur de changement de rapport à l'alimentation.
La dopamine produite par le cerveau diffuse un bien-être chez une personne écoutant la musique au moment opportun, source de bienfaits physique et mental. La musique adoucit les mœurs en influençant le comportement et les émotions. La musique soigne aussi.
Lorsque vous écoutez vos chansons préférées, votre cerveau libère un niveau élevé de dopamine, un neurotransmetteur qui améliore votre sentiment de bien-être. Dans le même temps, votre taux de cortisol diminue (le cortisol étant l'hormone du stress) et votre taux d'ocytocine (l'hormone du bonheur) augmente.
La musique a cet effet déclencheur sur le cerveau, et tout le travail scientifique actuel consiste à isoler les paramètres dans la musique entraînant la génération de l'adrénaline, mais aussi la dopamine (lié à la satisfaction) et l'endorphine (lié au soulagement).
Elle peut avoir la fonction d'ambiance de fond pour animer des événements – par exemple pendant des repas ou des fêtes ; réguler les états psychologiques des uns ou des autres – calmer, égayer, motiver, etc. ; parfois aider un individu à se distancier du monde extérieur ou au contraire rapprocher des individus et ...
Douce ou très rythmée, une mélodie peut nous détendre quand on est fatigué et nous réconforter quand on est triste. Certaines paroles peuvent nous faire éclater de rire ou nous mettre en colère… et la voix d'un chanteur peut même donner des frissons ou nous énerver !
En effet, des résultats antérieurs ont révélé que la musique provoque la libération de dopamine dans les structures cérébrales du circuit de la récompense, impliqué notamment dans l'analyse des émotions, le plaisir et la motivation, et que le récepteur D2 participe à la régulation des émotions.
En réduisant le cortisol (hormone de stress) et en augmentant la dopamine, la musique permet de soulager les patients, de leur apporter une détente psychologique et musculaire et de ce fait une réduction de la douleur de 50%. Elle permet aussi chez certains patients de réduire la prise de médicaments de 30 à 40%.
L'anxiété est une réponse émotionnelle (crainte ou peur) à un stress qui vous pousse à éviter une situation donnée. Il s'agit d'une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (respiration difficile, palpitations, sueurs, tremblements) et des pensées anxieuses (inquiétudes, obsessions, doutes).