La femelle mante, assoiffée de sang, arrache sans pitié la tête du pauvre mâle lors de l'accouplement. Oui, oui. C'est documenté, ça arrive. Ça s'appelle du cannibalisme sexuel, et la mante n'est pas la seule affamée à faire ça.
La mante religieuse dévore le mâle durant l'accouplement.
Durant la copulation, la mante religieuse dévore la tête de son partenaire d'un instant.
La mante religieuse
Il arrive en effet à la femelle, plus grande de 2 à 3 cm, de dévorer la tête du mâle (avant de le dévorer entièrement !) pendant l'accouplement.
La mante religieuse est surtout connue pour sa réputation de dévoreuse de mâle après l'accouplement. Mais rassurez-vous, malgré sa grande taille, cet insecte originaire du bassin méditerranéen, ne fait pas partie des nuisibles au jardin.
La mante religieuse est connue pour sa tendance à dévorer ses partenaires sexuels. Mais saviez-vous que, même décapité, un mâle continue à chercher à s'accoupler ? Et il peut y parvenir !
Une araignée femelle Pisaurina mira et un sac d'oeufs. L'araignée mâle Pisaurina mira a trouvé une solution pour survivre au cannibalisme sexuel qui prévaut chez de nombreuses espèces d'araignées. Pour empêcher la femelle de le dévorer pendant ou après l'accouplement, le mâle lui attache les pattes.
La femelle mante, assoiffée de sang, arrache sans pitié la tête du pauvre mâle lors de l'accouplement. Oui, oui. C'est documenté, ça arrive. Ça s'appelle du cannibalisme sexuel, et la mante n'est pas la seule affamée à faire ça.
Les marsupiaux sont des mammifères uniques en leur genre. Certains d'entre eux se reproduisent avec différentes femelles pendant de longues heures et finissent par mourir d'épuisement.
Chez une espèce d'araignée qui pratique le cannibalisme sexuel, le mâle va faire le mort pour éviter d'être mangé. Chez d'autres espèces, les mâles endorment les femelles, tandis que d'autres recherchent et s'accouplent avec des femelles qui sont déjà occupées à manger leurs partenaires sexuels antérieurs.
La femelle mante religieuse est donc universellement connue pour bouffer son partenaire après l'avoir proprement drainé – mais sachez que ça n'est pas systématique. Parfois un mâle peut tomber sur une femelle à la cool qui a juste envie de tirer un coup rapidos entre deux pissenlits.
La pieuvre est incontestablement une mère dévouée. Des chercheurs ont observé une femelle veillant sur ses petits pendant près de quatre ans et demi. Elle meurt après l'éclosion. Une pieuvre femelle défend ses œufs jusqu'à la mort – au sens strict.
On confond souvent les mots anthropophage et cannibale mais il y a bien une différence entre les 2 termes. Le premier signifie "qui mange de la chair humaine" et le second "qui mange sa propre espèce". Certains animaux comme le requin sont anthropophages, et d'autres comme la mante religieuse sont cannibales.
Le cannibalisme sexuel est un phénomène naturel au cours duquel la femelle dévore son partenaire sexuel afin de se procurer les protéines nécessaires à la ponte. Si la célèbre mante religieuse est devenue son incarnation, ce processus est aussi répandu chez les araignées.
Le mâle poursuit la femelle, lui mord la tête, les membres, l'immobilise contre un obstacle puis la féconde.
Les mantes religieuses sont des insectes qui aiment la chaleur et ne supportent pas le froid. Ils meurent en général en automne aux premières gelées après avoir pondu leurs œufs. Ce sont les œufs qui vont passer l'hiver protégés dans un cocon fait par la femelle.
La chenille du polyphème d'Amérique (Antheraea polyphemus) est l'animal qui mange le plus par rapport à son poids. Elle vit sur les feuilles de chênes, de bouleaux, de saules et d'érables et mange jusqu'à 86 000 son propre poids pendant les 56 premiers jours de sa vie.
La veuve noire mange le mâle
« Habituellement, le mâle a certains avantages à être mangé pendant l'accouplement, comme des copulations plus longues ainsi qu'une diminution de la réceptivité de la femelle aux futurs mâles », explique Luciana Baruffaldi de l'Université de Toronto, Scarborough, Canada.
Chez certaines espèces du Sud-Est asiatique, la mort du mâle se fait pendant l'accouplement. Quant à la femelle, elle meurt généralement après avoir pondu ses œufs. Pour certains petits, le corps de leur mère constitue le premier repas.
Les dauphins
Le dauphin est l'un des animaux favoris de l'Homme. Autant adorable qu'il puisse paraître, il peut se montrer extrêmement cruel envers ses congénères et d'autres espèces. De nombreux cas de viols et d'infanticides ont été observés, plusieurs mâles s'attaquant à une femelle pour la violer.
Une ratte peut se reproduire toute l'année et avoir 4 à 7 portées de 6 à 12 petits.
Manger ses larves pour passer l'hiver. C'est l'incroyable stratégie adoptée par Mnemiopsis leidyi, une des 150 espèces de cténaires, ces organismes gélatineux qui se différencient des méduses par le fait qu'ils sont hermaphrodites et dotés de dards collants et non pas urticants.
Et pourtant, ce grand insecte n'est pas un prédateur puisqu'il ne s'attaque pas à l'homme, sauf s'il se sent menacé et qu'il ne peut pas fuir. Et même dans ce cas, sachez que sa morsure n'est pas venimeuse.
Peu survivent, car elles sont très fragiles à l'état larvaire et demeurent des proies faciles pour les araignées, les lézards, les oiseaux et même les fourmis ! La mante religieuse est également connue pour ses amours tumultueuses.
Les insectes peuvent tordre leur sexe pour l'accouplement
Pour éviter d'être à l'envers et d'être traîné par la femelle, certains mâles-mouches subissent des torsion génitales : entre 90º 180º avant ou pendant les rapports sexuels, pour quelques espèces, il existe des torsions à 360 degrés .