La dîme : un impôt d'origine carolingienne destiné à soutenir les pauvres et les clercs, dont l'Église a su s'approprier intégralement le contrôle. Un des prélèvements les plus lourds qui aient pesé sur les populations, et qui n'est remis en cause qu'à la Révolution.
1Le payement volontaire de la dîme a été encouragé à partir du IVe siècle par les Pères de l'Église. En Gaule, elle a été préconisée aux fidèles et réglementée par le droit ecclésiastique, à partir de la 2e moitié du VIe siècle.
La dîme sert à construire des temples et des églises, à traduire et publier les Écritures, à faire l'œuvre missionnaire et l'histoire familiale, et à établir par d'autres moyens le royaume de Dieu sur terre.
Les membres de l'Église donnent la dîme et d'autres offrandes au Seigneur.
« Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l'Éternel ; c'est une chose consacrée à l'Éternel. » (Lévitique 27:30).
La dîme est le dixième de vos revenus que vous donnez à l'Église de Dieu.
Sur le devant ou sur le couvercle de la boîte, écrivez «Dîme» pour la petite partie et «A dépenser ou épargner» pour la grande partie. Procurez-vous une enveloppe et un feuille de dîme pour chaque enfant. Préparez-vous à chanter ou à dire les paroles de «A Dieu je veux donner ma dîme» (Chantons ensemble, B-47).
Impôt sur les récoltes (de fraction variable, parfois le dixième) prélevé par le clergé ou la noblesse. Dîme royale. Synon. impôt, taxe.
Père céleste, merci pour ta promesse de me bénir dans chaque domaine de ma vie. Je choisis d'obéir à ta Parole et de traduire ma foi en actes. Bénis-moi alors que je t'honore par ma vie et mes ressources. Au nom de Jésus.
Le vingt six juin 1714, Charles Pompon, curé de Jullié afferme la part de la dîme qui lui revient sur le canton de Vaux à Benoît Aujas et Benoît Rattignat de Juliénas pour une durée de six années entières et consécutives moyennant le prix de cent vingt livres par an payable moitié à la Saint Jean Baptiste et moitié à ...
La dîme est une règle religieuse bien en place à l'époque de Jésus de Nazareth, il n'existe pas de commandement sur ce sujet dans le Nouveau Testament. Plusieurs références à la dîme se trouvent dans l'Évangile selon Matthieu, Mt 22,23, l'Évangile de Luc, Lc 11,42 et Lc 18,12 et l'Épître aux Hébreux, He 7,1-12.
Hier on a résumé en disant que l'offrande était réservée au service de la maison de Dieu tandis que la dîme était réservée à la survie des lévites. On a également dit que la dîme était le salaire des lévites qui étaient constamment à l'œuvre de Dieu.
La dîme peut être utilisée pour :
La construction et l'entretien des temples, des églises et d'autres bâtiments appartenant à l'Église. Le fonctionnement des programmes d'enseignement de l'Église. L'impression des Écritures et d'autres documents. La recherche dans le domaine de l'histoire familiale.
salut éternel masculin
(Religion) Salut de l'âme qui , lors de la mort, va au paradis et est donc sauvée de l'enfer.
La dîme est définie au Moyen Âge comme un prélèvement que les fidèles doivent verser à l'Église, une ponction correspondant en principe au dixième de leurs productions.
Don volontaire et, le plus souvent, modeste : Verser une offrande. 3. Cérémonie qui se pratique à certaines messes, et pendant laquelle les fidèles viennent en procession déposer leurs dons.
La dîme est donc passée du statut d'obligation légale à celui de devoir moral, sur une base totalement volontaire.
La dîme vient du latin decima qui veut dire « dixième ». Aujourd'hui, elle correspond à un don représentant 10% des revenus du fidèle, versé à une église locale ou à une œuvre chrétienne. Ce terme est utilisé plusieurs dizaines de fois tout au long de la Bible, notamment dans l'Ancien Testament.
Don que les fidèles offrent à un dieu, à Dieu pour l'honorer. 1. [Dans les relig. antiques] Les parties de la victime destinées à l'offrande sont recouvertes de graisse, et consumées avec des libations sur des charbons embrasés (Chateaubr.,Martyrs,t.
Pour la Prospérité d'Israël
Les sacrificateurs et les Lévites donnaient tout leur temps et prêtaient attention au service dans la maison du Seigneur. Ils n'avaient pas d'héritage parmi les Enfants d'Israël; par conséquent, Dieu donnait les dîmes d'Israël à ces ministres du sanctuaire pour leur subsistance.
Cette dîme-là devait être amenée au Temple et mangée par l'Israélite, sa famille, ses serviteurs et les sacrificateurs.
« Pour être bénis, nous avons besoin de sources et de vases de bénédiction. Or, Dieu fait souvent, de notre frère, de notre sœur, de notre prochain, une source de bénédiction. Acceptons donc notre prochain tel qu'il est, afin qu'il puisse être une bénédiction. »
Redevance, en nature ou en argent, portant principalement sur les revenus agricoles, la dîme, au Moyen Âge, est destinée à permettre l'exercice du culte par l'entretien du clergé et des lieux de culte, et à fournir assistance aux pauvres.
Le terme de « gabelle » (emprunté à l'italien gabella, lui même issu de l'arabe) s'applique initialement au Moyen Âge à toutes sortes d'impôts, mais, à partir de Louis-Philippe, il désigne exclusivement l'impôt sur le sel.