Mais quel goût peut-elle délivrer en bouche ? Étonnamment, la méduse ne possède pas de saveur particulière, mais une texture étonnante plutôt appréciée. Contrairement aux idées reçues, sa chair n'est pas gluante mais croquante et caoutchouteuse comme des champignons noirs.
Au Japon, consommer de la méduse est un rituel : 13 tonnes de méduses y sont consommées en moyenne chaque année. La méduse asiatique, dont l'espèce la plus connue est la Rhopilema esculentum, de petite taille et de couleur orangée, est appréciée pour son apport en protéines et sa faible teneur en calories.
Malgré son système de cellules urticantes d'une redoutable efficacité, la méduse compte tout de même un certain nombre de prédateurs : les manchots, les albatros, les thons, les espadons ainsi que les tortues luth et Caouanne.
La plupart des méduses se nourrissent de microplancton capté par leurs tentacules. Certaines espèces peuvent manger des larves et des œufs de poissons, des crevettes, voire de petits poissons.
Elles n'ont pas de cerveau et sont principalement composées d'eau, mais les méduses ont des super-pouvoirs. Le venim des méduses-boîtes figurent parmi les plus mortels au monde.
À force de tuer les méduses, elles vont disparaître et leur écosystème sera détruit. Tout être vivant est utile et sert à quelque chose pour la planète.
La durée de vie des méduses va généralement de quelques jours à deux mois pour les petites espèces, un à deux ans pour les plus grandes.
Une bouche et un estomac !
La méduse est un animal carnivore. Sa bouche s'ouvre à l'extrémité libre du manubrium et donne directement accès à la partie centrale de l'estomac celui-ci se prolongeant par rayonnement dans l'ombrelle, à l'image des baleines d'un parapluie.
Les méduses appartiennent au plancton. Essentiellement solitaires, elles sont souvent très dispersées : ainsi, dans 100 m3 d'eau de mer, on ne trouve généralement qu'une dizaine de méduses. Mais, parfois, elles se concentrent en bandes ou en essaims, comme la pélagie (Pelagia noctulica) en Méditerranée.
Les méduses vivent dans tous les océans et les mers du monde, de la surface jusqu'au fond, y compris dans les abysses ! Quelques espèces vivent dans les mangroves et les lacs salés, d'autres se sont adaptées aux eaux douces.
La méduse n'a pas de cœur, mais des canaux partent de son estomac central pour distribuer les produits de la digestion dans tous son corps. D'autres canaux rapportent les déchets qui sont rejetés par la bouche.
Elles représentent un maillon important de la chaîne alimentaire car elles capturent des petits crustacés, des poissons et même d'autres méduses. Elles servent aussi de nourriture à de nombreux animaux marins comme les tortues de mer.
En effet les méduses font preuve d'aucune agressivité, elles n'attaquent pas donc ne piquent pas. Certaines espèces injectent du venin grâce à des cnidocystes, sortes de petits harpons. Les baigneurs malchanceux ressentent alors une vive brûlure, semblable à une décharge électrique.
Pour se nourrir et se défendre ! Les méduses mangent des petits poissons, des larves de crabes, des crevettes…
La méduse pélagique
C'est la plus urticante des côtes françaises, plus particulièrement de la Méditerranée. La méduse pélagique est reconnaissable grâce à ses verrues violettes sur son ombrelle bleu et rose. Ses piqûres provoquent une sensation de brûlure, des démangeaisons voire des lésions cutanées importantes.
Selon le quotidien pour le mois de juillet, c'est à Bonifacio, Sartène et Borgo que les méduses ont été les plus nombreuses. Les trois communes ont enregistré 14 jours où des méduses ont été aperçues. Suivent ensuite Ajaccio et Biguglia avec 12 jours de forte présence.
Simples taches pigmentaires sensibles à la lumière, leurs yeux rudimentaires sont disposés à la base des tentacules ou sur le pourtour de l'ombrelle des méduses. Cet œil primitif est l'un des organes sensoriel de la méduse. Tout d'abord l'organe d'équilibre.
Eviter également l'eau douce, susceptible de « faire éclater les cellules venimeuses », prévient le site santemagazine.fr et lui préférer l'eau de mer.
Ils ont bien un système nerveux mais celui-ci n'est constitué que d'un réseau de nerfs et de paires de ganglions. Il est donc très peu probable que ces coquillages ressentent de la douleur ou du moins, une douleur comparable à la nôtre ou à celle des vertébrés.
Un phénomène surprenant mais pas inexplicable
Selon lui, l'échouage est probablement "une conjonction d'un banc de méduses et des courants littoraux" que l'on aurait "pu voir il y a 100 ans". Constituée de 95 à 98% d'eau, la méduse est capable de flotter et de nager, mais pas de résister aux courants marins.
Les fourmis, comme tous les insectes, n'ont pas un vrai coeur. Leur "sang" (nommé hémolymphe) ne circule pas dans des vaisseaux sanguins, mais baigne toute la cavité de leur corps. Contrairement au sang des vertébrés, l'hémolymphe n'assure pas le transport de l'oxygène et ne possède donc pas d'hémoglobine.
Dans un monde totalement protégé, Turritopsis Nutricula pourrait donc se régénérer indéfiniment et être l'animal qui vit le plus longtemps. Mais les mers ne sont pas sans danger pour autant. Car si elle peut inverser son processus de vieillissement, elle n'en reste pas moins mortelle, face aux prédateurs.
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Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
#1 Les orangs-outans. Les orangs-outans sont les animaux les plus intelligents du monde ! Tout comme les chimpanzés, l'orang-outan est capable d'utiliser des outils, d'apprendre la langue des signes et d'avoir des structures sociales complexes impliquant des rituels.