Les examens complémentaires utiles dans cette forme de pubalgie sont avant tout l'échographie, éventuellement l'IRM dans un second temps, quoique non encore totalement validée. L'échographie avec manœuvre de Valsalva objective au mieux différentes formes de hernie et surtout une déhiscence abdomino-pariétale.
La pubalgie se manifeste par des douleurs au niveau du pubis et/ou de l'aine. Elle peut également irradier sur la face interne de la cuisse. " Après une courte phase inflammatoire de quelques jours s'installe une douleur liée au mouvement de la marche sur l'insertion des muscles.
IRM de paroi abdominale, T1, coupe axiale, (a) notez l'augmentation de calibre du canal inguinal droit (astérisque), (b) notez une hernie inguinale gauche (tête de flèche), (c) notez l'aspect normal de la paroi abdominale, (d) notez l'asymétrie des droits avec atrophie du grand droit et une hernie inguinale.
Le meilleur remède de la pubalgie reste la prévention avec musculation et étirements adaptés. Les différents moyens proposés : Le repos sportif est indispensable (1 mois au départ mais reconductible en fonction de l'évolution) Des anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent être prescrits pendant 3 à 4 semaines.
La pubalgie est une douleur d'apparition progressive dont le siège est le bas-ventre, le pubis, voire les adducteurs. En effet, c'est une technopathie sportive avec inflammation de la symphyse pubienne, qui est une articulation pratiquement immobile en avant du bassin en regard de la vessie.
Quels sont les spécialistes de la pubalgie ? Pour une consultation de deuxième avis, vous pouvez consulter un rhumatologue, un médecin de médecine physique et de réadaptation (MPR) ou un médecin du sport. La pubalgie étant une maladie fréquente chez le sportif, il sera apte à établir le bon diagnostic.
Le principal facteur prédisposant à l'apparition de la pubalgie est une instabilité du bassin lors de la pratique sportive, liée notamment à une mauvaise coordination musculaire.
La pubalgie correspond à une douleur localisée au niveau du pubis ou de l'aine, souvent décrite également comme une douleur des adducteurs. Cette pathologie se manifeste chez l'homme comme chez la femme, principalement chez le sportif (course à pied, football…).
Il pose une indication chirurgicale sans réserve lorsqu'il existe une pathologie clinique de l'orifice herniaire avec douleur au toucher inguinal. L'indication est portée, en revanche, avec réserves lors de pathologie rachidienne associée, d'arthropathie pubienne ou de pathologie des adducteurs.
Les ultrasons font partie des traitements les plus efficaces contre les douleurs de la pubalgie, mais d'autres options sont possibles, notamment : La prise d'antalgiques ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens. La prise de décontracturants.
Les examens complémentaires utiles dans cette forme de pubalgie sont avant tout l'échographie, éventuellement l'IRM dans un second temps, quoique non encore totalement validée. L'échographie avec manœuvre de Valsalva objective au mieux différentes formes de hernie et surtout une déhiscence abdomino-pariétale.
Radio du bassin en charge de face, debout, pieds nus en appui monopodal à la recherche d'une instabilité de la symphyse. Radiographie du rachis lombo-sacré de face et de profil à la recherche d'un dérangement intervertébral.
Symptômes d'une symphyse pubienne
Des douleurs dans le bas du dos et qui rayonnent vers l'abdomen, le pubis, les cuisses et/ou les jambes. Des douleurs lorsque vous faites certains mouvements comme appuyer votre poids sur une seule jambe ou lorsque vous écartez les jambes.
Les causes possibles d'une douleur à l'aine
Les douleurs inguinales sont généralement d'origine traumatique, musculaire ou articulaire ; une inflammation peut aussi être en cause. Parfois, ce symptôme est aussi secondaire à une pathologie des voies urinaires ou digestives.
Le diagnostic positif repose sur l'échographie et l'IRM. Le signe le plus spécifique de tendinopathie est la fissure intra-tendineuse car les variantes asymptomatiques (tendinose, calcifications, érosions corticales) sont fréquentes chez le sportif.
Les tendons ou les muscles des adducteurs sont peut-être abîmés si vous ressentez une douleur à l'intérieur de la cuisse après avoir pratiqué du sport. La douleur apparaît au moment de l'effort, notamment quand on monte un escalier, surtout lorsqu'on prend appui sur la jambe concernée.
Quels sont les symptômes ? "La douleur à l'adducteur correspond à une douleur du bas pubis et de l'intérieur de la cuisse. On distingue des douleurs sur le pubis, au niveau de l'insertion du tendon (tendinopathie) et des douleurs du muscle situé à l'intérieur de la cuisse voire les deux.
En général, les douleurs pubiennes sont liées à la sur sollicitation d'un tendon ou un muscle, elle-même souvent favorisée par un déséquilibre musculaire. Cela explique que les sportifs, en particulier les footballeurs, soient les plus touchés par la pubalgie.
La plupart du temps, on va ressentir des tensions musculaires au niveau de la mâchoire et des épaules. Mais, il est possible de ressentir ces tensions jusqu'au plancher pelvien! Ainsi, une maman anxieuse a tendance à rarement relâcher son plancher pelvien, ce qui peut causer des douleurs dans la région pelvienne.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
En cas d'inflammation de vos tendons, que ce soit une tendinite d'Achille, du moyen-fessier, une pubalgie, il est possible de courir. Il faut néanmoins modérer l'intensité de votre séance : oubliez le fractionné programmé et remplacez le par une sortie endurance avec la fonctionnalité « remplacer par » .
La totalité de la partie antérieure de la symphyse pubienne est palpée doucement. La persistance de la douleur plus de 5 secondes, après que l'examinateur a retiré ses mains, est considérée comme une douleur, sinon comme une sensibilité.
Le poing fermé, frictionnez les attaches des muscles de l'aine. Insistez sur l'attache du muscle sartorius (couturier). Après chaque friction, exercez une compression toujours avec le poing serré.