Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Transmise par une bactérie infectieuse, la lèpre est l'une des plus anciennes maladies décrites dans le monde, remontant à l'Antiquité. Durant l'histoire, les lépreux étaient condamnés à vivre reclus et stigmatisés.
Certaines pathologies sont connues du grand public, comme la trisomie 21, la drépanocytose ou la mucoviscidose, mais d'autres beaucoup moins : l'oesophagite à éosinophiles, le syndrome du QT long familial, l'embryopathie à cytomégalovirus, la neuropathie périphérique génétique, etc….
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Le SRAS-CoV-2 a fait officiellement 5 millions de victimes, mais d'après des estimations tout à fait crédibles, le véritable bilan de la pandémie serait plus près de 17 millions de morts. Quel que soit le chiffre retenu, la COVID-19 est bien placée sur notre liste des maladies les plus meurtrières de l'histoire.
Les maladies cardiovasculaires regroupent les pathologies qui touchent le cœur et l'ensemble des vaisseaux sanguins, comme l'athérosclérose, les troubles du rythme cardiaque, l'hypertension artérielle, l'infarctus du myocarde, l'insuffisance cardiaque ou encore les accidents vasculaires cérébraux.
La gale est une maladie contagieuse de la peau due à un parasite. Dans sa forme habituelle, dite "commune", elle se propage par contacts humains directs et prolongés. La transmission de la gale peut plus rarement se faire par les vêtements ou la literie dans les formes "profuse" et "hyperkératosique".
La progéria, ou syndrome de Hutchinson-Gilford, est une maladie génétique rare. Elle se traduit par un vieillissement accéléré, et ce dès le plus jeune âge. Si l'on ne peut guérir pour l'instant de la pathologie, la recherche reste active afin de développer des traitements ciblés pour améliorer le pronostic.
Symptômes et risque
La poliomyélite est une maladie virale très contagieuse. Le poliovirus envahit le système nerveux et peut provoquer une paralysie totale en quelques heures.
Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
Les cancers demeurent la première cause de mortalité avec une part de 29,6% et sont responsables, avec les maladies de l'appareil circulatoire (27,5%), les accidents (4,6%), la maladie d'Alzheimer (3,2%), le diabète (2,2%), le suicide (1,9%), les démences (1,8%) et les maladies chroniques du foie (1,7%), de plus de 70% ...
Parmi les plus fréquentes, citons les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer, le diabète, l'arthrite, les maux de dos, l'asthme et la dépression chronique.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
La démence à corps de Lewy (DCL) est la seconde démence neurodégénérative la plus fréquente après la maladie d'Alzheimer. C'est une maladie complexe qui emprunte certains symptômes à la maladie d'Alzheimer et à la maladie de Parkinson, donc difficile à reconnaître ou à diagnostiquer.
La Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot est la plus fréquente des maladies du neurone moteur. Elle se caractérise par une perte progressive des neurones moteurs du cerveau et de la moelle.
Un handicap ou une maladie invisible est non perceptible si la personne touchée ne le mentionne pas. Ces pathologies ne sont pas sans conséquences sur la vie des patients : impact sur la vie sociale et professionnelle, soins adaptés, thérapeutique à respecter…
Le réservoir naturel du virus serait la chauve-souris. Le virus Ebola a été découvert en 1976, lors des deux flambées épidémiques au Soudan et en République démocratique du Congo. Depuis, une vingtaine de flambées épidémiques sont apparues en Afrique Centrale.
Thug Behram, le plus meurtrier
Cet Indien appartenant à la secte des Thugs (adorateurs de la déesse Kali), détient un triste record : celui du plus grand nombre de victimes. Entre 1790 et 1840, il aurait tué 931 personnes par strangulation, pour les « offrir » à la déesse de la mort.
Après avoir mené des études sur plusieurs milliers d'animaux en Afrique, des scientifiques ont découvert le réservoir animal du virus Ebola : les chauve-souris seraient à l'origine des épidémies. Certaines chauve-souris hébergent en elles le virus Ebola sans pour autant contracter la maladie.