Le diagnostic de la ménopause repose sur l'absence de règles depuis 12 mois chez une femme d'environ 50 ans. Aucun examen n'est, a priori, nécessaire dans ce cas. En cas de doute, le médecin peut recourir au « test à la progestérone ».
Classiquement, la ménopause sera suspectée lorsque les taux de FSH > 30 UI/ml et associés à des concentrations d'estradiol < 10-20 pg/ml.
En plus d'un interrogatoire et d'un examen clinique, les femmes doivent bénéficier d'un bilan sanguin régulier avec dosage sanguin de la glycémie (taux de sucre), du cholestérol et des triglycérides (graisses) afin de dépister un diabète et une dyslipidémie, qui sont des facteurs de risques cardiovasculaires.
On considère qu'il faut 12 mois d'aménorrhée spontanée avant de pouvoir parler de ménopause. On peut aussi poser le diagnostic de ménopause de façon fiable et plus confortable pour nos patientes après 3 mois d'aménorrhée malgré une séquence progestative prescrite 10, 15 ou 20 jours par mois 3 mois de suite.
Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.
Elles ont une couleur transparente, ou blanchâtre, et ne présentent pas d'odeur désagréable. La quantité produite varie d'une femme à l'autre et augmente au moment de l'ovulation. Ces leucorrhées apparaissent au moment de la puberté et disparaissent à la ménopause, lorsque la production d'œstrogènes diminue.
L'âge moyen de la ménopause, c'est une moyenne !
Et d'autres femmes sont ménopausées bien plus tard. On considère qu'une femme est généralement ménopausée entre 45 et 55 ans. Il existe donc des variations individuelles importantes qui peuvent aller jusqu'à 10 ans, voire davantage.
Pendant la ménopause, il n'est pas rare de voir son ventre gonfler et de se sentir ballonnée. Et ça n'a clairement rien de réjouissant. La ménopause possède son lot de contrariétés, et notamment le ventre gonflé et les ballonnements.
Comme le corps humain réserve bien des surprises, il est parfois possible de tomber enceinte naturellement après un diagnostic de ménopause précoce. Des ovulations peuvent encore se produire de temps en temps si les ovaires sont en veille plutôt qu'à l'arrêt complet.
Vos symptômes se sont atténués ou ont cessé. Vous vous sentez plus vous-même ou éprouvez un sentiment de bien-être. Vous constatez que vous dormez mieux et que vous êtes en meilleure santé. Normalement, c'est à ce moment-là que vous pourrez vous dire « Dieu merci, ça y est, c'est finalement terminé. »
Le taux de TSH permet de révéler un dérèglement de la thyroïde. "Au-dessus de 4 mUI/L, c'est un signe d'hypothyroïdie", dit le Dr Borys. Si la T4 libre est dans les valeurs normales, on parle d'hypothyroïdie frustre.
Les dosages hormonaux sont effectués à partir d'une prise de sang, non à jeun. chez la femme, les dosages de FSH, LH et oestradiol sont pratiqués le 2ème, 3ème ou 4ème jour du cycle dans un laboratoire de référence. chez l'homme, le dosage de FSH peut être pratiqué à n'importe quel moment.
Le bilan hormonal s'effectue en laboratoire, à l'hôpital ou dans une clinique. Si votre situation le nécessite, il peut également se réaliser à domicile. Présentez-vous avec une ordonnance sur laquelle seront précisées les hormones à analyser.
Des femmes qui maigrissent à la ménopause, ça existe. Mais à condition de respecter une certaine hygiène alimentaire pour diminuer le ventre gonflé à la ménopause et de pratiquer une activité physique régulière pour garder une certaine forme et maintenir le tissu musculaire à son top niveau.
Passée la ménopause: un petit déjeuner riche en calcium et digeste. Une formule de petit déjeuner pour les femmes ménopausées: - Bol de lait (ordinaire ou à teneur réduite en lactose) au café ou au chocolat- Pain de campagne grillé, beurre ou margarine aux oméga 3- Fruit de saison ou compote maison.
Des saignements chez la femme ménopausée – appelés « métrorragies post-ménopausiques » (MPM) – ne sont pas une maladie en soi, mais le symptôme d'un problème de santé sous-jacent. Différentes causes peuvent être à l'origine de ces pertes de sang : Un traitement hormonal de substitution non adapté ou mal dosé.
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Par la suite, les taux d'œstrogènes peuvent fluctuer. D'abord très hauts (hyperoestrogénie), ils engendrent des effets désagréables tels que des maux de ventre, une tension dans les seins, des sautes d'humeur… Les règles peuvent se faire plus abondantes, plus fréquentes, avec l'apparition de métrorragies.
Les causes de saignements après la ménopause
Des saignements intermittents physiologiques peuvent venir ponctuer cette période qui s'étale sur plusieurs années. Le Traitement Hormonal de Substitution (THS) peut également provoquer des saignements s'il n'est pas correctement dosé ou si l'endomètre est trop épais.
Prise de poids, bouffées de chaleur ou fatigue, de nombreux symptômes accompagnent la préménopause, cette période délicate précédant la ménopause.
Mal de dos à la ménopause
L'apparition de ces troubles et douleurs sont majoritairement dûs à la chute hormonale brutale que subit la femme ménopausée. L'arrêt de la production d'oestrogènes a un impact sur le remodelage osseux, le tissu osseux se régénère donc beaucoup moins vite et est fragilisé.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.