c) Modes : Ces propositions subordonnées peuvent être à différents modes : - à l'indicatif quand l'action qu'elle exprime est considérée comme certaine. - au subjonctif quand la subordonnée est sujet, ou qu'elle exprime le doute ou la réussite. - au conditionnel lorsque l'action qu'elle évoque est irréelle.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
La proposition subordonnée sujet introduite par la conjonction de subordination "que" demande le subjonctif, mais placée après la principale, le verbe sera à l'indicatif. Que vous ayez été malade, cela se voit. Cela se voit que vous avez été malade. 2.
Mode du verbe de la subordonnée complétive : indicatif (Après il me semble, il te semble, il lui semble, etc., on emploie toujours l'indicatif, alors qu'après il semble, on emploie l'indicatif ou le subjonctif.)
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
🔍 Une proposition subordonnée est souvent introduite par : Une conjonction de subordination (comme "que", "si", "quand", "parce que", etc.) Un pronom relatif (comme "qui", "que", "dont", etc.)
Les modes personnels : l'indicatif, le conditionnel, le subjonctif et l'impératif. Les modes impersonnels : l'infinitif, les participes passés et présent, et le gérondif.
les modes personnels : l'indicatif, l'impératif, le conditionnel et le subjonctif. Les modes personnels varient en fonction de la personne du sujet ; les modes impersonnels : l'infinitif, le participe, le gérondif. Les modes impersonnels ne varient pas en fonction de la personne.
- L'indicatif exprime des actions et des vérités générales. - Le subjonctif exprime un souhait, une volonté ou un conseil. - Le conditionnel exprime une condition. - L'impératif exprime un ordre.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
La proposition subordonnée complétive conjonctive est introduite par la conjonction que. Elle complète un verbe ou une expression verbale, par exemple : un verbe de déclaration (dire, préciser…) un verbe de connaissance, de constatation ou d'opinion (savoir, croire, apprendre…)
-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
Les temps de l'impératif
À l'impératif, le verbe se forme sans pronom et la phrase contient généralement un point d'exclamation. On retrouve dans ce mode deux temps : le présent et le passé. L'impératif présent sert à exprimer un ordre, un souhait ou un conseil.
« J'aurais voulu » est au conditionnel passé.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
L'indicatif, le conditionnel, l'impératif et le subjonctif sont des modes personnels, c'est-à-dire qu'ils admettent la distinction des personnes grammaticales (je, tu, les hommes...). L'infinitif, le participe et le gérondif sont des modes impersonnels qui n'admettent pas la distinction des personnes grammaticales.
Les modes verbaux représentent la manière dont l'action exprimée par le verbe est conçue et présentée. L'action peut être mise en doute, affirmée comme réelle ou éventuelle. Ils se combinent à la sémantique des verbes et, par là, créent les aspects.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
Il en existe beaucoup d'autres : attendu, avant, avec, concernant, contre, dans, de, depuis, derrière, dès, devant, durant, entre, envers, excepté, hormis, hors, malgré, moyennant, outre, par, parmi, passé, pendant, plein, pour, près, proche, selon, sous, suivant, supposé, sur, touchant, vu, etc.