1- La tour des consignes (Placote) Conçu pour les bébés et tout-petits de 12 mois à 2 ans et demi, ce jeu à mordiller, lancer, empiler ou écraser est parfait pour développer le vocabulaire de base des tout-petits (ex: les parties du corps), mais aussi les consignes simples.
Pour stimuler la parole et le langage chez un enfant âgé de 1 an à 2 ans : Lui lire des livres avec des histoires simples et avec des images colorées. Lui donner le bon modèle des mots. Lui répéter souvent les mots qui sont nouveaux pour lui sans exiger qu'il les répète.
Votre enfant n'est pas en avance pour le langage, c'est le moins qu'on puisse dire mais pas en retard pathologique. Il faut surveiller la mise en place de son langage sans pour autant s'inquiéter. Il va aller chez le pédiatre pour l'examen obligatoire des 24 mois.
Si un enfant ne parle vraiment pas ou s'arrête de parler, il peut y avoir des raisons médicales. L'enfant peut notamment être sourd, avoir une otite sévère non-douloureuse, un bouchon. Son audition étant affectée, l'apprentissage du langage est nécessairement retardé ou stoppé.
Mieux vaut consulter si : votre enfant a des défauts de prononciation, n'articule pas bien les mots, ne fait pas des phrases claires et bien construites (il parle en style télégraphique), a du mal à comprendre lorsqu'on lui parle, ne cherche pas à jouer avec les mots (les rimes, les syllabes…).
À retenir. Un enfant commence généralement à parler entre 12 et 16 mois. Quand il a plus de vocabulaire, le tout-petit combine des mots. Cela se produit souvent entre 18 mois et 2 ans.
La dysarthrie est un trouble de la parole qui empêche la personne de parler et d'émettre des sons correctement. La rééducation se fait à l'aide d'un orthophoniste.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit. La dysphasie est un trouble.
Encouragez votre enfant à parler en lui posant des questions simples auxquelles il peut répondre par un geste ou un mot comme les questions « Où? » et « Qui? ». Chantez des bouts de comptines ou racontez des bouts d'une histoire qu'il connaît bien et arrêtez-vous à un mot afin qu'il dise la suite s'il en est capable.
L'absence de langage d'un enfant à 24 mois est un signe de quelque chose qui mérite d'être élucidé. Plusieurs raisons peuvent motiver ce retard de langage. Trois pistes doivent être étudiées en priorité : il peut s'agir d'un problème d'audition, d'un trouble spécifique du langage oral, ou d'un trouble autistique.
Toutefois, un enfant présente probablement des difficultés de langage (anciennement appelées retard de langage) s'il a plus de 2 ans et qu'il ne comprend pas bien ce qu'on lui dit (ex. : les questions et les consignes) ou qu'il parle moins ou moins clairement que la grande majorité des enfants du même âge.
Ce qui peut alerter : si bébé ne formule pas beaucoup de syllabes, utilise peu de consonnes et a des difficultés à répéter ce que vous lui dites. Sa capacité d'écoute est peut-être moindre ou bien il connaît un retard global de développement.
Son vocabulaire s'enrichit rapidement : à 2 ans il possède environ 300 mots différents (il les connaît, ce qui ne signifie pas qu'il sait tous les prononcer). Il utilise le mot « moi » et se nomme avec son prénom. Il commence à faire des petites phrases, en introduisant des verbes.
Troubles de la parole majeurs
Le mutisme (absence d'expression verbale). L'aphasie (perte totale ou partielle de la capacité de parler ou de comprendre un message parlé ou écrit). La dysphasie (trouble grave de la communication verbale d'origine congénitale). La dysphonie (difficulté à parler).
La dysphasie est un trouble neurologique qui est présent dès la naissance de la personne atteinte. De ce fait, ce n'est pas un trouble qui se «guérit» avec le temps.
Une pauvreté du langage : l'enfant parle peu et s'exprime très mal. Il n'utilise que des phrases courtes de deux ou trios mots, avec une syntaxe peu fiable ; Une pauvreté du vocabulaire : l'enfant n'utilise pas ou très peu les pronoms dans ses phrases.
Douze paires de nerfs crâniens sont décrites ; ceux impliqués dans l'innervation des organes de la parole sont principalement les nerfs V (trijumeau), VII (facial), IX (glosso-pharyngien), X (vague, ou pneumogastrique), XI (accessoire) et XII (hypoglosse).
Pour réapprendre à parler après un AVC, il faut entrainer le cerveau encore à contrôler la parole. Pour effectuer cette tâche, vous appuierez sur la neuroplasticité, qui permet à votre cerveau de former de nouvelles voies neuronales qui prendront la relève de vos fonctions de la parole.