Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
Limiter les apports en sel (Sodium ou Na+) :
– Attention à certaines eaux gazeuses riches en sel : la quantité de sodium pouvant aller jusqu'à plus de 1 500 mg par litre.
Une des solutions est d'avoir un régime alimentaire adapté, c'est-à-dire riche en protéines, en potassium, en vitamines et en calcium, mais pauvre en graisses, en sucres, et surtout en sel, pour éviter la prise de poids et l'hypertension artérielle.
La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
Comment maigrir du visage lors d'un traitement à la cortisone ? En effet, il n'existe pas de remède associé qui puisse vous permettre de dépérir du visage pendant un traitement à la cortisone. Toutefois, un régime très pauvre en matière grasse, en sel, en sucre serait idéal pour éviter le gonflement du visage.
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.
Les corticoïdes ont habituellement un effet dopant initial qui combat la fatigue. Mais en cas d'usage prolongé ou lorsqu'on révèle, à leur interruption, une insuffisance surrénalienne, le phénomène est inverse avec une fatigue nette associée souvent à des douleurs musculaires qui renforcent cette impression de fatigue.
Après un traitement de longue durée par la prednisone, l'abandon soudain du médicament peut entraîner des symptômes de sevrage cortisonique, entre autres des nausées, de la fatigue, une perte d'appétit, une fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, et un malaise généralisé.
un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
Les effets secondaires sont bien connus, mais leurs conséquences varient selon la dose et la durée de traitement. D'abord, la cortisone modifie le métabolisme du sel et du sucre dans l'organisme, ce qui entraîne un accroissement de la sensation de faim.
La prednisone fait généralement effet très rapidement — habituellement dans une période de un à quatre jours — si la dose prescrite est suffisante pour réduire le niveau d'inflammation. Certaines personnes ressentent les effets de la prednisone quelques heures seulement après avoir pris la première dose.
Non, ce n'est pas un effet direct du médicament.
Je peux avoir du mal à dormir
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique.
Elle est indiquée aux patients atteints de maladies rhumatismales. Elle est en plus très efficace pour lutter contre les inflammations, pour diminuer les douleurs et les raideurs articulaires en cas de polyarthrite rhumatoïde, de PPR (pseudopolyarthrite rhizomélique) ou de maladie de Horton.
Effets indésirables ophtalmologiques
Description : les corticoïdes augmentent le risque de glaucome (=augmentation de la pression dans l'œil) et de cataracte.
Lorsque la cortisone est prise par inhalateur, il est important de maintenir une excellente hygiène buccale pour éviter les infections à champignons. Rincer la bouche avec de l'eau après l'emploi de l'inhalateur diminue le risque d'infection.
Un rinçage buccal après l'inhalation du médicament permet d'éliminer l'exédent de particules et d'éviter des répercutions sur l'oro-pharynx (la candidose buccale par exemple).
Les effets secondaires prévisibles de la cortisone incluent : Augmentation de la soif (laissez de l'eau fraîche à volonté);
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
En raison de cet effet secondaire, ils sont utilisés avec une grande précaution en cas d'infection. L'administration par voie orale et intraveineuse peut entraîner une hypertension artérielle, une insuffisance cardiaque, un diabète, des ulcères peptiques et une ostéoporose, ou aggraver ces affections.
une action régulatrice du glucose sanguin, qui permet de prévenir la survenue d'un diabète ; cette hormone est aussi celle de l'éveil et du stress, elle nous permet d'avoir l'énergie nécessaire particulièrement le matin ; enfin, elle permet la dégradation des protéines et des graisses dans les tissus.
Même les médicaments pris pour faire baisser la fièvre comme l'aspirine ou le paracétamol peuvent provoquer une transpiration excessive. Il en est de même pour la cortisone et les corticoïdes.
Grâce à son action sur le système immunitaire, la cortisone empêche l'organisme de produire les substances responsables des symptômes de l'inflammation (ou de l'allergie) tels que rougeur, gonflement, douleur ou augmentation de la température corporelle…