L'interrogation partielle porte sur une partie, un élément ou une circonstance de l'énoncé visés par un mot interrogatif (adjectif, pronom ou adverbe interrogatif). On ne peut pas y répondre par oui ni par non.
L'interrogation partielle porte sur un élément de la phrase et utilise un mot interrogatif (qui ?, où ?, comment ?). On ne peut pas répondre par « oui » ou « non ». « Où partez-vous en vacances cet été ? » Nous partons en Auvergne.
Quand une phrase interrogative pose une question à laquelle on ne peut pas y répondre par « oui » ou « non », on dit que c'est une interrogation partielle. Elle porte sur une partie de la phrase. Elle demande donc une réponse plus détaillée que l'interrogation totale.
Une interrogation totale est une question qui porte sur toute la phrase et à laquelle on peut répondre par "oui" ou "non". Une interrogation partielle est une interrogation qui porte sur un élément seulement et à laquelle ont doit répondre une phrase complète.
-Si on ne peut pas répondre par oui ou non, c'est une interrogation partielle. -Conclusion: *L'interrogation totale a pour réponse'oui' ou 'non'et reprend la totalité de la question initiale . *L'interrogation partielle n'a pas pour réponse 'oui' ou 'non' mais reprend une partie de la question initiale.
L'interrogation totale, qui porte sur le contenu de l'ensemble de la phrase. Elle appelle une réponse en oui ou non (et variantes : sans doute, peut-être, sûrement, etc.) : Adèle continuera-elle à chanter ?
Négation partielle. Comment savoir si la négation est partielle ? Elle porte sur une partie de la proposition. Elle se forme avec l'adverbe « ne » + « personne, rien, aucun, etc. » Exemple : « Il n'a lu aucun livre de Flaubert ».
II.
On distingue deux types d'interrogation : l'interrogation partielle, qui suppose l'apport d'une information manquante. L'intonation est descendante ; le terme interrogatif initial est mis en relief (ex : Qui a téléphoné tout à l'heure ?) ; l'interrogation totale, qui suppose une réponse par « oui » ou « non ».
Si tu peux répondre à la question par oui ou non, l'interrogation est dite totale.
(affirmative ou négative) en phrase interrogative directe. C'est la façon la plus simple de poser une question, très courante à l'oral. L'ordre des mots est le même que dans une phrase déclarative et, à l'écrit, le point d'interrogation est la trace de l'intonation : Vous me rappellerez ?
la phrase déclarative, la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative. On peut mettre chacune de ces phrases soit à la forme affirmative ou négative.
. Elle suit un verbe tel que dire, demander, s'informer, ou un verbe exprimant l'ignorance, et est introduite par un mot interrogatif. Elle ne se termine jamais par un point d'interrogation.
Formules interrogatives ce que et qu'est-ce que. Qu'est-ce que et qu'est-ce qui s'utilisent dans des phrases interrogatives directes, qui se terminent par un point d'interrogation. Les interrogations indirectes emploient quant à elles ce que et ce qui, et se terminent par un simple point.
La phrase déclarative correspond au modèle de la phrase de base tandis que la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative sont des phrases transformées. Plus précisément, elles sont le résultat de la transformation du type déclaratif de cette phrase de base.
La négation totale porte sur la phrase entière et s'exprime au moyen de ne... pas ou ne... point : Il ne lit pas. (cet énoncé s'oppose à la phrase positive Il lit). La négation partielle porte sur une partie seu- lement de la phrase : Il ne lit pas de poésie.
La négation restrictive, malgré son nom et sa tournure, n'est pas réellement une négation, puisqu'elle vise le seul cas positif. On la forme avec ne… que, ou rien… sinon, rien… sauf (ex. : Il n'aime que les pâtes).
La phrase négative s'oppose à la phrase affirmative. Elle sert à dire le contraire. Pour transformer une phrase affirmative en phrase négative, on encadre le verbe par une des négations suivantes : ne/pas, jamais, ne/plus... Par exemple : Gustave ne met pas son chapeau.
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat... surtout si elle est drôle ou caustique.
La proposition interrogative indirecte est une subordonnée introduite soit par la conjonction si, soit par un terme interrogatif : pronom (qui, que, quoi, lequel), déterminant (quel) ou adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Dis-moi s'il est heureux et ce qu'il compte faire. J'ignore qui il a rencontré.
La négation peut être exprimée par le vocabulaire : préfixe négatif, préfixe non- ou encore un antonyme.
On parle de négation totale lorsqu'elle porte sur l'ensemble de la proposition. Je n'entends rien. → La négation est totale car elle porte sur l'ensemble de la phrase. On parle de négation partielle lorsque la négation ne porte que sur un élément de la proposition (le sujet ou un complément).
Emploi : La conjonction « ni» s'emploie généralement avec la particule de négation « ne », placée avant ou après « ni ».