– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
Les premiers symptômes ne tardent pas à se manifester : mal de gorge, enrouement, toux et écoulement nasal. Au cours de la maladie, de la fièvre, des maux de tête et des douleurs articulaires peuvent également apparaître.
La menthe poivrée est un bon décongestionnant : associée au thym et à la capucine, sa vapeur aromatique permet de soulager le rhume et de dégager les voies respiratoires. La sauge adoucit le mal de gorge tandis que le piment de Cayenne est un excellent antiseptique qui contribue à soulager la douleur.
– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
Le froid indirectement impliqué
«Dans nos régions, l'air est plutôt sec l'hiver. Cela assèche la muqueuse qui devient plus vulnérable face aux virus», explique le Pr Bruno Lina, professeur de virologie au CHU de Lyon et directeur du Centre national de référence sur la grippe.
Cette expression signifie "attraper une maladie, un rhume en se laissant pénétrer par le froid", selon le dictionnaire Larousse. Lorsque les parents employaient cette tournure, ils voulaient ainsi dire que se vêtir chaudement permettait de ne pas tomber malade.
Non, on n'attrape pas froid. Le froid n'est ni une maladie, ni un virus, ni un vecteur de transmission de toutes les petites maladies qui nous menacent lorsque les températures diminuent.
Ses premiers signes sont les maux de tête, parfois violents, les vertiges, nausées, la confusion voire la perte de conscience. Il faut aussitôt appeler les secours et placer la personne dans l'endroit le plus frais du lieu, la dévêtir, l'asperger d'eau et la ventiler sans retenue.
Il s'agit d'une idée reçue. Avant tout parce que si le froid est désagréable, il n'est pas une maladie : "Ce n'est pas lui qui vous rend malade, mais l'infection par un virus", explique tout simplement le Professeur Anne-Claude Crémieux, infectiologue à l'Hôpital Saint-Louis, à Paris.
Les symptômes du rhume incluent un nez bouché, un nez qui coule, des éternuements, et parfois une fièvre modérée. Le rhume peut également provoquer de la fatigue, des maux de tête, voire une perte d'appétit. Le rhume est une infection bénigne, qui dure de trois à cinq jours.
L'expression «prendre froid» vient de là
Les muqueuses nasales transfèrent à cet air de l'eau à la température du corps (phénomène qui explique au passage le «nez qui coule» en hiver). Ce transfert de chaleur humidifie l'air et provoque l'assèchement de la barrière physique que constitue le mucus.
Le traitement de la grippe repose essentiellement sur le traitement des symptômes et consiste à prendre des médicaments contre la fièvre : paracétamol, aspirine sauf chez l'enfant, ou ibuprofène.
Autrement dit, on a plus de risque de tomber malade lorsqu'on ne dort pas assez. Il est donc particulièrement important de dormir suffisamment en période d'épidémie.
Pour attraper un rhinovirus, il faut un contact prolongé et proche. Comme dormir avec un enrhumé, ou passer ses mains sur une zone contaminée (une poignée) sans se laver les mains dans la foulée. A savoir : on est contagieux les deux jours précédant les symptômes et lors des tout premiers éternuements.
La bouche et la gorge constituent souvent la première étape pour l'entrée de corps étrangers ou d'agents infectieux (virus, bactérie). Les maux de gorge sont ainsi en général le premier symptôme d'un refroidissement.
Les symptômes de l'état grippal ressemblent à ceux de la grippe mais ils se manifestent avec une intensité moins importante. Ce sont la fatigue modérée, la fièvre modérée et les maux de tête modérés ainsi que l'écoulement nasal et/ou le nez bouché.
Pas vraiment. « On aura beau s'installer au pôle Nord, pieds nus et cheveux mouillés, s'il n'y a que des phoques et des ours polaires pour nous tenir compagnie, on n'attrapera pas le rhume! » s'exclame le Dr Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l'Hôpital général juif de Montréal.
Lorsque la température corporelle d'une personne augmente, elle peut avoir froid jusqu'à ce qu'elle se stabilise et cesse d'augmenter. Les gens décrivent cela comme des "frissons". L'alimentation, l'exercice, le sommeil, le moment de la journée et des facteurs individuels peuvent également influer sur la température.
L'anémie, l'hypothyroïdie, le manque de sommeil, une mauvaise hydratation, une carence en vitamine B12, le diabète ou encore la maladie de Lyme peuvent entraîner une frilosité excessive.
Les généralistes développent souvent une immunité aux virus au fil de leur carrière. En période d'épidémie, ils redoublent toutefois de vigilance. Plus que la grippe, c'est surtout le risque de surmenage qui leur pend au nez.
En outre, le froid peut léser les muqueuses, ce qui permet aux virus d'y pénétrer plus facilement. C'est pour cette raison que les fumeurs, dont les membranes internes sont endommagées, «ont deux à trois fois plus de bronchites et de pneumonies que les autres», précise le spécialiste.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.