La pratique régulière d'une activité physique prévient du cancer. Et, même en cas de survenue de la maladie, il réduit le risque de mortalité. L'activité physique est utile avant un cancer, pendant un cancer, et après un cancer. Pratiquée à dose suffisante, elle réduit notamment le risque de développer cette maladie.
elle diminue le risque de sarcopénie (diminution de la masse musculaire) qui peut augmenter la toxicité des chimiothérapies ; elle permet un meilleur respect du suivi des traitements en améliorant leur tolérance et en diminuant leurs éventuels effets secondaires.
La pratique physique de type RASP, à des intensités significatives et adaptées à la personne, apporte une réduction du risque de rechute des cancers, surtout pour le sein, le colon et la prostate, alors que pour les autres cancers l'activité physique adaptée en contribuant à réduire certains facteurs de co morbidité ...
Elle réduit le risque de diabète et aide à mieux équilibrer le taux de sucre dans le sang (glycémie). Elle facilite la stabilité de la pression artérielle. Elle est efficace pour le maintien du poids de forme et peut reduire les risques d'obésité. Elle réduit le risque de lombalgies.
Selon les chercheurs, trop d'exercice physique pourrait conduire, non seulement à de la fatigue, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires, mais aussi à une baisse de nos capacités cérébrales, et de l'impulsivité. Et, peut-être, au développement de burn-out.
La bigorexie est une maladie reconnue par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) depuis 2011, mais reste encore peu connue en France. Elle peut aussi bien toucher les athlètes de haut niveau que les sportifs amateurs, devenus dépendants à la suite d'une pratique excessive de sport.
Mais force est de le reconnaître : un exercice trop poussé et pratiqué très régulièrement comme des marathons ou des semi-marathons produit des contraintes insupportables pour le cœur, même si le risque de s'écrouler au cours d'un tel exercice est faible : il ne ne dépasse pas 1 décès pour 200 000 participants.
Leurs conclusions montrent en effet que le cyclisme, la natation, l'aérobic et les sports de raquette offrent de meilleurs avantages pour l'espérance de vie que la course.
Variez les plaisirs, même au travail
Elle comprend les activités aquatiques comme la natation ou l'aquabike. Les activités de concentration et de relaxation telles que le yoga, le stretching ainsi que le Pilates. Les sports d'endurance également, comme le running ou le vélo.
Cardio-respiratoire, musculaire, d'assouplissement et d'équilibre : les activités physiques et sportives se répartissent en quatre catégories, selon les fonctions physiologiques qu'elles sollicitent.
La pratique régulière d'une activité physique prévient du cancer. Et, même en cas de survenue de la maladie, il réduit le risque de mortalité. L'activité physique est utile avant un cancer, pendant un cancer, et après un cancer. Pratiquée à dose suffisante, elle réduit notamment le risque de développer cette maladie.
L'activité physique agit sur la masse grasse et diminue la sécrétion de certaines de ces hormones, ce qui freine la croissance des cellules cancéreuses. L'impact est donc accru sur les cancers hormono-dépendants (sein, endomètre, prostate) (5).
Consommer plus de fibres alimentaires ; Avoir une alimentation riche en fruits et légumes ; Éviter l'excès de viandes rouges et de charcuteries ; Diminuer la consommation d'alcool.
Le cancer est une maladie caractérisée par la prolifération incontrôlée de cellules, liée à un échappement aux mécanismes de régulation qui assure le développement harmonieux de notre organisme.
Rappelons qu'une activité physique régulière peut aider à la prévention ou à la correction d'un déconditionnement physique comme mentionné si dessus, au maintien de l'organisme, à la réduction de la fatigue liée aux cancers et à l'amélioration globale de la qualité de vie.
La natation, le sport complet par excellence
En effet, l'un des meilleurs sports pour le corps, c'est la natation puisque c'est un sport qui fait travailler tous les muscles et toutes les parties du corps, sans exception.
Des exercices au poids de corps, de la marche, des étirements, de la gym douce, du jogging ou de la natation. Dans ce cas précis, il n'est pas mauvais de faire une activité physique tous les jours au contraire. L'OMS préconise un minimum de 10 000 pas ou 20 minutes d'activité physique par jour.
La course à pied serait plus naturelle pour le corps que la musculation.
Le football améliore les performances musculaires.
L'étude a révélé respectivement 27 %, 15 %, 47 % et 28 % de réduction du risque de décès prématuré chez ceux qui pratiquent l'aérobic, le cyclisme, un sport de raquette ou la natation.
L'aquagym, et la natation en général, est LE sport le mieux adapté aux 50 ans et plus. Pratiquer une activité physique dans l'eau permet en effet de limiter les chocs et oblige les muscles à travailler davantage.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.