Préservation de la qualité de l'air, en diminuant la quantité de polluants atmosphériques rejetés par les installations industrielles. Réduction des émissions de gaz à effet de serre, grâce au recyclage des matières premières et à la valorisation énergétique des déchets.
Réduction de la consommation de ressources. Augmentation de la réutilisation et du recyclage des ressources naturelles (et donc réduction de la production et de l'élimination de déchets).
L'homme affecte le fonctionnement de la plupart des écosystèmes en : – exploitant des ressources (bois, pêche, etc.) ; – modifiant le biotope local (sylviculture, érosion des sols, etc.) ; – modifiant le biotope global (changement climatique, introduction d'espèces invasives).
Les méthodes d'agriculture et de développement durable
En plus de l'utilisation d'énergies renouvelables, plus soucieuses de l'environnement, il existe des méthodes de culture responsables qui assurent une production alimentaire plus neutre pour l'environnement et les écosystèmes.
L'Office National de la Biodiversité liste cinq facteurs majeurs d'origine humaine qui pèsent sur la biodiversité : les changements d'usage des milieux naturels, la surexploitation des ressources naturelles, la pollution, le changement climatique et les espèces exotiques invasives.
Le contact avec la nature est essentiel pour le corps et l'esprit. Il renforce les défenses immunitaires, contribue au bon fonctionnement de l'organisme et diminue le stress.
Manger moins de viande. Acheter du poisson issu de pêcheries gérées. Bannir les produits à usage unique : ustensiles et couverts en plastique, serviettes en papier, capsules de café, cotons démaquillants, brosses à dents en plastique (il en existe en bambou), essuie-tout (certains sont réutilisables)…
-mettre la priorité sur une agriculture respectueuse de son environnement, en faveur de la biodiversité (dont fait partie, entre autres, l'agriculture biologique) ; -utiliser la biodiversité du sol pour restaurer et dépolluer les sols dégradés (vers de terre, plantes...)
la mise en culture de prairies et de forêts, le labour et la moindre restitution des résidus de culture (pailles…) qui diminuent la biodiversité et les matières organiques contenues dans les sols.
La biodiversité nous aide à lutter contre le changement climatique et à nous y adapter, et réduit l'impact des risques naturels. Étant donné que les organismes vivants interagissent dans des écosystèmes dynamiques, la disparition d'une seule espèce peut avoir un impact considérable sur la chaîne alimentaire.
On peut citer : La modification des habitats naturels par la déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants. Le changement climatique, qui modifie trop rapidement les conditions de vie des espèces.
Les actions humaines modifient l'équilibre d'une grande partie des écosystèmes. Ces actions peuvent être directes comme la chasse, la pêche ou encore la déforestation. Plus de 80 % des populations de poissons sont surexploitées. L'exploitation agricole est la principale cause de déboisement dans le monde.
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers.
Il faut comprendre par impact, la conséquence ou l'effet d'une action sur autrui ou sur l'environnement. Ainsi, une entreprise profitable, qui produit par exemple des meubles, aura un impact social positif car elle créée de l'emploi, paie des impôts nécessaires aux services publics et rémunère ses actionnaires.
Préserver l'« environnement » revient donc à sauvegarder la production d'aliments, empêcher la pollution de l'air et de l'eau, pourvoir à la subsistance des personnes et protéger leur santé.
L'Homme modifie le milieu de vie qu'il partage avec d'autres espèces par la plupart de ses acti- vités (industries, agriculture, commerce, trans- ports…) : destruction et pollution des habitats, surexploitation des ressources naturelles, intro- duction d'espèces invasives et accélération du changement climatique.
consommation d'énergie primaire (indicateur de flux) ; épuisement des ressources non renouvelables ; toxicité humaine ; occupation des sols.
En aménageant le territoire, l'homme modifie son environnement naturel : il détruit parfois des milieux de vie. Cependant, il prend peu à peu conscience des dangers qu'il fait courir à la planète et commence à restaurer des milieux qu'il a transformés.
L'utilisation des terres pour l'agriculture, l'exploitation forestière et l'exploitation directe des ressources par la pêche et la chasse sont unes des premières raisons de la situation actuelle et les causes de la pollution de la planète.
Les pressions exercées sur l'eau ont pour conséquence non seulement une détérioration des ressources en eau mais aussi une dégradation de la qualité de l'eau : La surexploitation et les épisodes de sécheresse de plus en plus fréquents et intenses réduisent considérablement les quantités d'eau douce.
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
L'érosion par l'eau qui provoque la perte de la partie supérieure du sol par ruissellement superficiel. La dégradation chimique : Perte des éléments nutritifs, pollution, acidification, salinisation ... La dégradation physique : Compaction, croute de batance, engorgement , aridification.
Certaines pratiques agricoles peuvent contribuer efficacement à la conservation de la biodiversité. L'intensification durable de la production agricole, par exemple, limite la superficie de terres utilisées pour l'agriculture, laissant ainsi une plus grande surface disponible pour la conservation de la biodiversité.
Acheter des produits durables et réutilisables plutôt que des produits jetables ou de qualité inférieure. Réparer les objets brisés ou abîmés avant d'en acheter d'autres. Éviter d'acheter des produits avec beaucoup d'emballage. Acheter des produits en vrac autant que possible.