La Fauvette mélanocéphale est une méditerranéenne qui affectionne maquis et broussailles. Elle se reconnait à ses cris rauques, en crécelle ou en rafale de mitraillette qui permettent facilement son identification. Son chant est formé de longues strophes de notes grinçantes débitées sur un rythme précipité.
La grue craque, craquette, claquette, trompette ou glapit. Le héron hue (et puis, c'est tout). Le hibou bubule, ulule, tutube, hue, miaule, froue ou il bouboule (et Bill ?). L'hirondelle tridule, trisse, truisotte, ramage ou gazouille.
La mésange charbonnière
C'est l'oiseau le plus fréquent dans les jardins suisses. Dans le chant de la mésange, il y a deux tons (tu-ti-tu-ti) ou trois notes et deux tons (ti-ti-tu, ti-ti-tu). Ce qu'il faut repérer c'est son timbre métallique.
Petit-duc scops - Otus scops.
Je suis le pic noir, un oiseau qui tambourine avec son bec.
Le ricanement très sonore du pivert est souvent entendu avant même d'apercevoir l'oiseau. Ce cri est une note aiguë unique, répétée et qui ressemble à s'y méprendre à un rire moqueur.
Pouillot véloce - Phylloscopus collybita.
Cependant, toutes les baleines, les dauphins et les orques utilisent ces sons comme sonars pour se repérer sous l'eau.
Le cri habituel est un trrrrrt " sec et râpeux, très caractéristique. Le cri d'alarme est du même type mais rapidement répété "trrrrrtrrtrrtrrtrrtratratratra...".
Le chant du Loriot d'Europe s'apparente communément au sifflement des garçons qui croisent une jolie fille, ainsi il s'agit d'un beau sifflement flûté très typique de cette espèce.
Qu'il est joli, ce petit roitelet, avec sa crête colorée et ses yeux soulignés de noir ! En France, il s'abrite dans les forêts de feuillus ou dans les sous-bois. On peut entendre son chant particulièrement aigu et répétitif, très proche du "piou-piou" qu'on fait dire à tous les oiseaux.
Ce fameux son de corne de brume. Le corps tout vibrant, il claque plusieurs fois du bec, puis tend la tête en avant, inspire, puis relève la tête, déploie son cou, et en expirant, il chante. Contrairement aux autres oiseaux, le butor conserve l'air inspiré dans son œsophage et non dans ses poumons.
Le canard cancane ou caquette. L'alouette grisolle ou turlutte. La chouette chuinte, hue, hulule ou ulule. La cigogne claquette, craque, craquète, glottore.
La grive musicienne fait partie des meilleurs oiseaux chanteurs, mais aussi des plus précoces. Se faisant entendre dès la sortie de l'hiver, elle est alors facile à entendre puisque les autres oiseaux ne chantent encore que peu et son chant porte loin.
On reconnaît la grive à son plumage brun tacheté, même si, selon l'espèce, on constate des variantes de couleurs. En revanche, pour chaque espèce, le mâle et la femelle ont le même plumage. La grive est aussi un oiseau qui ressemble beaucoup au merle, et plus particulièrement au merle noir.
Toutes les quatre présentent des taches, mouchetures ou rayures sur le devant. Grive mauvis : on regarde la tête et on voit de suite une raie blanche au-dessus de l'oeil et une autre sous la joue ; les flancs et dessous des ailes sont d'une belle couleur rouille, quant aux dessins du devant ce sont plutôt des rayures.
Ses sifflements aigus, comme des « tût… tût » mélodieux, ressemblent au chant du Hibou petit-duc. Un amphibien est à l'origine de cet appel mystérieux : l'Alyte accoucheur, également appelé Crapaud musicien. Le mâle chante pour attirer les femelles.
Les oiseaux qui chantent la nuit sont : Le Rossignol philomèle. Le Moqueur polyglotte. Le Merle noir.
La chouette hulotte
C'est peut être la plus connue parce que c'est son chant que l'on met souvent dans les films pour illustrer la nuit et le suspens.
Chante-t-il la pluie ? Selon les sources et les régions, l'oiseau de la pluie c'est lui ou la mésange charbonnière ou encore le pic vert.
Celui-ci débute en effet 1 heure et 30 minutes avant le lever du soleil : le premier oiseau à entonner le récital est le rouge-queue noir, suivi de près par le rouge-gorge.
de la sous-espèce
Ces oiseaux émettent un cri ressemblant à un coup de trompette d'enfant et qui, selon Crouzier (2005), évoque « le klaxon des tacots de dessin animé », ou le cri d'autres espèces (Roselin githagine Bucanetes gigathineus ou Pinson du Nord Fringilla montifringilla).