L'objet du travail est surtout un concept opératoire et un outil méthodologique conduisant à interroger, à partir d'un angle particulier, une activité professionnelle en postulant au départ que l'on ignore de quoi il s'agit.
Le droit du travail est l'ensemble des règles juridiques applicables aux relations entre employeurs privés et salariés, à l'occasion du travail. Le droit du travail organise les relations professionnelles de travail entre l'employeur et le salarié individuellement et la collectivité des salariés.
On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc. Mais chacune de ces motivations a son revers.
Ainsi, la première fonction du travail est d'intégrer les individus dans la société en leur permettant de satisfaire leurs besoins et de participer à l'effort de production national. Le travail est une des activités qui, quel que soit son objet précis, occupe le plus la vie des individus et les situe dans la société.
Au cœur de ce courant, l'amélioration du travail par l'analyse des processus, mais aussi une division du travail à la fois horizontale (tâche par tâche selon les compétences) et verticale (hiérarchie très marquée). C'est l'apparition de la notion de pénibilité du travail.
Les principes du taylorisme
division horizontale du travail (spécialisation des tâches et étude des temps d'exécution - "the one best way") division verticale du travail (distinction entre exécutants et concepteurs) salaire au rendement. contrôle des tâches par des contremaitres.
Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
Les hommes travaillent afin de satisfaire leurs besoins. Faute de voir ceux-ci comblés par une nature généreuse, ils sont dans l'obligation de produire les biens indispensables à leur survie.
Le travail forme l'être humain à la sociabilisation et lui apprend donc à vivre en société. Le travail est en effet lié à la diversité des techniques et à la nécessaire coopération sociale. Le travail favorise également la communication, donc le rapport avec les autres. Il fait vraiment de l'être humain un être social.
La valeur du travail est invariante et permet d'évaluer tous les biens. L'argent qui permet d'échanger les biens n'est qu'une reconnaissance de cette valeur. En effet, « des quantités égales de travail doivent être, dans tous les temps et dans tous les lieux, d'une valeur égale pour le travailleur.
Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. 2. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.
L'origine. Le mot travail vient du latin tripalium, qui était, je vous le donne en mille, un instrument de torture composé de trois pieux ! Historiquement, le travail désigne, en effet, la souffrance, la douleur, en particulier celle que peut endurer une femme lors de l'accouchement.
Chose ou personne sur laquelle peut s'exercer un droit.
Le droit est alors vu sous l'angle de son objet : organiser la vie sociale. Elles sont donc formulées de manière générale et impersonnelle, sans concerner personne en particulier, mais en visant toutes les personnes qui forment le corps social. Cette vision du terme droit est qualifiée de droit objectif.
On les distingue des objets de droit (une table, un livre, par exemple) et des personnes "hybrides" qui se situent entre une chose et une personne (ainsi, l'embryon n'est ni une chose, ni une personne). Les sujets de droit sont des personnes juridiques : elles ont des droits et des obligations.
Ce qui pousse l'homme à travailler, c'est bien la nécessité, mais elle ne pousse pas plus. Il se tient immobile, se repose, fait tout autre chose dès que la nécessité ne le presse plus.
C'est une action qui se traduit par la réalisation, la production, la création de quelque chose et qui peut être professionnelle ou non. Notre société étant ainsi organisée, le principe de réalité nous suggère d'exercer une profession qui nous permette de vivre et donc d'être rémunéré.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Un métier est une activité humaine, le plus souvent à but lucratif. C'est aussi un savoir-faire acquis et, lorsque le métier le permet, une amélioration de ce savoir. L'exercice d'un métier est fréquemment précédé d'un apprentissage (L'apprentissage est l'acquisition de savoir-faire, c'est-à-dire le processus...).
Nous travaillons pour produire, pour transformer la nature naturelle, qui satisfait mal ou pas du tout les besoins humains, en éléments artificiels qui satisfassent ces besoins.
Le taylorisme est une méthode d'organisation du travail industriel dont les caractéristiques principales sont la division horizontale et verticale du travail ainsi que le salaire au rendement.