Après la chute des Girondins, sous la domination des
La Terreur a été instaurée pour faire face aux menaces internes et externes du pays. A l'extérieur, une coalition formée par la plupart des autres royaumes européens s'est constituée pour contrer les révolutionnaires français et rétablir la monarchie.
Les causes de La Terreur incluent les menaces extérieures (guerres), les rébellions internes et la radicalisation des révolutionnaires, menés par les Jacobins et Robespierre.
Lors de ces trois mois de combats, plus de 5 000 soldats républicains ont été tués, 50 000 à 70 000 Vendéens et Chouans sont morts ; plus de 10 000 ont été faits prisonniers ; 4 000 seulement sont parvenus à regagner la Vendée militaire.
Période de la Révolution française (1793-1794) pendant laquelle des mesures exceptionnelles sont mises en place pour arrêter et punir les opposants aux Montagnards.
Pour d'autres, Robespierre tenta de limiter les excès de la Terreur, et fut avant tout un défenseur de la paix, de la démocratie directe et de la justice sociale, un porte-parole des pauvres, et l'un des acteurs de la première abolition de l'esclavage en France.
La Terreur prend fin avec la mort des principaux députés Montagnards dont Robespierre, figure de proue du gouvernement révolutionnaire, guillotiné le 28 juillet 1794. L'héritage de notre République, inaugurée dans la politique de "la Terreur", anime toujours autant de débats au sein de notre histoire politique.
Pour l'Histoire, Robespierre est resté le visage de la Terreur. "Au sein du comité de Salut public où il entre le 27 juillet 1793, Robespierre est plus puissant que jamais et s'impose incontestablement comme le premier des onze, en notoriété et en autorité.
La Terreur est le nom donné à une période de la révolution de 1789 située entre 1793 et 1794. Il s'agit des mesures décidées par le gouvernement révolutionnaire. A Paris, l'exécution de l'ex-reine Marie-Antoinette le 16 octobre 1793.
Élu représentant du Tiers état pour Arras en 1789, Robespierre se fait connaître à l'assemblée constituante comme démocrate : il réclame le suffrage universel, se prononce pour la liberté de la presse, pour l'enseignement obligatoire, contre la peine de mort, et plaide inlassablement la cause du peuple, » cette ...
Le règne de la Terreur, ou plus simplement la Terreur, fut une période culminante de violence sanctionnée par l'État pendant la Révolution française (1789-99), au cours de laquelle des milliers de "suspects" contre-révolutionnaires furent exécutés en public et tués en masse entre septembre 1793 et juillet 1794.
Dater le début de celle-ci fait débat au sein des historiens. Certains la fixent à la naissance du Tribunal révolutionnaire en mars 1793, d'autres la font remonter plus tôt, aux massacres de septembre de l'année 1792. Pour tous, elle s'achève le 28 juillet 1794, avec la chute de Robespierre.
Le Directoire est un régime politique français de type directorial en place durant la Première République, du 4 brumaire an IV ( 26 octobre 1795 ) au 18 brumaire an VIII ( 9 novembre 1799 ).
Les guerres de Vendée débutent en 1793
Mais c'est en 1793 que tout bascule, à cause de la conscription. Le pouvoir souhaite enrôler 300.000 hommes et les Vendéens refusent de se plier à cet ordre. Le 10 mars, une émeute meurtrière éclate à Machecoul quand les représentants de l'État viennent enrôler les paysans.
Robespierre : Gouverner la République (10 mai 1793)
La société a pour but la conservation de ses droits et la perfection de son être, et partout la société le dégrade et l'opprime ! Le temps est arrivé de le rappeler à ses véritables destinées ; les progrès de la raison humaine ont préparé cette grande révolution ».
Après le 10 août 1792, Louis XVI et Marie-Antoinette sont incarcérés et accusés notamment d'avoir manœuvré avec les puissances étrangères contre la Révolution. Louis XVI est condamné à mort et guillotiné le 21 janvier 1793. Marie-Antoinette est exécutée le 16 octobre 1793.
Le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI, rebaptisé Louis Capet dans l'acte d'accusation de son procès, est guillotiné en public sur la place de la Révolution, actuelle place de la Concorde, à Paris. Sa mort met un terme à près de 1 300 ans de monarchie en France, depuis le règne de Clovis à la fin du Ve siècle.
Tribun superbe, corrompu à l'extrême, il laisse à la postérité un héritage controversé. Celui qui avait osé défier le Comité de Salut Public en exigeant la fin de la Terreur sera condamné à mort à la suite d'un simulacre de procès et exécuté le 5 avril 1794. Trois mois plus tard, les exécutions massives s'arrêtent.
Le 18 brumaire de l'an VIII (9 novembre 1799), un héros militaire, le général Napoléon Bonaparte, organise un coup d'État et proclame un nouveau gouvernement, le Consulat. La Révolution est terminée.
La conjonction de trois crises (économique, sociale et politique) est à l'origine de la Révolution française.
Nombreux furent les « ennemis du peuple » ayant reçu cette appellation non pas à cause d'actes hostiles contre les travailleurs et les paysans mais simplement en raison de leur origine sociale ou de leur profession avant la révolution : ce fut le cas du clergé, d'anciens policiers et des commerçants.
La Révolution française est un événement majeur de la fin du xviiie siècle. Née des difficultés de la monarchie et des contestations de l'absolutisme, elle marque une rupture totale avec l'Ancien Régime (la période précédente) dans le domaine politique, mais aussi dans les domaines économique, social et culturel.
Confronté à de graves difficultés économiques, le régime tombe le 18 brumaire 1799 (9 novembre 1799) suite au coup d'État d'un général brillant et ambitieux : Napoléon Bonaparte.
Robespierre érigea la terreur en système en proclamant la légitimité du nouveau gouvernement révolutionnaire. En cette fin de 1793 on vit guillotiner à Paris Marie-Antoinette, les girondins, Bailly, Barnave, Philippe Égalité, etc.
En deux célèbres discours (25 décembre 1793 et 5 février 1794), Robespierre développe ses théories sur la légitimité du gouvernement révolutionnaire, opposant l'ordre constitutionnel, respectueux des libertés publiques, à l'ordre révolutionnaire, dont l'activité exceptionnelle est nécessitée par les circonstances.