Des chercheurs comme (Dollar § Kraay, 2002) ; (Ravallion, 2004) considèrent que le niveau élevé de la croissance économique est primordial pour réduire la pauvreté. Ces chercheurs ont pu montrer qu'une augmentation du Pib/hab réduit la pauvreté.
Les effets de la croissance sur la réduction de la pauvreté sont à la fois directs et indirects : la croissance augmente mécaniquement le niveau moyen des revenus de la population ; elle entraîne aussi une augmentation des revenus des États, qui peut permettre un accroissement des investissements en matière sociale, de ...
Depuis plusieurs décennies, les impacts de la pauvreté mais aussi des inégalités sociales sur la santé sont largement décrits dans les écrits scientifiques. Elles ont pour conséquences des maladies physiques, des maladies mentales, des incapacités précoces et des morts prématurées.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
La pauvreté est le premier frein au développement. La lutte contre la pauvreté est complexe, impliquant une multitude d'acteurs : elle doit être une priorité des États, faisant l'objet d'accords et d'une coopération internationale.
Les causes de la pauvreté sont nombreuses – et parmi elles beaucoup sont systémiques : ainsi, les inégalités femmes-hommes aggravent la pauvreté. Elle s'explique en grande partie à cause d'un système économique injuste et sexiste qui concentre les richesses dans les mains d'une poignée d'hommes.
D'abord, les inégalités économiques sont souvent considérées comme l'un des principaux facteurs contribuant à la pauvreté. En effet, les écarts de richesse entre les pays et à l'intérieur des pays peuvent limiter l'accès aux ressources et aux opportunités économiques pour certaines populations.
En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses. Ainsi, les ressources de la planète sont largement suffisantes pour couvrir les besoins nécessaires indispensables à la « survie » de la population qu'elle abrite.
Elle transforme la vie des populations dans la mesure où elle crée davantage de biens et de services. À long terme, la croissance a un impact important sur la démographie et le niveau de vie des sociétés qui en sont le cadre.
Les effets positifs : l'accroissement de la production va entraîner une augmentation de la demande de consommation. Cette dernière va entraîner à son tour de nouveaux recrutement de mains d'œuvre et un accroissement de l'investissement. il y'aura une augmentation de la productivité, donc des gains de productivité.
Le taux d'extrême pauvreté se situera entre 9,1 et 9,4 %, ce qui nous ramènera trois ans en arrière, aux niveaux de 2017. La situation risque de continuer à se dégrader en 2021, avec 23 à 35 millions de pauvres supplémentaires, soit un nombre total de nouveaux pauvres estimé entre 110 à 150 millions à cette échéance.
La pauvreté rend des gens malades, cause de la souffrance, rend difficile l'accès à l'éducation et nuit à la capacité des personnes qui la vivent de réaliser leurs légitimes aspirations. Elle empêche des citoyenNEs de contribuer pleinement à la société. Et toute personne a droit à la dignité, qu'elle travaille ou non.
L'homme considéré comme le plus pauvre du monde est un Indien du nom de Manoj Bhargava. Il est né en 1953 à Lucknow, en Inde, et a grandi à Philadelphie, aux États-Unis. Après avoir obtenu un diplôme en entrepreneuriat, il est devenu un entrepreneur prospère dans l'industrie des boissons énergisantes.
La pauvreté progresse alors sous l'effet de plusieurs facteurs : la hausse du nombre de familles monoparentales aux faibles revenus et une croissance économique qui demeure historiquement faible avec pour conséquence un niveau de chômage élevé.
Les racines de la pauvreté se trouvent dans une répartition inégale de la nourriture, des terres et du capital. Les pays en développement se ressentent encore des maux du colonialisme, quand d'énormes quantités de ressources et de richesses nationales étaient transférées aux pays industrialisés du Nord.
Les prestations sociales et la fiscalité directe diminuent le taux de pauvreté monétaire de presque 8%, et plus de 20% pour les familles monoparentales avec au moins deux enfants, plus de 12% pour les moins de 20 ans et 12% pour les personnes en situation de handicap.
La croissance est la quête perpétuelle des politiques économiques. Elle est indispensable pour faire face à bon nombre de problèmes économiques et sociaux, celui du chômage en premier. Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend.
Selon J. Tirole, il semblerait que la Croissance Économique mondiale soit face à 3 enjeux majeurs sur le long terme : Le climat, les inégalités et la démographie.
La croissance est le principal objectif économique
Par exemple, un accroissement de la richesse se traduit par une augmentation des recettes fiscales : TVA, impôt sur les sociétés, mais aussi impôt sur le revenu car le niveau des revenus distribués est aussi en hausse.
La productivité
La production est réalisée par deux facteurs de production : le travail et le capital. Quand ces facteurs de production s'accroissent (plus de travailleurs ou plus de machines), la production augmente et la croissance accélère (toutes choses égales par ailleurs).
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
Ainsi, la raison fondamentale pour laquelle la croissance est si importante du point de vue du développement s'explique non seulement par le fait qu'elle permet d'engendrer une économie plus grande en soi, mais aussi, en théorie tout du moins, d'accroître la production, et donc de générer davantage de croissance future ...
Toutefois, ce qui est moins souvent admis, en tout cas dans le sens commun, est que la pauvreté rend également possible l'existence et l'expansion de professions et activités « respectables », par exemple la pénologie, la criminologie, le travail social et la santé publique.
Une stratégie pour surmonter la pauvreté est composée de trois piliers essentiels : la garantie des revenus pendant tout au long du cycle de vie, le renforcement des capacités humaines et l'insertion professionnelle.