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La femelle mante, assoiffée de sang, arrache sans pitié la tête du pauvre mâle lors de l'accouplement. Oui, oui. C'est documenté, ça arrive. Ça s'appelle du cannibalisme sexuel, et la mante n'est pas la seule affamée à faire ça.
La mante religieuse dévore le mâle durant l'accouplement.
La période d'accouplement des mantes religieuses se déroule d'août à septembre, puis chaque femelle pond entre septembre et novembre environ 200 à 300 œufs ! Durant la copulation, la mante religieuse dévore la tête de son partenaire d'un instant.
En effet, pour satisfaire son appétit féroce -- et pour donner plus de chance à la reproduction --, la mante religieuse ne recule devant rien. Elle s'adonne ainsi sans retenue à ce que les chercheurs appellent le cannibalisme sexuel et dévore généralement en entier les mâles un peu trop légers.
La toxicité de son venin fait de la veuve noire l'une des araignées les plus dangereuses du monde, et elle doit son nom à sa propension à tuer son partenaire après l'accouplement. La femelle veuve noire possède des glandes et crochets à venin plus développées que le mâle.
Les semelpares sont souvent des insectes, par exemple les éphémères et les abeilles mâles. Il y a aussi quelques espèces de calamars et des saumons d'Atlantique. Ces espèces pratiquent une reproduction dite suicidaire parce que la plupart du temps, les individus de ces espèces meurent après l'acte de reproduction.
La pieuvre est incontestablement une mère dévouée. Des chercheurs ont observé une femelle veillant sur ses petits pendant près de quatre ans et demi. Elle meurt après l'éclosion. Une pieuvre femelle défend ses œufs jusqu'à la mort – au sens strict.
Chez une espèce d'araignée qui pratique le cannibalisme sexuel, le mâle va faire le mort pour éviter d'être mangé. Chez d'autres espèces, les mâles endorment les femelles, tandis que d'autres recherchent et s'accouplent avec des femelles qui sont déjà occupées à manger leurs partenaires sexuels antérieurs.
Une araignée femelle Pisaurina mira et un sac d'oeufs. L'araignée mâle Pisaurina mira a trouvé une solution pour survivre au cannibalisme sexuel qui prévaut chez de nombreuses espèces d'araignées. Pour empêcher la femelle de le dévorer pendant ou après l'accouplement, le mâle lui attache les pattes.
Le mâle poursuit la femelle, lui mord la tête, les membres, l'immobilise contre un obstacle puis la féconde.
La veuve noire mange le mâle
« Habituellement, le mâle a certains avantages à être mangé pendant l'accouplement, comme des copulations plus longues ainsi qu'une diminution de la réceptivité de la femelle aux futurs mâles », explique Luciana Baruffaldi de l'Université de Toronto, Scarborough, Canada.
Peu survivent, car elles sont très fragiles à l'état larvaire et demeurent des proies faciles pour les araignées, les lézards, les oiseaux et même les fourmis ! La mante religieuse est également connue pour ses amours tumultueuses.
L'hypothèse de la famine. Lorsqu'une femelle est en risque de famine, il peut être avantageux de s'attaquer aux mâles qu'elle attire, pour économiser ses forces et produire une descendance viable. Elle se reproduira plus tard, lorsqu'elle aura assez mangé.
La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l'on trouve des cas de parthénogenèse chez d'autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure ...
Lorsque la femelle est gestante, ils occupent une grande partie de l'abdomen.". Il est donc tout à fait possible que vous soyez tombé sur une araignée qui attend un heureux événement.
Les araignées sont ovipares : elles pondent des oeufs. Ces oeufs seront protégés par un cocon, fait de soie. Une araignée peut pondre plusieurs fois, et donc, elle fera plusieurs cocons. Au sein de ceux-ci, les oeufs sont en nombre très variables : de quelques un à plusieurs dizaines !
Il commence par émettre quelques fils de soie pour former une petite toile dite « spermatique ». De dimension variable, celle-ci sert à déposer les gouttelettes de sperme émises au niveau de la fente génitale. Certains mâles utilisent parfois juste des fils existants sur le bord des pièges de femelles.
Le cannibalisme sexuel est un phénomène naturel au cours duquel la femelle dévore son partenaire sexuel afin de se procurer les protéines nécessaires à la ponte. Si la célèbre mante religieuse est devenue son incarnation, ce processus est aussi répandu chez les araignées.
La chenille du polyphème d'Amérique (Antheraea polyphemus) est l'animal qui mange le plus par rapport à son poids. Elle vit sur les feuilles de chênes, de bouleaux, de saules et d'érables et mange jusqu'à 86 000 son propre poids pendant les 56 premiers jours de sa vie.
Un animal (un requin, par exemple) peut ainsi être anthropophage s'il mange des êtres humains, mais ne sera pas pour autant cannibale, s'il ne mange pas d'autres animaux de sa propre espèce.
Les éléphantes sont peut-être les mères les plus protectrices de la planète. Les petits sont choyés et grandissent au sein d'une société matriarcale où chaque femelle du groupe participe à l'éducation des petits.
Ouistiti. C'est au père que revient la responsabilité de porter les petits, la plupart du temps des jumeaux, 7 jours/7 et 24 heures par jour. Il ne les rend à leur mère que quelques minutes par jour, pour l'allaitement. Il les portera ainsi jusqu'à leur maturité, vers l'âge d'un an.
Comme le lion, la panthère est à son tour associée à la valeur de la protection. La panthère noire peut représenter un nouveau départ dans la vie, mais également l'aventure, l'amitié, la loyauté et l'esprit ouvert.